La lecture de mes vacances - Mémoricide de Philippe de Villiers - Un must

De la lecture

Depuis le début de mes vacances de fin d'année, (2024), le vendredi 20 décembre à midi, je m'offre un peu de détente. Nous allons partir avec mes parents une semaine au soleil. L'avion, demain vendredi 27 décembre. Nous revenons le samedi 4 janvier 2025. J'emmène ce livre dont j'ai commencé la lecture le week-end dernier. Je savais peu de choses sur cet écrivain et ancien politicien. Je découvre un auteur d'une érudition stupéfiante. Cet homme a une connaissance phénoménale de l'Histoire de France et de l'Histoire en générale. Pour résumer, ce monsieur possède une culture générale d'une étendue extraordinaire.



Ce livre se lit comme un thriller. Difficile de le refermer après s'être nourrit de quelques pages d'un savoir exaltant. À chaque fois que je l'ouvre, à mes moments de détentes, je me plonge dans un passé dont j'ignorais la complexité et les intrigues de cours. J'en apprends infiniment plus que dans les livres d'Histoire habituels dont je suis pourtant friande. J'évite évidement les vulgarisateurs aussi ridicules que des Stéphane Bern ou d'autres Laurent Deutsch. Max Gallo a jusqu'à présent nourri ma soif de savoir dans ce domaine. Avec une certaine orientation légèrement déplaisante. Sans la neutralité narrative d'un Philippe de Villiers.

J'en ai parlé à des copines de la fac et à des profs. J'ai découvert qu'il existait une sorte de terrorisme intellectuel autour de Philippe de Villiers. Une tentative avortée d'omerta typique du nauséeux "gauchiasse". Dans mon propos il n'est pas question de parler d'un homme politique mais d'un auteur connaissant les sujets qu'il aborde. Sans à priori et surtout sans partis pris. C'est dans ce sens que ses écrits méritent largement d'êtres une des toutes meilleures ventes françaises 2024. En cinquième position. Je vais me procurer ses ouvrages précédents.

Je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d'année

Hahaha !

Ste meuf est une pièce de musée !
Elle a fait ma soirée...

J'aime le courage et je n'ai que mépris pour la lâcheté.
Continuer à écrire dans l'adversité en dit long sur celle (ou celui) qui continue de le faire.
Tout comme ceux qui "s'appuient" sur des groupes, en quelques mots, on les saisit.
Je pense, Valona, que tu aurais plus de succès sur ce forum en nous parlant d'un livre de Rousseau (pas Jean-Jacques, Sandrine) que de Philippe de Villiers, clairement anti woke en plus d'être écrivain et ex homme politique, créateur également d'un spectacle élu régulièrement comme le meilleur du monde, copié ailleurs qu'en France.