A quoi Pensez Vous à cet instant ?

Juste un miroir temporel

Un vieux duo avec Calogero Sardou et Renaud.
C'était des slogans pour les anciennes campagnes pour passer des messages de paix à mon époque il y a très très longtemps

Lamorak a écrit:Que c'est nul mais j'assume.

ils ne sont pas encore prêt pour ca

I am so sure a écrit:Un vieux duo avec Calogero Sardou et Renaud.

I am so sure a écrit:Un vieux duo avec Calogero Sardou et Renaud.
C'était des slogans pour les anciennes campagnes pour passer des messages de paix à mon époque il y a très très longtemps

T as fini de scuder deux fois avant que je finisse ma réponse pour tes messages d'après

Je sais bien que tu es en manque de cordes mais bon un peu de galanterie ...

I am so sure a écrit:

I am so sure a écrit:Un vieux duo avec Calogero Sardou et Renaud.
C'était des slogans pour les anciennes campagnes pour passer des messages de paix à mon époque il y a très très longtemps

T as fini de scuder deux fois avant que je finisse ma réponse pour tes messages d'après

zut j'ai floodé

Moi je me cite ... bienvenue chez les dingues. Enchanté très joli entonnoir et ce beau bleu azur vous l'avez créez vous-même

"le masculin l'emporte sur le féminin " répétait mon prof de grammaire juste avant de se soumettre aux injonctions de la directrice d’école

J'aime bien le bordel dans la tête des autres. C'est amusant

plusdidee a écrit:J'aime bien le bordel dans la tête des autres.

Dans cette logique, un AVC serait-il une maison close ?

Water (closets) retro san(n?)isette. (A WC)*

Pense à abaisser la cuvette et à ne pas partir avec tous les rouleaux de PQ en vacances...

je me disais, si I am passait par là, que mon post risquait de l'inspirer, ça n'a pas raté
C'est marrant, le PQ, seul machin ou l'on dépose des souvenirs pour les balancer aussitôt
(élégance, me voici ^^)

Bah non la WC s'est la porte ouverte aux poésies florales

Mais ça sent pas toujours la rose ^^

Tu as ré ouvert ton bar ????

Oh, dans mon bar c'était bien pire ^^

Bah, fais pas ton fier xD

Je m'inspire d'Audi, fier de ses e-tron

C'est çà moque toi. Si je te disais ce qui m'est arrivé sur les 4 anneaux, tu pourrais te moquer pour au moins 4 générations....

Sur Quattro générations, steuplé
Après, il y a pire : tu pourrais n'avoir qu'un anneau avec un V et un W dedans ^^

Ca c'était la précédente... bah t'en qu'à faire autant les faire toute

Mais pas con le gars, sur l'avion la motorisation est PSA

Bloc AX/106 si je me souviens bien
Allez un effort, peut-être finiras-tu en Bugatti

Comme celui là ?



Bon l'original comme la réplique ont mal fini

Ah ben je connaissais pas ^^
900 cv sur un petit avion comme ça, la vache !

Y a pire !!!! Question connerie..déjà voler ce n'est pas naturel, mais mettre des bourrins (peu) pour aller vite...

Le Père Noël a trouvé la solution, il a pris des rennes ^^

Bonne nuit et/ou bon bricolage

Comment ça bonne nuit? Je me lève à peine. Hé ho, partez pas.

Bon, je vais me recoucher.

Que le premier ennemi à combattre est à l'intérieur de soi.
Que bien souvent c'est-le-seul.

Mettre la pile à son ego/principe de parcimonie :

de 2 mots/images-projections de son désir, choisir le moindre ?

Lâcher prise, sourire

Eviter la voie de l'approbation/adhésion/complaisance/domestication ?

Le judo ce serait plus réaliste sur des planches à clous .

Aux coïncidences

Spoiler:

À l'absence.

Et à la fenêtre que j'ai fini par réussir à crocheter avec un morceau d'étendoir à linge. Qui fout des portes qui se verrouillent toutes seules en les claquant sur un balcon ?!

Bon sang...

Que la liberté (d’être, d’expression, d’action) est vraiment une utopie.
Qu’il y a toujours quelque chose ou quelqu’un pour entraver cette liberté.
Qu’a prendre en compte tout et tout le monde on finit par s’oublier.
Que je suis éternellement à côté de la plaque.

Qu'il vaut mieux abandonner l'autre si on a peur de l'être
Qu'être abandonné et se demander pourquoi

arrête de penser

Je peux ?

Chuna a écrit:
1 Qu’a prendre en compte tout et tout le monde on finit par ne plus être libre.
2 Que la liberté (d’être, d’expression, d’action) demande de renoncer à certaines choses.
3 Qu’il y a toujours quelque chose ou quelqu’un pour critiquer le fait que l'on rechercher cette liberté.
4 Que je suis définitivement sur le bon chemin, mais qu'il n'a rien de facile.

L'enfant se construit en disant "non". Quelque soit son âge.
Devenir libre, c'est choisir. Choisir, c'est renoncer. Le modèle en la matière : Diodio

Au nom du père  

Que j'adore Gashi... ^^

À l'infini.

À la terre.

Au bordel de ma vie personnelle... À la saturation d'émotions primitives, primaires et primales. Aux primates. À la simplicité. À simplifier. Détruire et réduire pour révéler. Aux sens cachés.

À la musique, à la poésie et au sens des mots. Aux charges émotionnelles. Aux émotions brutes. À l'énergie pure. Et au mélange des trois.

Aux dérivées. À la dérivée. Et aux dérivatifs.

À la dérision. Aux armures et au son. Toujours au son.

A la terre, à l'hiver et à l'absence.

À l'absence.

Et aux messages qui bouclent.

À l'infini.

A trop vouloir s'approcher du soleil, on finit par se bruler les ailes .

Très bonne remarque..!

Mais simplifier les émotions serait suffisant. Un seul fil à la terre. Besoin de rien de plus.

Les émotions sont une surcharge cognitive constante. Rien de pire pour moi que de fréquenter des THQE.... Et aimer est encore un cran au dessus. Je déteste être à la traîne, et j'apprends vite. Je me suradapte comme qui rigole. Sauf que c'est pas gratuit.

Et c'est une telle perte sèche.

Ce gâchis d'énergie.

Sinon en soi mon nouveau boulot est cool, les enjeux suffisamment fondamentaux pour m'intéresser vraiment et je sens venir dans mes pensées le changement de paradigme.

Mais un poil stressant au début et je ressens le soir la saturation d'émotions primitives.

C'est là qu'elle me manque... un amour simple, entier et sincère. Un amour élémentaire. Un fil à la terre. Juste de quoi simplifier d'un seul trait toutes les décimales de pi en un seul symbole.

Les machines ne remplacent pas le cœur à l'ouvrage de l'humain

En fait l'inconscient généré par le cœur à l'ouvrage.

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A quoi pensez-vous ?

A cette phrase : "Désolé, je ne flinguerai plus ton Topic. Par contre je réponds systématiquement quand on m agresse." Yusaku

Le miroir devrait fonctionner mais seulement vu comme une causalité automatique.

Ou presque, chacun est libre de ses choix.

Et chacun sait s'il veut coopérer, s'amuser ou se bagarrer. Mais en soi la seule force du miroir c'est d'éliminer la rancune.

Une fois l'émotion rendue le retour à la bienveillance est lui aussi automatique. Plus de raison de s'en vouloir ? Ben non. On s'aime bien quand même. Et recommencent les choix.

Et chacun sait s'il veut coopérer, s'amuser ou se bagarrer.

Tiens..! Coopérer ou bagarrer. Deux pôles opposés.

Possible d'être le pur coopératif ou le pur bagarreur. Deux valeurs sûres.

Possible aussi d'être le vrai gentil qui se bat comme un dieu ou d'être au dessus de ça sans réfléchir. Et peut-être mieux encore.

juste des formes abstraites

Ah oui j'aime beaucoup Scarlatti aussi !     

(merci Siamois me l'avoir rappelé   )

les enfants cassent leur jouet et après ils pleurent ....

Une réflexion en l'air d'hier... La différence entre le sauveur et la bienveillance, est ce que ce n'est pas juste de savoir qu'aider n'est pas une mission sacrée ? Mais simplement la normalité.

Pourquoi la bienveillance consisterait à "aider" et pas juste à être ?

Pourquoi la bienveillance consisterait juste à "aider" et pas à être ?

Qui a dit qu'aider est la normalité ?

Aider à quoi ? Qui ? Pourquoi ? Pour qui au juste ?

S'aider soi même c'est de la bienveillance non ?

bon bref petites pensées du moment en lisant le post précédent.

Biper a écrit:Pourquoi la bienveillance consisterait à "aider" et pas juste à être ?

Bien vu !

La bienveillance est un état d'esprit qui n'attend point de reconnaissance.
Le sauveur, lui, agit dans l' attente d'un retour, ce retour n'est d'ailleurs que la seule raison pour laquelle il "sauve" (sic).
(cf: triangle de Karpman : source du triangle : la culpabilité, dont on sort par la reconnaissance de la notion de responsabilité assumée, la sienne et celle des autres)