Réflexions sur le temps
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Réflexions sur le temps
Bonjour,
Je tiens à poster mes brèves réflexions sur le temps pour avoir vos précieux retour sur tout ce que vous voulez !
Je ne trouve pas la motivation de continuer ce que j'ai commencé il y a quelques semaines, vos retours peuvent être le déclencheur !
https://docs.google.com/document/d/1SplUY0eC1of2wZutF9OhNdZCN_3LgV64RYDoOMOvzdk/edit
Merci !
Je tiens à poster mes brèves réflexions sur le temps pour avoir vos précieux retour sur tout ce que vous voulez !
Je ne trouve pas la motivation de continuer ce que j'ai commencé il y a quelques semaines, vos retours peuvent être le déclencheur !
https://docs.google.com/document/d/1SplUY0eC1of2wZutF9OhNdZCN_3LgV64RYDoOMOvzdk/edit
Merci !
Invité- Invité
Re: Réflexions sur le temps
jva essayer de prendre le temps de le lire ! C'est le genre de truc qui m'intéresse. Tu t'es documenté avant, ou bien tu as écris ça comme tu pensais ? (car il y a un paquet de pensées déjà établies sur le temps)
Thaïti Bob- Messages : 1850
Date d'inscription : 27/01/2012
Age : 37
Localisation : Avignon
Re: Réflexions sur le temps
Je me suis renseigné indirectement, j'en ai parlé avec mon père historien qui m'a fait le topo sur les différentes visions du temps dans les anciennes civilisation et aussi de point de vu physique au fur et a mesure que j'ai pris mes cours...
Invité- Invité
Re: Réflexions sur le temps
Je tourne souvent autours du temps dans ce qui m'intéresse entre philosophie, mythologie, histoire et physique voir même dans la représentation mais la j'attaque la représentation de l'espace.
Je serais assez heureux d'essayer de partager mes vues sur le sujet.
Aussi je post ce billet pour pouvoir en retrouver puis partager ou y lire sous peu les commentaires.
Je vois qu'il y a déjà un décalage temporel entre ma réponse et la correspondance. Donc, déniez que je ne réponde pas trop vite. C'est que je dois tourner ma langue 7 fois.
A bientôt j'espère!
Je serais assez heureux d'essayer de partager mes vues sur le sujet.
Aussi je post ce billet pour pouvoir en retrouver puis partager ou y lire sous peu les commentaires.
Je vois qu'il y a déjà un décalage temporel entre ma réponse et la correspondance. Donc, déniez que je ne réponde pas trop vite. C'est que je dois tourner ma langue 7 fois.
A bientôt j'espère!
Όδυς- Messages : 65
Date d'inscription : 05/01/2013
Age : 35
Localisation : 47°N par 1°W a quelques minutes près
Re: Réflexions sur le temps
Ha un topic pour moi
C'est un sujet sur lequel j'ai passé bien des heures de réflexion..
EDIT : déjà les premières lignes, c'est ce que j'ai posté sur un autre topic.. ça me plaît
C'est un sujet sur lequel j'ai passé bien des heures de réflexion..
EDIT : déjà les premières lignes, c'est ce que j'ai posté sur un autre topic.. ça me plaît
Invité- Invité
Re: Réflexions sur le temps
Όδυς : il faut que tu lises Einstein dans le texte alors, réellement!
http://www.dunod.com/sciences-techniques/loisirs-scientifiques-techniques/culture-scientifique/sciences-de-la-matiere-et-/la-theorie-de-la-re
http://www.dunod.com/sciences-techniques/loisirs-scientifiques-techniques/culture-scientifique/sciences-de-la-matiere-et-/la-theorie-de-la-re
Thaïti Bob- Messages : 1850
Date d'inscription : 27/01/2012
Age : 37
Localisation : Avignon
Re: Réflexions sur le temps
Et bien, c'est très vaste tout ça. Bon je vais tenter un essai. (je rappelles que je spécule, que si je met des auteurs, cela ne fais pas en sois argument d'autorité et qu'une critique de ma vision et de ma compréhension sera la bien venu [sauf de l'orthographe, bien entendu ])
Attaquons-nous déjà a cette vitesse de l'information, soit de la vitesse de la lumière dans le vide.
C'est un référentiel, une valeur fixe et universel (trouver par Maxwell mais dont Einstein a interpréter tout le potentiel). C'est a dire que si le mouvement et le repos de chacun s'inscrit par rapport à un observateur, ici cette vitesse ne change pas. Pire, cette vitesse, ou se point dans un univers multidimentionnel permet d'exprimer une masse, une longueur ou une position, bref de la choséité même (que l'on peut exprimer grâce au dilatateur du temps γ. Clin d'oeil de Doc dans retour vers le futur? ^^). Ainsi on peut dire que nous allons à cette même vitesse, mais en emprunter un chemin plus chaotique et que c'est ce chemin même qui donne une première impression subjective car un être passant toute sa vie a la vitesse luminique pourrait passer toute sa vie dans l'univers sans avoir vécue.
A partir de ce référentiel, nous pouvons appliquer une géométrie dans l'espace mais contre-intuitive car de prime abord non-euclidienne (mise en avant dans l'espace-temps de Minkowsky). Cette vision a chambouler notre regard philosophique (Bergson s'y est inspirée), mais aussi esthétique car c'est la relativité même du cadre qui apparaît (exprimée par les cubistes en premier lieu, exposée par Nelson Goodman ). Nous arrivons aussi a une limite empirique voir cognitive car nous expérimentons une dissociation entre l'espace et le temps, car si notre représentation de la réalité est fausse, elle est suffisante. D'ailleurs, cela voudrais dire la perspective nous permettant de voir la seconde passé de notre vision de l'instant serait comme de la voir à la surface de la lune. Et si nous sommes des Êtres quadridimentionnel, nous n'avons accès qu'a une partie de notre existence et ne pouvons y revenir. C'est comme si nous mesurions notre longueur dans cette nouvelle dimension sans profiter de toute la mesure. Pour autant, cela permet de ne pas être dans un univers fataliste mais probabiliste ce qui me fait spéculer que l'infiniment petit et proche fonctionnerait comme l'avenir à l'inverse de l'infiniment lointain et grand qui fonctionnerait comme le passé mais je n'ai pas assez de connaissance à ce sujet.
Autre chose curieuse, c'est que l'information peut disparaître se qui veut dire que le fait d'avoir exister ne nous est pas forcément légué éternellement. C'est une interprétation que j'ai du paradoxe de l'information mise en avant par Stephen Hopkins. Mais la encore, je suis aux balbutiement.
Attaquons-nous déjà a cette vitesse de l'information, soit de la vitesse de la lumière dans le vide.
C'est un référentiel, une valeur fixe et universel (trouver par Maxwell mais dont Einstein a interpréter tout le potentiel). C'est a dire que si le mouvement et le repos de chacun s'inscrit par rapport à un observateur, ici cette vitesse ne change pas. Pire, cette vitesse, ou se point dans un univers multidimentionnel permet d'exprimer une masse, une longueur ou une position, bref de la choséité même (que l'on peut exprimer grâce au dilatateur du temps γ. Clin d'oeil de Doc dans retour vers le futur? ^^). Ainsi on peut dire que nous allons à cette même vitesse, mais en emprunter un chemin plus chaotique et que c'est ce chemin même qui donne une première impression subjective car un être passant toute sa vie a la vitesse luminique pourrait passer toute sa vie dans l'univers sans avoir vécue.
A partir de ce référentiel, nous pouvons appliquer une géométrie dans l'espace mais contre-intuitive car de prime abord non-euclidienne (mise en avant dans l'espace-temps de Minkowsky). Cette vision a chambouler notre regard philosophique (Bergson s'y est inspirée), mais aussi esthétique car c'est la relativité même du cadre qui apparaît (exprimée par les cubistes en premier lieu, exposée par Nelson Goodman ). Nous arrivons aussi a une limite empirique voir cognitive car nous expérimentons une dissociation entre l'espace et le temps, car si notre représentation de la réalité est fausse, elle est suffisante. D'ailleurs, cela voudrais dire la perspective nous permettant de voir la seconde passé de notre vision de l'instant serait comme de la voir à la surface de la lune. Et si nous sommes des Êtres quadridimentionnel, nous n'avons accès qu'a une partie de notre existence et ne pouvons y revenir. C'est comme si nous mesurions notre longueur dans cette nouvelle dimension sans profiter de toute la mesure. Pour autant, cela permet de ne pas être dans un univers fataliste mais probabiliste ce qui me fait spéculer que l'infiniment petit et proche fonctionnerait comme l'avenir à l'inverse de l'infiniment lointain et grand qui fonctionnerait comme le passé mais je n'ai pas assez de connaissance à ce sujet.
Autre chose curieuse, c'est que l'information peut disparaître se qui veut dire que le fait d'avoir exister ne nous est pas forcément légué éternellement. C'est une interprétation que j'ai du paradoxe de l'information mise en avant par Stephen Hopkins. Mais la encore, je suis aux balbutiement.
Όδυς- Messages : 65
Date d'inscription : 05/01/2013
Age : 35
Localisation : 47°N par 1°W a quelques minutes près
Re: Réflexions sur le temps
pas très accessible comme texte avec toutes ces ellipses et toutes ces directions dans lequel il part. Mais il a le mérite de montrer que tu as une grande culture de la chose !
"Ainsi on peut dire que nous allons à cette même vitesse, mais en emprunter un chemin plus chaotique et que c'est ce chemin même qui donne une première impression subjective car un être passant toute sa vie a la vitesse luminique pourrait passer toute sa vie dans l'univers sans avoir vécue."
-> pas trop compris ça. même en voyageant à une vitesse luminique, l'être vivra normalement sa vie. Sa montre tournera à un rythme habituel ; seul un observateur fixe par rapport au milieu interstellaire constaterait qu'il ne vieillit pas.
"Nous arrivons aussi a une limite empirique voir cognitive car nous expérimentons une dissociation entre l'espace et le temps, car si notre représentation de la réalité est fausse, elle est suffisante."
-> intéressant ! On voit surtout que la particularité du temps, c'est que bien qu'il soit strictement équivalent à une dimension géométrique dans la théorie, on ne peut pas se déplacer à volonté le long de cet axe. Tout point au repos possède la même vitesse qui est de "+ une seconde/s" le long de cette dimension.
ça me fait penser à Stephen Hawking (d'ailleurs, c'est à lui que tu fais allusion dans tes dernières lignes, et non Hopkins), et son hypothèse de temps imaginaire. Une sorte de deuxième dimension de temps, orthogonale à la notre. Il représente ces deux temps sur la surface d'une sphere. le Pôle sud étant l'origine du "début" du temps empirique (=de l'univers en gros d'après mes souvenirs), et le pôle nord, la fin des temps. En remontant le long d'un méridien, on ne se déplace que dans le temps empirique normal. Si on se déplace le long d'un parallèle (exemple : l'équateur), on se déplace purement dans le temps imaginaire. Le temps imaginaire, on le voit par l'image du globe terrestre, pourrait être donc cyclique d'après ce qu'il propose (car on peut tourner tant qu'on veut autour du globe le long d'un parallèle), et on pourrait s'y déplacer dans la direction qu'on veut. Mais je ne me souviens plus du Pourquoi il devait ammener cette notion de temps imaginaire. En tout cas, sorti de sa justification théorique et cosmologique, ça fait un bon exercice mental !
" D'ailleurs, cela voudrais dire la perspective nous permettant de voir la seconde passé de notre vision de l'instant serait comme de la voir à la surface de la lune."
-> pas compris non plus ! tu peu la réécrire sans faute de syntaxe stp ? ^^
"Ainsi on peut dire que nous allons à cette même vitesse, mais en emprunter un chemin plus chaotique et que c'est ce chemin même qui donne une première impression subjective car un être passant toute sa vie a la vitesse luminique pourrait passer toute sa vie dans l'univers sans avoir vécue."
-> pas trop compris ça. même en voyageant à une vitesse luminique, l'être vivra normalement sa vie. Sa montre tournera à un rythme habituel ; seul un observateur fixe par rapport au milieu interstellaire constaterait qu'il ne vieillit pas.
"Nous arrivons aussi a une limite empirique voir cognitive car nous expérimentons une dissociation entre l'espace et le temps, car si notre représentation de la réalité est fausse, elle est suffisante."
-> intéressant ! On voit surtout que la particularité du temps, c'est que bien qu'il soit strictement équivalent à une dimension géométrique dans la théorie, on ne peut pas se déplacer à volonté le long de cet axe. Tout point au repos possède la même vitesse qui est de "+ une seconde/s" le long de cette dimension.
ça me fait penser à Stephen Hawking (d'ailleurs, c'est à lui que tu fais allusion dans tes dernières lignes, et non Hopkins), et son hypothèse de temps imaginaire. Une sorte de deuxième dimension de temps, orthogonale à la notre. Il représente ces deux temps sur la surface d'une sphere. le Pôle sud étant l'origine du "début" du temps empirique (=de l'univers en gros d'après mes souvenirs), et le pôle nord, la fin des temps. En remontant le long d'un méridien, on ne se déplace que dans le temps empirique normal. Si on se déplace le long d'un parallèle (exemple : l'équateur), on se déplace purement dans le temps imaginaire. Le temps imaginaire, on le voit par l'image du globe terrestre, pourrait être donc cyclique d'après ce qu'il propose (car on peut tourner tant qu'on veut autour du globe le long d'un parallèle), et on pourrait s'y déplacer dans la direction qu'on veut. Mais je ne me souviens plus du Pourquoi il devait ammener cette notion de temps imaginaire. En tout cas, sorti de sa justification théorique et cosmologique, ça fait un bon exercice mental !
" D'ailleurs, cela voudrais dire la perspective nous permettant de voir la seconde passé de notre vision de l'instant serait comme de la voir à la surface de la lune."
-> pas compris non plus ! tu peu la réécrire sans faute de syntaxe stp ? ^^
Thaïti Bob- Messages : 1850
Date d'inscription : 27/01/2012
Age : 37
Localisation : Avignon
Re: Réflexions sur le temps
Je viens justement de me faire ceci, c'est proprement fascinant:
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=NDYIdBMLQR0
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=NDYIdBMLQR0
Invité- Invité
Re: Réflexions sur le temps
Et merde une erreur de manip'. J'ai répondu mais ne vois pas ma réponse
On y retourne.
En premier: En faite il faut se souvenir de l'exemple de l'horloge à lumière. Les photons rebondissent d'un miroir à un autre dans un train. Si l'on atteint la vitesse c, les photons ne peuvent plus atteindre le miroir. L'observateur au quai constate donc que le temps en figé pour celui rester dans le train. Celui-ci ne constate rien et tant que la vitesse n'aura pas chuter ne constatera jamais rien.
Le facteur de ralentissement de cette horloge a lumière est donner par la formule γ=1/racine(1-v²/c²). Si v=c(vitesse de la lumière dans le vide) le ralentissement est infini. En clair quelqu'un enfermer à la vitesse c est téléporter (de son point de vu) dans un point futur qui commence à partir d'une décélération de sa vitesse.
Ensuite, pour la dernière phrase " D'ailleurs, cela voudrais dire la perspective nous permettant de voir la seconde passé de notre vision de l'instant serait comme de la voir à la surface de la lune."
Ouais, j'ai été très très fort. Plus je dis ou écris ce que je pense, plus je part dans tout les sens en faisant de terribles raccourcis.
Quand nous voyons une étoile nous la voyons sous la double perspective que d'une part plus un objet est lointain, plus il nous semble petit, mais également plus celui-ci est passé. Sirius se trouve à 8,55 années-lumière soit la distance où chaque seconde de cette année est une distance d'environ 300 000 km, mais également elle se trouve 8.55 années dans le passé.
Aussi, en imaginant que nous ayons une excellente vue, on peut imaginer une nouvelle perspective. A un niveau microscopique, je devrai avoir dans la vision actuelle de mon bureau, celui de mon bureau il y a une seconde.
Cela explique pourquoi je pars ensuite sur la physique quantique en postulant que le désaccord entre l'infiniment grand et l'infiniment petit est peut-être une erreur de perspective ou dans l'on verrais pour l'un comme au passé et l'autre comme au futur.
Et bien, je me remet à la physique théorique que depuis quelques mois et quand je dis que je me remet, je peut pas vraiment dire qu'au collège j'avais à porter de mains beaucoup d'informations (une encyclopédie et un article de science et vie junior sur la matière exotique ^^). Je dirais plutôt que j'ai l'habitude de jongler avec pleins de donnée et construire une usine à gaz que je démolis tout aussi proprement. J'aime bien spéculer dans le monde des idées ^^ J'ai pris beaucoup de temps pour ne pas aller dans tout les sens, simplifier mes propos, aussi quelques fois la nature reprend ses droits ^^. Mais, il faut avouer que je dois m'appliquer quelque peut afin au moins de construire une phrase cohérente (même si je peux peut-être ici me permettre d'être un chouïa abscons, mais alors seulement un chouïa ^^).
Hopkins il ne l'a pas encore manger. Etonnant ce temps imaginaire. Adolescent, j'avais imaginé représenter l'univers comme une sphère du pôle nord (big bang), au pôle sud (big crunch)où l'équateur serait la taille maximal de l'univers (la longitude serait donc l'espace). Le volume aurait compter toutes les possibilités de l'univers. Mais là, on dirait que Hawkins a carrément passé le cap au-dessus! Je me demande bien ce que pourrait-être ce temps imaginaire. Est-ce le champs des probabilités?
Bon, je vais regarder ce qu'Etienne Klein a dit.
On y retourne.
En premier: En faite il faut se souvenir de l'exemple de l'horloge à lumière. Les photons rebondissent d'un miroir à un autre dans un train. Si l'on atteint la vitesse c, les photons ne peuvent plus atteindre le miroir. L'observateur au quai constate donc que le temps en figé pour celui rester dans le train. Celui-ci ne constate rien et tant que la vitesse n'aura pas chuter ne constatera jamais rien.
Le facteur de ralentissement de cette horloge a lumière est donner par la formule γ=1/racine(1-v²/c²). Si v=c(vitesse de la lumière dans le vide) le ralentissement est infini. En clair quelqu'un enfermer à la vitesse c est téléporter (de son point de vu) dans un point futur qui commence à partir d'une décélération de sa vitesse.
Ensuite, pour la dernière phrase " D'ailleurs, cela voudrais dire la perspective nous permettant de voir la seconde passé de notre vision de l'instant serait comme de la voir à la surface de la lune."
Ouais, j'ai été très très fort. Plus je dis ou écris ce que je pense, plus je part dans tout les sens en faisant de terribles raccourcis.
Quand nous voyons une étoile nous la voyons sous la double perspective que d'une part plus un objet est lointain, plus il nous semble petit, mais également plus celui-ci est passé. Sirius se trouve à 8,55 années-lumière soit la distance où chaque seconde de cette année est une distance d'environ 300 000 km, mais également elle se trouve 8.55 années dans le passé.
Aussi, en imaginant que nous ayons une excellente vue, on peut imaginer une nouvelle perspective. A un niveau microscopique, je devrai avoir dans la vision actuelle de mon bureau, celui de mon bureau il y a une seconde.
Cela explique pourquoi je pars ensuite sur la physique quantique en postulant que le désaccord entre l'infiniment grand et l'infiniment petit est peut-être une erreur de perspective ou dans l'on verrais pour l'un comme au passé et l'autre comme au futur.
Et bien, je me remet à la physique théorique que depuis quelques mois et quand je dis que je me remet, je peut pas vraiment dire qu'au collège j'avais à porter de mains beaucoup d'informations (une encyclopédie et un article de science et vie junior sur la matière exotique ^^). Je dirais plutôt que j'ai l'habitude de jongler avec pleins de donnée et construire une usine à gaz que je démolis tout aussi proprement. J'aime bien spéculer dans le monde des idées ^^ J'ai pris beaucoup de temps pour ne pas aller dans tout les sens, simplifier mes propos, aussi quelques fois la nature reprend ses droits ^^. Mais, il faut avouer que je dois m'appliquer quelque peut afin au moins de construire une phrase cohérente (même si je peux peut-être ici me permettre d'être un chouïa abscons, mais alors seulement un chouïa ^^).
Hopkins il ne l'a pas encore manger. Etonnant ce temps imaginaire. Adolescent, j'avais imaginé représenter l'univers comme une sphère du pôle nord (big bang), au pôle sud (big crunch)où l'équateur serait la taille maximal de l'univers (la longitude serait donc l'espace). Le volume aurait compter toutes les possibilités de l'univers. Mais là, on dirait que Hawkins a carrément passé le cap au-dessus! Je me demande bien ce que pourrait-être ce temps imaginaire. Est-ce le champs des probabilités?
Bon, je vais regarder ce qu'Etienne Klein a dit.
Όδυς- Messages : 65
Date d'inscription : 05/01/2013
Age : 35
Localisation : 47°N par 1°W a quelques minutes près
Re: Réflexions sur le temps
Très bonne introduction d'Etienne Klein présenter par house qui montre assez bien l'étendu de mon ignorance ^^. Mais c'est bien! Cela créer une dynamique.
Deux de mes handicapes sont d'une part que j'ai une connaissance provenant de vulgarisation. Je pense aussi qu'un minimum de mathématique est nécessaire. D'autre part, le temps physique ne semble unifier que par la loi causal (aristotélicienne mdr) et la physique quantique est pour moi une véritable inconnu faute d'y avoir encore trop jeté un coup d'oeil.
C'est très drôle qu'il tourne autour de Bergson. Je vais refeuilleter La "pensée et le mouvant". Je n'avais pas connaissance de sa remarque à Einstein.
C'est très agréable de discuter de cela. Je n'en avais pas encore eu l'occasion.
Par contre à la fin, Klein nous dit que la constante cosmologique répond à la question de l'énergie noire. Je ne vois pas pourquoi, ne serait-ce de savoir quel est cette constante cosmologique?
Deux de mes handicapes sont d'une part que j'ai une connaissance provenant de vulgarisation. Je pense aussi qu'un minimum de mathématique est nécessaire. D'autre part, le temps physique ne semble unifier que par la loi causal (aristotélicienne mdr) et la physique quantique est pour moi une véritable inconnu faute d'y avoir encore trop jeté un coup d'oeil.
C'est très drôle qu'il tourne autour de Bergson. Je vais refeuilleter La "pensée et le mouvant". Je n'avais pas connaissance de sa remarque à Einstein.
C'est très agréable de discuter de cela. Je n'en avais pas encore eu l'occasion.
Par contre à la fin, Klein nous dit que la constante cosmologique répond à la question de l'énergie noire. Je ne vois pas pourquoi, ne serait-ce de savoir quel est cette constante cosmologique?
Όδυς- Messages : 65
Date d'inscription : 05/01/2013
Age : 35
Localisation : 47°N par 1°W a quelques minutes près
Re: Réflexions sur le temps
(très) grosso merdo, Einstein s'est rendu compte que sa relativité générale merdait quand Hubble, une quinzaine d'années plus tard, a observé que contrairement à ce que la relativité générale prévoyait, l'expansion de l'univers (observée en mesurant la vitesse à laquelle les galaxies s'éloignaient les unes des autres) n'était pas en train de ralentir comme prévu (du fait de la gravitation) mais était en train d'accélérer.
Einstein a "corrigé" ses équations en y introduisant une constante dite "cosmologique" qui prévoit cette accélération. Mais il n'avait AUCUNE idée de ce que c'était, en pratique.
Quelques décennies plus tard, certains physiciens ont calculé la masse d'énergie "manquante" dans l'univers pour expliquer cette accélération. Ils ont appelé cette valeur "l'énergie noire" mais n'ont pas non plus la moindre idée de ce que c'est. La théorie des neutrinos a été en grande partie écartée quand on est parvenu à en mesurer la masse (et donc l'énergie) il y a quelques années.
Je suis d'accord avec Klein, donc
Par ailleurs, la théorie des multivers répond à cette interrogation d'une autre façon: Il y a d'autres univers autour du nôtre qui exerceraient une force sur le nôtre.
(si j'ai bien compris, je ne me suis remis à la physique qu'il y a 4 jours )
Einstein a "corrigé" ses équations en y introduisant une constante dite "cosmologique" qui prévoit cette accélération. Mais il n'avait AUCUNE idée de ce que c'était, en pratique.
Quelques décennies plus tard, certains physiciens ont calculé la masse d'énergie "manquante" dans l'univers pour expliquer cette accélération. Ils ont appelé cette valeur "l'énergie noire" mais n'ont pas non plus la moindre idée de ce que c'est. La théorie des neutrinos a été en grande partie écartée quand on est parvenu à en mesurer la masse (et donc l'énergie) il y a quelques années.
Je suis d'accord avec Klein, donc
Par ailleurs, la théorie des multivers répond à cette interrogation d'une autre façon: Il y a d'autres univers autour du nôtre qui exerceraient une force sur le nôtre.
(si j'ai bien compris, je ne me suis remis à la physique qu'il y a 4 jours )
Invité- Invité
Re: Réflexions sur le temps
Bon, visiblement j'ai tout faux
http://fr.wikipedia.org/wiki/Constante_cosmologique
http://fr.wikipedia.org/wiki/Constante_cosmologique
Invité- Invité
Re: Réflexions sur le temps
ⓗⓞⓤⓢⓔ a écrit:Je viens justement de me faire ceci, c'est proprement fascinant:
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=NDYIdBMLQR0
Je me suis régalée merci House
Invité- Invité
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