L'axiome du début

Son esprit est morcelé

Le dessin qu'il a choisi

Exprime justement la guérison de cela

Le désordre qui devient ordre

Tout en gardant son potentiel créatif

Et une certaine quiétude.

C'est très exactement ce qu'il m'a évoqué.
Lorsque je le décrivais à une copine, je disais "Des errements, des ruptures, des constances".

Une copine c'est toujours utile

Est-ce que tu as du respect pour l'humain

Les gens finissent par me détester de flooder

Ceci aussi me déteste de m'autoriser à flooder

Il y a plusieurs raisons à cela

1 - c'est privilège — quoiqu'ont-ils essayé de flooder sur leur propre fil ?

1 bis - l'on me donne le droit de faire quelque chose que j'ai envie / besoin de faire (car il y a une part de compulsion)

Or les gens ont envie de faire beaucoup d'choses dans la vie et peu sont ceux qui ont l'occasion de faire ce qu'ils ont envie. Ainsi symboliquement mon flood est une insulte

[symboliquement]

2 - les gens me détestent pour autre chose mais flooder est le reproche qui leur vient

3 - les gens ont besoin d'exprimer mentalement ou verbalement leur détestation de quelque chose. Sérieux ça fait un bien fou. Presque quand on leur enlève une occasion de détester quelque chose... On sent qu'ça leur manque.

Les gens détestent Dieu aussi (surtout ceux qui y croient). Tu crois en Dieu Confit ? Aussi je canalise cette détestation, je la digère, et regardez, j'en fait des confetti qui sauvent le monde.

J'espère que ces arguments vous auront convaincu de me laisser flooder.

*fais
*confettis

Non, j'ai choisi de ne pas y croire. Dans le fond c'est plus pratique.
Pour la même raison de commodité, je vais me convertir à l'islam quand je rentrerai en Mauritanie. Un peu de gymnastique lorsque je serai en public aux heures fatidiques fera le plus grand bien à mes articulations.
Et puis j'aimais pas me sentir exclus, tout seul dans mon coin, lorsque tous mes potes faisaient la bascule.

En complément, il seront si contents. Et moi, ça ne me coute rien, juste apprendre phonétiquement quelques formules magiques en arabe.

Mon vrai ami nommé Ahmed m'a dit un soir de confidence :
- Tu sais, parfois je suis un peu triste que tu ne sois pas musulman.
- Ah, pourquoi ?
- Parce que nous ne retrouverons pas au paradis.

Peut-on imaginer meilleure définition de l'amitié ?

Ou de l'idiotie, mais l'un n'empêche pas l'autre

[idiotie de croire en un paradis]

Les gens ne se rendent pas compte à quel point ils croient parce qu'ils sont né là-dedans

Pourtant les enfants d'athés sont en général athés, les enfants de croyants, plus ou moins croyants même si moins qu'avant, même si peut-être c'est plus vrai pour la religion musulmane

L'on devrait regarder l'autre comme pouvant être soi

"Si j'étais né lui.elle, qu'est-ce que je penserais"

Il y a aussi quelque chose d'égoïste dans sa phrase

Il te veut

Mais tu aimes cela non

Cela te donne aussi une force d'attraction qui est un repère

Le fait d'être désiré diminue tes angoisses métaphysiques

Si tu n'amènes pas tes propres croyances dans l'amitié

— quelles qu'elles soient, religieuses ou autres —

Je dirais qu'il manque un "petit quelque chose"

Tout le monde croit en quelque chose

Les croyances sont un moteur

On oublie juste des fois qu'ce n'sont pas des certitudes

T'as des croyances ?

Je m'en voudrais de ne pas en avoir et je les chéris dans ce qu'elles ont de dérisoire.

Ok.

Bien nous allons passer aux nombres alternatifs de niveau 2

Toujours avec un polynôme de degré 2

ax^2 +  bx + c = 0

Nous allons tester avec ((k1 ou k2) ou (l1 ou l2))

(k1 et Abel)

a((k1 ou k2) ou (l1 ou l2))^2 + b((k1 ou k2) ou (l1 ou l2)) + c = 0

a((k1 ou k2) * (l1 ou l2) ou (l1 ou l2) * (k1 ou k2)) + b((k1 ou k2) ou (l1 ou l2)) + c = 0

Il ne faut pas traiter nos croyances de dérisoires

Puisqu'elles nous font avancer