°L4nge° - Livre I / Chapitre I / Alinea I - Les prémices

On échange NOB ;-)

Trop mimi ton cat Val   

Coucou Offset !

je sais que t'aime pas trop se style de musique mais bon

Mdr ! Val, je pense que tu ne connais strictement rien à mes goûts musicaux.
Merci, j'aime bien si.

 


  

bon double post mais je peux pas mettre la musique sur le fil de nob' alors en tendant son retour bin je la met cher toi l4nge ( ouai je fourgue mon bazar cher toi et alors )

je peux tout faire tout ? même mettre des truc heu indésirable ?

nan je déconne je suis pas comme sa ( ou pas x)

même genre des truc come sa

en spoil pasque bon ^^ :

Génial !

t an manque ?

nan mais je déconne x)

^^

j'ai pas mieux dessoler x) après sa s'appel des site x

Oh punaise Val ! C'est exactement la même photo qui a été retenue pour le projet   
Sauf que c'est pas profil droit mais gauche et que la tête est levée vers le ciel

T'étais là ou bien ?   

bé t'as vu (je suis quasi pareil)
Enfin pas vraiment. Cheveux plus courts, pas de peinture et un tit peu de ventre en plus   (mais pas de retouches   )

Y a une solution, même deux.
Soit tu pourras la voir en venant chez moi, soit en te baladant dans une expo

Te l'envoyer !   
Euh ... je suis pas un musée hein, j'ai pas le service expédition pour t'envoyer un tableau   

Non pas violer, rose !   

Ba voyons
Et c'est la marmotte qui met le chocolat dans le papier d'alu ?   
J'ai pas envie qu'elle finisse je ne sais où   

Tout ce que tu auras c'est ca (mon fond d'écran actuel)

Spoiler:

  

No Body n'est qu'un r'Eve a écrit:Oh punaise Val ! C'est exactement la même photo qui a été retenue pour le projet   
Sauf que c'est pas profil droit mais gauche et que la tête est levée vers le ciel

T'étais là ou bien ?   

nan j'était pas la ...  

Spoiler:

Le jour se levait. Déjà, presque, je regrettais l'anonymat nocturne, la douce obscurité protectrice... Le soleil ne faisait encore que raser le haut des murs de mon labyrinthe, sans dissiper l'ombre et la brume qui m'entouraient. Un nouveau jour, un autre jour, qui se déroulerait comme tant d'autres, identique dans chaque recoin de ce labyrinthe de l'Ennui... Mon immémoriale errance, sous l'éternelle alternance des influences du Soleil et de la Lune, avait déjà laissé, gravés sur ces murs, tant de mots, de pensées, de lignes entremêlées et oubliées, mes pieds avaient déjà dansé tant de dessins informes sur la poussière du sol... Je songeais quelquefois à ces régions polaires où le jour comme la nuit s'installent pour longtemps et ne se mêlent qu'avec un crépuscule de regrets... j'y songeais presque avec envie. Je haïssais le soleil de midi qui écrasait sans pitié de sa lumière les moindres recoins de ma tortueuse et vide résidence. Mon âme féline préférait la froide lumière lunaire, qui laissait délicatement comme un masque sur toutes choses...
Parfois, joyeuse et turbulente, je m'enthousiasmais comme d'un trésor de chaque reflet de lumière, de chaque éclat de pierre, plus encore, de chaque hurlante et dérisoire affirmation de vie et de couleur poussant ou s'agitant entre la pierre et la poussière ! Parfois, hautainement prostrée sur mes fissures, je dédaignais aux plus grandioses spectacles du ciel et de la terre le droit de m'émouvoir.
Souvent, me traînant inlassablement le long de ces couloirs ouverts à tous les vents, enfermée par ma seule ignorance du chemin, je levais les yeux vers le ciel, le ciel infini, le ciel traversé de nuages toujours changeants... Et je rêvais aux ailes que je sentais parfois, en certains instants palpitant de folie, naissantes entre mes omoplates, et ma pensée déployait ces ailes inexistantes pour emporter mon imagination planer et virevolter entre les moutonnements montagneux des nuages... Je riais, et je voulais respirer immensément cet air libre, là-haut, mais la poussière qui entrait dans mes poumons me rappelait cruellement mes pieds fixés au sol, me faisait tousser, pleurer, étouffer en silence. Je me sentais pourtant parfois si légère, légère, presque inconsistante, comment comprendre que cette demeure solide et pesante me retienne si inéluctablement ? -Une bille minuscule mais infiniment dense et lourde de haine, enfouie dans mon gouffre intérieur... -
Le jour se levait... Déjà, presque, je regrettais la brume matinale, tandis que le soleil infiltrait lentement ses rayons entre les hauts murs de mon asile. Une silhouette attira mon regard... En haut de l'un de mes murs, un ange était assis, un être aux ailes puissantes mais froissées, arrivant sans doute de quelque région orageuse et doutant de l'éclat du soleil, il prenait un peu de repos en jetant un regard curieux sur mes pensées de pierre s'entremêlant sous lui. J’eus un élan, je parcourus en courant quelques galeries pour m'assurer de cette vision en m'en approchant... L'ange m'aperçut, et me sourit.
M'armant d'éclats rocheux, j'entrepris de creuser la paroi dans ses endroits les plus friables et, tout comme j'avais tant de fois gravé tant de mots, je créai une échelle maladroite, quelques prises pour rejoindre le sommet de ce mur...
Et je suis là, en bas. Je regarde ce chemin vertical, ce possible chemin de sortie, que l'ange assis là-haut m'a donné la force de créer... Je regarde vers lui, vers son regard bienveillant, et je reste en bas, figée... Il y a ce minuscule boulet de haine, de dégoût, de peurs sans nom, à cause duquel déjà j'ai fuis ou fais fuir les rares passants ayant cherché un instant de repos sur ces hauts murs, ce minuscule et si pesant boulet intérieur qui me retient, immobile, dans la poussière... Il me chuchote que l'ange n'est qu'un mirage, le ciel une illusion, et mes mains saignent à se crisper sur les prises du mur sans oser y monter, tandis que le soleil continue sereinement et insensiblement sa chaude ascension...

(bon ben puisque maintenant c'est écrit là... j'l'envoie...)

  
Idiot, je ne suis pas plus contente de mon texte que toi du tien. C'est bourré de défauts. Mais des gens en qui j'ai confiance croient en ma plume, alors j'ose y croire un peu, et tu devrais faire pareil.
(Je ne sais plus quel poète a dit qu'être écrivain, c'est ressentir le besoin d'écrire, le reste se travaille...)

  

Je ne viendrais plus sur ton fil
Apparemment Chat Bleu a besoin d'intimité ...

  

Ouais pask'à part Val et moi, y a pas tant de monde que ca qui vient     
Trop tard j'l'ai dit !

rhooo nob' tu dit sa juste qu'il ta quitter ?

Chat Bleu a écrit:Idiot, je ne suis pas plus contente de mon texte que toi du tien. C'est bourré de défauts. Mais des gens en qui j'ai confiance croient en ma plume, alors j'ose y croire un peu, et tu devrais faire pareil.
(Je ne sais plus quel poète a dit qu'être écrivain, c'est ressentir le besoin d'écrire, le reste se travaille...)

+1

l4nge écouter et apprend des conseil que l'on te donne !

Non Val
J'dis ca paske je dis toujours ce que je pense (que ca plaise ou non d'ailleurs)

il y a une personne sur le forum que j'aime beaucoup de par ses dessin
qui, il y a quelque temps nous a dit " le talent sa n'existe pas tout s'apprend et se développe"

petit plus:

Je ne veux chasser personne, moi !!

Il est bien ce p'tit Val !

Oui Val, et cette personne (Nouménie) je l'ai croisé lorsque j'ai vu Heaven
Elle est belle comme un coeur et le l'aime beaucoup  

J'me casse

No Body n'est qu'un r'Eve a écrit:Oui Val, et cette personne (Nouménie) je l'ai croisé lorsque j'ai vu Heaven
Elle est belle comme un coeur et le l'aime beaucoup  

J'me casse

ta vue Noumenie irl ????

et ta une bonne mémoire didon


Chat Bleu, merci ^^

Je viendrais pourquoi pas plus souvent (remarque j'ai pas grand chose à dire, vraiment pas grand chose en fait) mais j'aime pas me trouver au même endroit que d'autres.
Que d'autre, pardon.

Uccen, tu veux dire que maintenant tu viens paske j'me casse c'est ca ?
Si y a que ca il faut le dire
Toi qui dis avoir une grande gueule et des couilles
Exprimes ta pensée jusqu'au bout

Coucou fillette. Difficile de te joindre... plus de mp. Je t'ai envoyé un mail. Regarde. Et vois. Jtb

Un ange aux ailes et aux idées noires s'est posé dans un coin de mon âme, discrètement... Il ne se doute pas qu'il est le premier que j'y laisse entrer ainsi. Et qu'il ne dépend pas de lui d'en sortir.
Il croit que les yeux qui voient du bien en lui sont aveugles. Il croit n'être rien d'autre que la couleur de ses plumes. Il veut aider les autres et ne veut pas qu'on l'aide.
Mais les chats, solitaires, aiment la nuit et y voient comme le jour. Ils n'ont pas de règles, ne comptent que sur leurs griffes et retombent sur leurs pattes, aussi hauts soient les murs. Ils ne s'attachent qu'aux pas de ceux qui peuvent aussi les suivre.

Le jour se levait... Il n'est pas de brouillard que le soleil ne puisse dissiper. Puis un ange aux ailes froissées s'est posé, comme par erreur, sans le savoir, dans un coin de mon âme. Si, dédaignant cet asile, il s'envole trop tôt vers ses cieux inconnus, s'il ne laisse au chat que quelques plumes à mâchonner, le chat s'en fabriquera des ailes, et, invisible tache bleu nuit dans le ciel nocturne, il cherchera leur propriétaire, car les mirages ne s'enfuient pas, ils se dissipent.

Z, je dévérouille et je repars
Ca pu trop !

Y en a qui ont de la merde dans les yeux et ca me soule

No Body n'est qu'un r'Eve a écrit:Uccen, tu veux dire que maintenant tu viens paske j'me casse c'est ca ?
Si y a que ca il faut le dire
Toi qui dis avoir une grande gueule et des couilles
Exprimes ta pensée jusqu'au bout

Je n'ai rien dit de tel et je m'adressais au propriétaire du fil,
mettre les points sur les i c'est un peu concon mais comme tu me le demandes,

non je ne viens pas là maintenant parce que tu te casses, ça me fait une belle jambe,
je ne viens pas ici en général parce que tu es là, je ne sais pas si je viendrai plus, sans doute pas, mais ce qui est précisé avant est certain.

nob' ..
( Mr z vu que nob' a ploquer son fil et qu'elle passe souvent sur le mien je t'y invite ( nan c pas de la pub ^^ )

Chat Bleu, tu peux donner des cour a notre l4nge désespérer qui n’entent que no pleure et refuse no poignée de main ? ( pasque oui sa fait cette effet la l4nge ! )