S'il fallait se décrire...
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S'il fallait se décrire...
*Voix féminine robotique on*
Bonsoir. Si vous n'avez pas le courage de tout lire, passez directement au dernier paragraphe. Sinon, je vous souhaite une bonne lecture.
*Voix féminine robotique off*
Je ne suis pas un méchant.
J'aime ma mère, mon père, ma soeur. Mon chat aussi, beaucoup, même. J'aime les gens qui manifestent de l'affection à mon égard. J'aime rire. J'aime jouer avec les autres. J'ai le sens de l'honneur, une certaine morale. Et du respect, aussi. L'amitié, l'amour, constituent mon bonheur. Tout cela, et bien d'autres choses encore, font de moi un humain. Comme tous les humains, après tout. Non ?
Je déteste les gens qui ne me comprennent pas. Je les hais, même. Comment vivre quand on hait presque tous les gens avec lesquels on vit ? Avec pragmatisme, patience, et isolement, on tient. Je ne suis pas un méchant, mais... à force de les supporter, je veux leur faire du mal. La gentillesse n'excuse rien. Je ne suis pas fou, je ne suis pas un méchant... Aujourd'hui, ma lampe de bureau m'a lâché. Il fait noir dans ma chambre, et, en écoutant une sonate de Beethov, je m'imagine ce que je pourrais leur faire... J'aime beaucoup Beethoven. Je fais de la musique depuis un peu plus de 10 ans maintenant, je suis violoncelliste, et je considère que ça fait partie de mon identité, au même titre que "EIP", trois lettres qui sonnent plutôt mal, quand on les dit, je trouve...
Depuis quelques semaines, je joue avec mon "meilleur ami". Je le fais souffrir plus qu'autre chose, en fait, mais c'est l'une des seules choses qui m'amuse. Et pourtant, je ne suis pas un méchant.... je me disais, tout à l'heure, que le concept de méchant n'est bon qu'aux dessins animés pour enfant. Le méchant est celui qui n'a pas de sens de l'honneur, qui n'a pas d'amour à donner à qui que ce soit, et qui se contente de faire le mal. Quand on se dirige vers des histoires un peu plus élaborées, on se rend compte que le méchant a en fait une histoire, et que s'il fait le mal, c'est qu'il a une bonne raison de le faire. Dans l'absolu, il n'est pas méchant, et le mal n'existe pas vraiment. Celui qui fait le mal pour le simple plaisir de faire le mal est probablement considéré comme un psychopathe, un fou, ou en tous cas, quelqu'un qui n'est pas vraiment humain.
~
Quand je rencontre quelqu'un, j'ai l'espoir que cette personne amène son lot de défi. Que je puisse m'y confronter, et que cette personne me résiste, m'égale. Un rival, je cherche un rival, ou un ami, qui soit comme moi. Déception amère. En fait, ça fait bien longtemps que je ne cherche plus. Je laisse les gens venir à moi, quand je le veux bien.
Mettre mes capacité à l'épreuve me motive, et je jubile, si ça défoule un peu cette colère envers ces gens que je hais. Pourquoi est-ce que je les hais ? C'est viscéral, je le sens, mais pourquoi ? ... Je suppose que c'est cette médiocrité environnante qui m'insupporte. Comme si on attendait de moi que je fasse preuve de maturité, et que je passe l'éponge sur les erreurs faites par des enfants. Il faut les pardonner, ce ne sont que des enfants après tout. Soit. Mais ce ne sont pas que des enfants ! Merde. Je n'ai pas à les pardonner. Qu'ils aillent se pendre....
J'ai un sens de l'honneur, mais plus ça va, plus je doute de la valeur de l'humain. J'attends d'un humain qu'il se conduise en tant que tel, et non pas comme un animal. Mais ce n'est pas pour autant que je vais respecter son statut d'être d'être humain. Pour que je le respecte, il me faut un peu plus que ça. Beaucoup plus que ça. Je ne sais pas, c'est relatif...
Je n'ai jamais voulu être un méchant, au contraire. J'ai passé mes années de primaire et de collège à aider des gamins paumés. Mes meilleurs amis ont été des pauvres gars, un peu rejetés, qui me faisaient pitié, et que j'avais envie d'aider. Une bonne intention, au final. D'ailleurs, j'estime que j'y suis assez bien arrivé. Je suis fier d'avoir atteint mon objectif. En revanche, je déteste ces gars, pour ne pas avoir reconnu le fait que je les aide, que je les sauve de cet isolement en leur donnant un ami : moi.
Mais, si je ne reconnais pas la valeur de l'humain, si je prends plaisir à faire souffrir celui qui est actuellement mon meilleur ami (un type intelligent, sans plus. Un type sympa, moyennement sociable. Au lycée, comme moi.), ça fait de moi un méchant, non ? J'ai toujours aimé le personnage mystérieux, ténébreux, pleins de secrets. J'en suis probablement devenu un. Vous pensez que je vais dire : "mais je le regrette. Je n'ai jamais voulu devenir un méchant.", mais vous vous trompez. Je suis fier d'en être un, parce que c'est peut-être l'une des seules fiertés que j'ai. Être ce que j'aime être.
~
Récemment, je me suis fait 2 amies. J'ai du mal à dire "amies", parce que ça ne fait que 2/3 mois qu'on se connait, et on a pas encore eu le temps de former cette complicité nécessaire à toute amitié. Je leur fait confiance, et je ne leur veux aucun mal. Il n'y a qu'avec elles et avec ma famille, que je n'ai rien d'un méchant. L'une des deux est sur le forum, elle se reconnaîtra peut-être.
Problème : elle ne m'ont jamais vu comme je suis avec 95% des gens, puisque j'arrive à être gentil, et humains, avec elles. Vous me direz que ce n'est pas un problème. Vous avez certainement raison. Passons.
~
Actuellement encore, j'aide des gens paumés. Sur un autre forum, pour adolescents précoce. Le forum est petit, les admins sont partis depuis longtemps, je suis le seul ancien qui reste, et je veille à donner des réponses aux nouveaux venus qui arrivent régulièrement. Avant qu'ils ne repartent et de ne reviennent jamais sur ce forum.
~
Jeudi prochain, je verrais mon "meilleur ami" (qui, vous l'aurez compris, n'est pas du tout mon meilleur ami. Il croit que je suis son meilleur ami, rien de plus). Je vais être obligé d'avoir une conversation sérieuse avec lui. J'ai l'intention de lui parler froidement, d'une froideur presque brutale. Je vais devoir lui dire des mots qui blessent, les conditions l'obligent. J'aurais pu faire passer ça doucement, comme un bon ami. Mais non. Savoir que je lui ferais du mal me fais terriblement plaisir. ça me fait même rire. Il va souffrir. Tant pis pour lui. J'ai l'intime conviction qu'il le mérite.
~
Dire "il le mérite" a un côté très objectif, non ? Comme si, dans l'absolu, il le méritait. Il a fait quelque chose de mal, alors il mérite une punition. C'est une erreur de ma part. Il serait plus juste de dire "Je lui en veux". Puisque, étant donné que ce n'est qu'une impression, cette impression est forcément subjective. Donc, pourquoi est-ce que je lui en veux ? Alors qu'il a toujours été gentils et attentionné à mon égard ? Qu'on a passé de bons moment ensemble, qu'on a bien rit, et qu'on se connait depuis 1 an et demi maintenant ?
Je lui en veux, pour la bonne raison qu'il n'est pas comme moi, mais qu'il prétend quand même être mon meilleur ami. C'est tout bonnement impossible. Il s'entête, cherche à me convaincre, et se convaincre lui-même que nous sommes des amis proches, des amis pour la vie. Et, comme si je lui répondais, je vais me faire un plaisir à lui planter un couteau dans le coeur jeudi prochain. Emotionnellement parlant, bien entendu.
~
Suis-je un méchant ?
Je m'appelle Paul, j'ai 16 ans, je rentre en terminale cette année, et j'entame ma 11ème année au conservatoire en tant que violoncelliste. Je sais que je suis HP depuis mes 7 ans. Si vous voulez savoir quelque chose d'un peu plus intéressant, retourner lire ce que vous n'avez pas lu, espèce de flemmard(e) !!!
Bonsoir. Si vous n'avez pas le courage de tout lire, passez directement au dernier paragraphe. Sinon, je vous souhaite une bonne lecture.
*Voix féminine robotique off*
Je ne suis pas un méchant.
J'aime ma mère, mon père, ma soeur. Mon chat aussi, beaucoup, même. J'aime les gens qui manifestent de l'affection à mon égard. J'aime rire. J'aime jouer avec les autres. J'ai le sens de l'honneur, une certaine morale. Et du respect, aussi. L'amitié, l'amour, constituent mon bonheur. Tout cela, et bien d'autres choses encore, font de moi un humain. Comme tous les humains, après tout. Non ?
Je déteste les gens qui ne me comprennent pas. Je les hais, même. Comment vivre quand on hait presque tous les gens avec lesquels on vit ? Avec pragmatisme, patience, et isolement, on tient. Je ne suis pas un méchant, mais... à force de les supporter, je veux leur faire du mal. La gentillesse n'excuse rien. Je ne suis pas fou, je ne suis pas un méchant... Aujourd'hui, ma lampe de bureau m'a lâché. Il fait noir dans ma chambre, et, en écoutant une sonate de Beethov, je m'imagine ce que je pourrais leur faire... J'aime beaucoup Beethoven. Je fais de la musique depuis un peu plus de 10 ans maintenant, je suis violoncelliste, et je considère que ça fait partie de mon identité, au même titre que "EIP", trois lettres qui sonnent plutôt mal, quand on les dit, je trouve...
Depuis quelques semaines, je joue avec mon "meilleur ami". Je le fais souffrir plus qu'autre chose, en fait, mais c'est l'une des seules choses qui m'amuse. Et pourtant, je ne suis pas un méchant.... je me disais, tout à l'heure, que le concept de méchant n'est bon qu'aux dessins animés pour enfant. Le méchant est celui qui n'a pas de sens de l'honneur, qui n'a pas d'amour à donner à qui que ce soit, et qui se contente de faire le mal. Quand on se dirige vers des histoires un peu plus élaborées, on se rend compte que le méchant a en fait une histoire, et que s'il fait le mal, c'est qu'il a une bonne raison de le faire. Dans l'absolu, il n'est pas méchant, et le mal n'existe pas vraiment. Celui qui fait le mal pour le simple plaisir de faire le mal est probablement considéré comme un psychopathe, un fou, ou en tous cas, quelqu'un qui n'est pas vraiment humain.
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Quand je rencontre quelqu'un, j'ai l'espoir que cette personne amène son lot de défi. Que je puisse m'y confronter, et que cette personne me résiste, m'égale. Un rival, je cherche un rival, ou un ami, qui soit comme moi. Déception amère. En fait, ça fait bien longtemps que je ne cherche plus. Je laisse les gens venir à moi, quand je le veux bien.
Mettre mes capacité à l'épreuve me motive, et je jubile, si ça défoule un peu cette colère envers ces gens que je hais. Pourquoi est-ce que je les hais ? C'est viscéral, je le sens, mais pourquoi ? ... Je suppose que c'est cette médiocrité environnante qui m'insupporte. Comme si on attendait de moi que je fasse preuve de maturité, et que je passe l'éponge sur les erreurs faites par des enfants. Il faut les pardonner, ce ne sont que des enfants après tout. Soit. Mais ce ne sont pas que des enfants ! Merde. Je n'ai pas à les pardonner. Qu'ils aillent se pendre....
J'ai un sens de l'honneur, mais plus ça va, plus je doute de la valeur de l'humain. J'attends d'un humain qu'il se conduise en tant que tel, et non pas comme un animal. Mais ce n'est pas pour autant que je vais respecter son statut d'être d'être humain. Pour que je le respecte, il me faut un peu plus que ça. Beaucoup plus que ça. Je ne sais pas, c'est relatif...
Je n'ai jamais voulu être un méchant, au contraire. J'ai passé mes années de primaire et de collège à aider des gamins paumés. Mes meilleurs amis ont été des pauvres gars, un peu rejetés, qui me faisaient pitié, et que j'avais envie d'aider. Une bonne intention, au final. D'ailleurs, j'estime que j'y suis assez bien arrivé. Je suis fier d'avoir atteint mon objectif. En revanche, je déteste ces gars, pour ne pas avoir reconnu le fait que je les aide, que je les sauve de cet isolement en leur donnant un ami : moi.
Mais, si je ne reconnais pas la valeur de l'humain, si je prends plaisir à faire souffrir celui qui est actuellement mon meilleur ami (un type intelligent, sans plus. Un type sympa, moyennement sociable. Au lycée, comme moi.), ça fait de moi un méchant, non ? J'ai toujours aimé le personnage mystérieux, ténébreux, pleins de secrets. J'en suis probablement devenu un. Vous pensez que je vais dire : "mais je le regrette. Je n'ai jamais voulu devenir un méchant.", mais vous vous trompez. Je suis fier d'en être un, parce que c'est peut-être l'une des seules fiertés que j'ai. Être ce que j'aime être.
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Récemment, je me suis fait 2 amies. J'ai du mal à dire "amies", parce que ça ne fait que 2/3 mois qu'on se connait, et on a pas encore eu le temps de former cette complicité nécessaire à toute amitié. Je leur fait confiance, et je ne leur veux aucun mal. Il n'y a qu'avec elles et avec ma famille, que je n'ai rien d'un méchant. L'une des deux est sur le forum, elle se reconnaîtra peut-être.
Problème : elle ne m'ont jamais vu comme je suis avec 95% des gens, puisque j'arrive à être gentil, et humains, avec elles. Vous me direz que ce n'est pas un problème. Vous avez certainement raison. Passons.
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Actuellement encore, j'aide des gens paumés. Sur un autre forum, pour adolescents précoce. Le forum est petit, les admins sont partis depuis longtemps, je suis le seul ancien qui reste, et je veille à donner des réponses aux nouveaux venus qui arrivent régulièrement. Avant qu'ils ne repartent et de ne reviennent jamais sur ce forum.
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Jeudi prochain, je verrais mon "meilleur ami" (qui, vous l'aurez compris, n'est pas du tout mon meilleur ami. Il croit que je suis son meilleur ami, rien de plus). Je vais être obligé d'avoir une conversation sérieuse avec lui. J'ai l'intention de lui parler froidement, d'une froideur presque brutale. Je vais devoir lui dire des mots qui blessent, les conditions l'obligent. J'aurais pu faire passer ça doucement, comme un bon ami. Mais non. Savoir que je lui ferais du mal me fais terriblement plaisir. ça me fait même rire. Il va souffrir. Tant pis pour lui. J'ai l'intime conviction qu'il le mérite.
~
Dire "il le mérite" a un côté très objectif, non ? Comme si, dans l'absolu, il le méritait. Il a fait quelque chose de mal, alors il mérite une punition. C'est une erreur de ma part. Il serait plus juste de dire "Je lui en veux". Puisque, étant donné que ce n'est qu'une impression, cette impression est forcément subjective. Donc, pourquoi est-ce que je lui en veux ? Alors qu'il a toujours été gentils et attentionné à mon égard ? Qu'on a passé de bons moment ensemble, qu'on a bien rit, et qu'on se connait depuis 1 an et demi maintenant ?
Je lui en veux, pour la bonne raison qu'il n'est pas comme moi, mais qu'il prétend quand même être mon meilleur ami. C'est tout bonnement impossible. Il s'entête, cherche à me convaincre, et se convaincre lui-même que nous sommes des amis proches, des amis pour la vie. Et, comme si je lui répondais, je vais me faire un plaisir à lui planter un couteau dans le coeur jeudi prochain. Emotionnellement parlant, bien entendu.
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Suis-je un méchant ?
Je m'appelle Paul, j'ai 16 ans, je rentre en terminale cette année, et j'entame ma 11ème année au conservatoire en tant que violoncelliste. Je sais que je suis HP depuis mes 7 ans. Si vous voulez savoir quelque chose d'un peu plus intéressant, retourner lire ce que vous n'avez pas lu, espèce de flemmard(e) !!!
deloun- Messages : 5
Date d'inscription : 20/08/2012
Re: S'il fallait se décrire...
Celui qui fait le mal pour le simple plaisir de faire le mal est probablement considéré comme un psychopathe, un fou, ou en tous cas, quelqu'un qui n'est pas vraiment humain.
Plutôt comme un sadique.
Quand on se dirige vers des histoires un peu plus élaborées, on se rend compte que le méchant a en fait une histoire, et que s'il fait le mal, c'est qu'il a une bonne raison de le faire.
Je suis assez fan de ces histoires... je les utilise pas mal comme grille de lecture, mais moi ce sont les gentils que j'idéalise... "un grand pouvoir implique de grandes responsabilités", tout ça. Je me demande souvent comment ceux que moi je considère comme méchants se placent sur cette grille de lecture, et c'est la première fois que je "rencontre" quelqu'un qui s'identifie au méchant.
Mes meilleurs amis ont été des pauvres gars, un peu rejetés, qui me faisaient pitié, et que j'avais envie d'aider. Une bonne intention, au final. D'ailleurs, j'estime que j'y suis assez bien arrivé. Je suis fier d'avoir atteint mon objectif. En revanche, je déteste ces gars, pour ne pas avoir reconnu le fait que je les aide, que je les sauve de cet isolement en leur donnant un ami : moi.
Il n'y a pas si longtemps, "dans un pays étranger" on m'a offert une bière, et on a ensuite exigé en retour que j'en offre une à mon tour: "c'est la coutume". J'ai trouvé que ça dénaturait pas mal l'intention initiale...
En rapport avec cela, une autre grille de lecture:
https://www.zebrascrossing.net/t5830-triangle-victime-sauveur-bourreau-et-perversion-narcissique
Suis-je un méchant ?
Trop tôt pour le dire.
Bonne lecture
Waka- Messages : 3452
Date d'inscription : 06/11/2011
Age : 40
Localisation : A l'ouest mais au Sud.
Re: S'il fallait se décrire...
J'avais déjà entendu parler du triangle Bourreau-Victime-Sauveur (au fait, merci pour le lien). Mais pas du Pervers Narcissique, qui se révèle d'ailleurs être un type de personnage assez intéressant, je trouve. Je me demande : existe-il une sorte "d'anti-PN" ? Un personnage, une personne, qui est tout à fait normale dans ses relations, à la différence près qu'elle trouverais un moyen de détourner les méthodes du PN pour le faire perdre confiance en lui. C'est tout à fait le genre d'affrontement qui m'intéresse : deux personnes capables de maîtriser leur comportement, et donc, de manipuler, qui s'affrontent indirectement par leur façon de communiquer, de se placer dans le triangle VBS, etc....
Si tu dis ça, ça veut aussi dire que tu pourras le dire un jour. Donc : sur quoi est-ce que tu te baserais pour dire que quelqu'un est un méchant ou pas ?
Pourquoi ?Trop tôt pour le dire.
Si tu dis ça, ça veut aussi dire que tu pourras le dire un jour. Donc : sur quoi est-ce que tu te baserais pour dire que quelqu'un est un méchant ou pas ?
deloun- Messages : 5
Date d'inscription : 20/08/2012
Re: S'il fallait se décrire...
C'est très proche du fonctionnement d'un manipulateur pervers narcissiques
Ces personnes prennent rarement conscience de leur mode de fonctionnement spécifique....
Il existe une liste de 30 critères établis par Isabelle Nazare-Aga (je ne sais pas fournir le lien ici)
Un de référence de livre en la matière
Isabelle Nazare-Aga, auteure des Manipulateurs sont parmi nous (éditions de l’Homme, 1997)
Ces personnes prennent rarement conscience de leur mode de fonctionnement spécifique....
Il existe une liste de 30 critères établis par Isabelle Nazare-Aga (je ne sais pas fournir le lien ici)
Un de référence de livre en la matière
Isabelle Nazare-Aga, auteure des Manipulateurs sont parmi nous (éditions de l’Homme, 1997)
Naturellementmoi- Messages : 53
Date d'inscription : 26/08/2012
Age : 58
Localisation : Belgique
Re: S'il fallait se décrire...
Coucou toi !
moi, c totom.
Je te présente des amis chers. Et je te souhaite une super bienvenue !
voici une maman
voici un "lave-glace efficace"
voici "un être humain sreposant un rien silencieux"
(jpense ym'envoudront pas de les présenter)
moi, c totom.
Je te présente des amis chers. Et je te souhaite une super bienvenue !
voici une maman
voici un "lave-glace efficace"
voici "un être humain sreposant un rien silencieux"
(jpense ym'envoudront pas de les présenter)
y a pas non plus ke des très calmes (moi dans lgenre), "fo sfaire gaffe", mais si tu viens aux rencontres, "pas forcément avant que tu le sentes", y a moyen ktu libères un peu, bcp.
Have fun !
Invité- Invité
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