Philosophie de la séduction.
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Philosophie de la séduction.
Le look des garçons dans la rue
Vendredi après-midi, avec maman, nous sommes allées à la FNAC. C'est la grande librairie dans la ville voisine à 18 km. C'est toujours un peu la fête lorsque nous partons toutes les deux en "expéditions". J'ai commandé les livres demandés pour ma rentrée de lundi. Ils concernent mes partiels en prévision des épreuves de ma Licence. Ils sont tous arrivés. Nous garons la voiture à dix minutes du centre. Il faut marcher un peu. Nous flânons en regardant les vitrines des boutiques qui nous plaisent. Moi, j'en profite pour lorgner un peu du côté des garçons. Voire un peu "ce qui se fait " pour la rentrée prochaine.
Discrète, maman fait pareil. Nous en rions toutes les deux. J'adore ses commentaires. C'est toujours une vision très juste et pleine d'à propos. De dérisions également. Maman a beaucoup d'humour. Facétieuse elle a toujours d'amusantes formules. La mode pour les garçons, car il existe forcément une mode digne de ce nom, n'a pas l'air de connaître le succès. Entre les "quelconques" en survêtements, souvent à capuche avec ce soleil, les "ridicules" dont le fond du jeans pend entre les cuisses au point qu'ils donnent l'impression d'avoir fait caca dedans, les types en "pantacourts" et au T-shirt comme une affiche publicitaire, c'est assez déconcertant.
Parfois, heureusement, il y a un garçon bien coiffé, en polo Ralf Lauren, en pantalon clair à plis et chaussé de mocassins beiges. En plus, ce sont souvent des mecs supers beaux. Look tennisman qui leurs va à me ravir. J'en soupire. Même maman me fait parfois du coude en me chuchotant : << Regarde. Celui-là, il est beau comme un dieu. Et quelle classe ! >>. Maman est une femme de goût. Je n'ai qu'à regarder papa pour en avoir chaque jour la confirmation. Sur les photos où ils avaient tous deux 20 ans, il est aussi beau qu'un acteur américain d'Hollywood.
C'est à la FNAC, au rayon des livres universitaires, qu'il y a les plus beaux "spécimens" ce vendredi après-midi. Les étudiants venus chercher leurs fournitures. Si je voulais me mettre à la colle avec un garçon, c'est probablement ici que je viendrais faire mon marché. Il y a d'ailleurs certains d'entre eux que je verrai lundi, à la rentrée. Mon dieu, qu'ils sont craquants avec leurs mèches rebelles, leurs polos et leurs pantalons blancs. Il y a aussi le style "banlieue", le genre "cités" qui me débecte à en vomir et qui me laisse d'une indifférence abyssale. Le look de l'horreur.
Ce soir, sur l'ordinateur, je suis allée sur des sites de mode masculine. Wouah ! Il y a de ces mecs. C'est un comme ça qu'il me faut. Papa en jeune. Je veux qu'il me fasse craquer toute ma vie. Qu'il soit évidemment doté de l'intelligence d'exception en adéquation avec un physique d'exception. Attention. Gare ! Je suis jalouse et possessive. Mais je sais pouvoir accaparer toute son attention. De la façon dont tous ces beaux garçons me regardent, pas de doute, je suis à la hauteur de mes attentes. C'est merveilleux de se sentir admirée, désirée et déjà adulée.
Tous ces garçons qui me dévorent des yeux ne savent pas que je suis également très belle à l'intérieur. Seulement aucun ne pourra y entrer pour voir...
Bisou
Vendredi après-midi, avec maman, nous sommes allées à la FNAC. C'est la grande librairie dans la ville voisine à 18 km. C'est toujours un peu la fête lorsque nous partons toutes les deux en "expéditions". J'ai commandé les livres demandés pour ma rentrée de lundi. Ils concernent mes partiels en prévision des épreuves de ma Licence. Ils sont tous arrivés. Nous garons la voiture à dix minutes du centre. Il faut marcher un peu. Nous flânons en regardant les vitrines des boutiques qui nous plaisent. Moi, j'en profite pour lorgner un peu du côté des garçons. Voire un peu "ce qui se fait " pour la rentrée prochaine.
Discrète, maman fait pareil. Nous en rions toutes les deux. J'adore ses commentaires. C'est toujours une vision très juste et pleine d'à propos. De dérisions également. Maman a beaucoup d'humour. Facétieuse elle a toujours d'amusantes formules. La mode pour les garçons, car il existe forcément une mode digne de ce nom, n'a pas l'air de connaître le succès. Entre les "quelconques" en survêtements, souvent à capuche avec ce soleil, les "ridicules" dont le fond du jeans pend entre les cuisses au point qu'ils donnent l'impression d'avoir fait caca dedans, les types en "pantacourts" et au T-shirt comme une affiche publicitaire, c'est assez déconcertant.
Parfois, heureusement, il y a un garçon bien coiffé, en polo Ralf Lauren, en pantalon clair à plis et chaussé de mocassins beiges. En plus, ce sont souvent des mecs supers beaux. Look tennisman qui leurs va à me ravir. J'en soupire. Même maman me fait parfois du coude en me chuchotant : << Regarde. Celui-là, il est beau comme un dieu. Et quelle classe ! >>. Maman est une femme de goût. Je n'ai qu'à regarder papa pour en avoir chaque jour la confirmation. Sur les photos où ils avaient tous deux 20 ans, il est aussi beau qu'un acteur américain d'Hollywood.
C'est à la FNAC, au rayon des livres universitaires, qu'il y a les plus beaux "spécimens" ce vendredi après-midi. Les étudiants venus chercher leurs fournitures. Si je voulais me mettre à la colle avec un garçon, c'est probablement ici que je viendrais faire mon marché. Il y a d'ailleurs certains d'entre eux que je verrai lundi, à la rentrée. Mon dieu, qu'ils sont craquants avec leurs mèches rebelles, leurs polos et leurs pantalons blancs. Il y a aussi le style "banlieue", le genre "cités" qui me débecte à en vomir et qui me laisse d'une indifférence abyssale. Le look de l'horreur.
Ce soir, sur l'ordinateur, je suis allée sur des sites de mode masculine. Wouah ! Il y a de ces mecs. C'est un comme ça qu'il me faut. Papa en jeune. Je veux qu'il me fasse craquer toute ma vie. Qu'il soit évidemment doté de l'intelligence d'exception en adéquation avec un physique d'exception. Attention. Gare ! Je suis jalouse et possessive. Mais je sais pouvoir accaparer toute son attention. De la façon dont tous ces beaux garçons me regardent, pas de doute, je suis à la hauteur de mes attentes. C'est merveilleux de se sentir admirée, désirée et déjà adulée.
Tous ces garçons qui me dévorent des yeux ne savent pas que je suis également très belle à l'intérieur. Seulement aucun ne pourra y entrer pour voir...
Bisou
Valona- Messages : 196
Date d'inscription : 16/04/2023
Age : 22
Localisation : Chez moi
Re: Philosophie de la séduction.
Philosophie...
C'est très accessible, la philo, finalement.Valona a écrit:Ce soir, sur l'ordinateur, je suis allée sur des sites de mode masculine. Wouah ! Il y a de ces mecs. C'est un comme ça qu'il me faut. Papa en jeune.
persntm 2- Messages : 633
Date d'inscription : 28/04/2023
Localisation : exerce ses doudounes d'homme
Philosophie hédoniste
L'hédonisme érigé en philosophie
Mon meilleur ami est dans la même université que moi. Jonathan a 24 ans. Il prépare son Master en Sciences. Nous nous voyons régulièrement avant les cours. En arrivant un peu en avance le matin. Parfois durant les interclasses. J'aime son humour très particulier. Décalé et surréaliste. Il n'est pas réellement dans la dérision mais l'imite très bien. Jonathan sait mimer la "déconne" sans jamais y pénétrer vraiment. Ce qui procure à ses pertinences un second degré immédiatement perceptible qui déstabilise son auditoire. Il est très demandé, courtisé et sollicité. . Jonathan sait en jouer avec une certaine jubilation. Savourant ses petits effets avec un plaisir suave qu'il ne dissimule pas. Il mesure 1,92 m. Athlétique. Je l'appelle mon "viking". Il est blond. Avec sa mèche rebelle. Ses yeux d'un bleu clair.
Nous avons pour habitude de nous voir les dimanches en fin d'après-midi. C'est chez lui, dans sa chambre. Il n'y a jamais le moindre contact physique entre lui et moi. Jamais. Je tiens à le préciser. Afin de calmer la soudaine fébrilité du lecteur à la libido fragile. Le lecteur un peu hystérique ayant tendance à laisser ses pulsions dériver. J'arrive à 18 h30 pour repartir à 19 h30. Il n'habite qu'à trois petit kilomètres de chez moi. À l'entrée du bourg voisin. Le rituel du thé et des petits gâteaux secs qui mettent en appétit. Nous pratiquons un "jeu" très spécial. J'en révèlerai la nature dans un prochain récit. Même si cette "spécialité" s'inscrit parfaitement dans le cadre qui nous préoccupe en ce sujet justement intitulé "L'hédonisme érigé en philosophie". Je préfère développer ce rituel dans un prochain opus. Ici même. Ce qui pourra enfin soulager quelques libidos débridées que je devine au fond de l'assemblée. Surtout celle du type là-bas, avec son avatar de perdant.
Un dimanche je suis vêtue d'une jupe kilt. Un dimanche je suis vêtue d'une jupe plissée. Un chemisier clair, grège, beige, crème ou blanc. Sous un pull bleu nuit, brun ou noir, aux cols en "V". Des escarpins à talons, des mocassins, des souliers de ville, en fonction de mes envies. Jonathan est souvent vêtu d'un pantalon clair, blanc, à pinces et à plis. Une chemise clair, blanche, sous un pull clair, blanc, aux cols en "V". Des mocassins. J'aime tout particulièrement quand il est habillé en golfeur. Je l'ai vu exercer cette activité en compétition. Il y excelle. Ses parents, docteurs en médecine tous les deux, sont fiers des coupes qu'il ramène et que sa maman place dans une vitrine dédiée. Son papa a une photo accrochée dans son cabinet de consultations. Un swing majestueux de son fils dans une perspective extraordinaire.
Je suis confortablement installée dans le fauteuil qui fait face au sien. Une petite table basse nous sépare. Une table sur laquelle fument nos bols de thé. Nous bavardons toujours en prélude à nos "jeux". Une certaine émulation intellectuelle participe à cette gradation de l'excitation cérébrale. Jonathan est mon alter égo au masculin. Nous sommes tous deux des cérébraux. Nous intellectualisons la plupart des actes de nos existences. Mon "Viking" me confie souvent les raffinements intellectuels de ses approches des choses de la vie. Et là, présentement, en ce qui nous concerne, dans l'approche d'une sexualité particulière. Nous partageons cet univers de transgressions assumées avec de jouissantes émotions intimes et secrètes.
Tout cela fera l'objet d'un prochain récit que je promets éloquent et descriptif...
À bientôt
Mon meilleur ami est dans la même université que moi. Jonathan a 24 ans. Il prépare son Master en Sciences. Nous nous voyons régulièrement avant les cours. En arrivant un peu en avance le matin. Parfois durant les interclasses. J'aime son humour très particulier. Décalé et surréaliste. Il n'est pas réellement dans la dérision mais l'imite très bien. Jonathan sait mimer la "déconne" sans jamais y pénétrer vraiment. Ce qui procure à ses pertinences un second degré immédiatement perceptible qui déstabilise son auditoire. Il est très demandé, courtisé et sollicité. . Jonathan sait en jouer avec une certaine jubilation. Savourant ses petits effets avec un plaisir suave qu'il ne dissimule pas. Il mesure 1,92 m. Athlétique. Je l'appelle mon "viking". Il est blond. Avec sa mèche rebelle. Ses yeux d'un bleu clair.
Nous avons pour habitude de nous voir les dimanches en fin d'après-midi. C'est chez lui, dans sa chambre. Il n'y a jamais le moindre contact physique entre lui et moi. Jamais. Je tiens à le préciser. Afin de calmer la soudaine fébrilité du lecteur à la libido fragile. Le lecteur un peu hystérique ayant tendance à laisser ses pulsions dériver. J'arrive à 18 h30 pour repartir à 19 h30. Il n'habite qu'à trois petit kilomètres de chez moi. À l'entrée du bourg voisin. Le rituel du thé et des petits gâteaux secs qui mettent en appétit. Nous pratiquons un "jeu" très spécial. J'en révèlerai la nature dans un prochain récit. Même si cette "spécialité" s'inscrit parfaitement dans le cadre qui nous préoccupe en ce sujet justement intitulé "L'hédonisme érigé en philosophie". Je préfère développer ce rituel dans un prochain opus. Ici même. Ce qui pourra enfin soulager quelques libidos débridées que je devine au fond de l'assemblée. Surtout celle du type là-bas, avec son avatar de perdant.
Un dimanche je suis vêtue d'une jupe kilt. Un dimanche je suis vêtue d'une jupe plissée. Un chemisier clair, grège, beige, crème ou blanc. Sous un pull bleu nuit, brun ou noir, aux cols en "V". Des escarpins à talons, des mocassins, des souliers de ville, en fonction de mes envies. Jonathan est souvent vêtu d'un pantalon clair, blanc, à pinces et à plis. Une chemise clair, blanche, sous un pull clair, blanc, aux cols en "V". Des mocassins. J'aime tout particulièrement quand il est habillé en golfeur. Je l'ai vu exercer cette activité en compétition. Il y excelle. Ses parents, docteurs en médecine tous les deux, sont fiers des coupes qu'il ramène et que sa maman place dans une vitrine dédiée. Son papa a une photo accrochée dans son cabinet de consultations. Un swing majestueux de son fils dans une perspective extraordinaire.
Je suis confortablement installée dans le fauteuil qui fait face au sien. Une petite table basse nous sépare. Une table sur laquelle fument nos bols de thé. Nous bavardons toujours en prélude à nos "jeux". Une certaine émulation intellectuelle participe à cette gradation de l'excitation cérébrale. Jonathan est mon alter égo au masculin. Nous sommes tous deux des cérébraux. Nous intellectualisons la plupart des actes de nos existences. Mon "Viking" me confie souvent les raffinements intellectuels de ses approches des choses de la vie. Et là, présentement, en ce qui nous concerne, dans l'approche d'une sexualité particulière. Nous partageons cet univers de transgressions assumées avec de jouissantes émotions intimes et secrètes.
Tout cela fera l'objet d'un prochain récit que je promets éloquent et descriptif...
À bientôt
Valona- Messages : 196
Date d'inscription : 16/04/2023
Age : 22
Localisation : Chez moi
Re: Philosophie de la séduction.
Sans critique aucune, Valona, (car je parle que de la forme, ça aurait été autre chose si je parlais du fond), mais parce que ça me laisse assez perplexe : pourquoi est-ce que tu écris fréquemment des phrases sans verbe conjugué (et donc incorrectes d’un point de vue syntaxique) ? Comme tu sembles soigner tes textes, je me demandais si c’était pour un effet de style particulier, si ça avait un sens littéraire? Donner une impression orale ? Forcer des « temps » des « pauses » plus longues que ce qu’une virgule à la place d’un point aurait permis ? Ou cherches-tu à éviter les phrases longues, pour X raison (peut-être qu’en anglais les phrases sont moins remplies de subordonnés, j’en sais rien). Enfin pourquoi une certaine réticence aux virgules et une telle densité de points dans tes paragraphes ?
Dans ce forum on soupçonne parfois de la provocation ou du jugement sous des questions qui seraient faussement naïves ou neutres, donc je répète que, non, je me pose vraiment la question de savoir si tu as réfléchi à cette particularité de ponctuation que tu as et si oui (je pense que c’est oui) pourquoi ce choix
Dans ce forum on soupçonne parfois de la provocation ou du jugement sous des questions qui seraient faussement naïves ou neutres, donc je répète que, non, je me pose vraiment la question de savoir si tu as réfléchi à cette particularité de ponctuation que tu as et si oui (je pense que c’est oui) pourquoi ce choix
Raconte des salades- Messages : 1375
Date d'inscription : 17/03/2022
Localisation : France
Re: Philosophie de la séduction.
Je ne sais pas dire de qui tu parles... m'enfin, ton avatar de "winneuse" c'est toi-même de dos... peut-être as-tu aussi une grande opinion de ton dos.Valona a écrit:Même si cette "spécialité" s'inscrit parfaitement dans le cadre qui nous préoccupe en ce sujet justement intitulé "L'hédonisme érigé en philosophie". Je préfère développer ce rituel dans un prochain opus. Ici même. Ce qui pourra enfin soulager quelques libidos débridées que je devine au fond de l'assemblée. Surtout celle du type là-bas, avec son avatar de perdant.
persntm 2- Messages : 633
Date d'inscription : 28/04/2023
Localisation : exerce ses doudounes d'homme
Syntaxes
Cher @Raconte des salades
Ma première langue est l'Anglais. Comme les premiers jets de ma pensée se font dans ma langue originelle, il y a le processus de traduction. Avec les années, j'ai appris à écrire dans ma seconde langue, le Français. En usant, (en abusant sans doute parfois) d'une ponctuation qui me permet de transcrire le plus exactement possible mon ressenti, mon sentiment et mes vues de l'esprit. Je précise que ma façon de narrer plaît beaucoup à mes professeurs. Déjà en cours primaires j'attirais une attention particulière de la part de mes enseignants. Et, pour mon plus grand bonheur, (et par chance d'avoir d'excellents professeurs), j'ai été encouragée à surtout continuer. Développant ainsi, au fil des ans, un style qui m'est propre.
Aujourd'hui, à 21 ans, je crois qu'il me serait difficile de changer. Et, pour tout dire, l'Anglais permet un raisonnement plus direct, plus simple , plus rationnel. Sans doute par une absence de ce mode de conjugaison extrêmement complexe de la langue Française. Sans évoquer les exceptions qui n'arrêtent pas de confirmer les règles. Je préfère la simplicité des phrases courtes, pertinentes avec des conjugaisons directes. Je confesse aussi ne pas toujours me relire. Je fais mille choses en même temps. Après tout, ce qui m'importe est d'avoir un propos immédiatement intelligible.
Sans prétention, en lisant certains auteurs Français, je trouve que leurs écrits sont parfois nébuleux. Sinon confus. Souvent pour se donner un genre littéraire plein de suffisance et de fatuité. Ce qui participe au manque descriptif réel et à obscurcir l'ensemble. Mais c'est une opinion qui n'engage que moi. Encore une fois, sans prétention, je me trouve parfois meilleure. La langue Française permet de multiples tournures de phrases, de nombreux synonymes pour décrire une simple poignée de porte tout au long d'un paragraphe entier. Mais, est-ce bien nécessaire ? À moins d'être épris de serrures, passionné de ferrure comme l'était votre regretté Roi Louis XVI ? Maintenant il y la poésie de la langue de Molière. Certes...
En espérant avoir apporté à vos légitimes interrogations quelques réponses.
À bientôt
Ma première langue est l'Anglais. Comme les premiers jets de ma pensée se font dans ma langue originelle, il y a le processus de traduction. Avec les années, j'ai appris à écrire dans ma seconde langue, le Français. En usant, (en abusant sans doute parfois) d'une ponctuation qui me permet de transcrire le plus exactement possible mon ressenti, mon sentiment et mes vues de l'esprit. Je précise que ma façon de narrer plaît beaucoup à mes professeurs. Déjà en cours primaires j'attirais une attention particulière de la part de mes enseignants. Et, pour mon plus grand bonheur, (et par chance d'avoir d'excellents professeurs), j'ai été encouragée à surtout continuer. Développant ainsi, au fil des ans, un style qui m'est propre.
Aujourd'hui, à 21 ans, je crois qu'il me serait difficile de changer. Et, pour tout dire, l'Anglais permet un raisonnement plus direct, plus simple , plus rationnel. Sans doute par une absence de ce mode de conjugaison extrêmement complexe de la langue Française. Sans évoquer les exceptions qui n'arrêtent pas de confirmer les règles. Je préfère la simplicité des phrases courtes, pertinentes avec des conjugaisons directes. Je confesse aussi ne pas toujours me relire. Je fais mille choses en même temps. Après tout, ce qui m'importe est d'avoir un propos immédiatement intelligible.
Sans prétention, en lisant certains auteurs Français, je trouve que leurs écrits sont parfois nébuleux. Sinon confus. Souvent pour se donner un genre littéraire plein de suffisance et de fatuité. Ce qui participe au manque descriptif réel et à obscurcir l'ensemble. Mais c'est une opinion qui n'engage que moi. Encore une fois, sans prétention, je me trouve parfois meilleure. La langue Française permet de multiples tournures de phrases, de nombreux synonymes pour décrire une simple poignée de porte tout au long d'un paragraphe entier. Mais, est-ce bien nécessaire ? À moins d'être épris de serrures, passionné de ferrure comme l'était votre regretté Roi Louis XVI ? Maintenant il y la poésie de la langue de Molière. Certes...
En espérant avoir apporté à vos légitimes interrogations quelques réponses.
À bientôt
Valona- Messages : 196
Date d'inscription : 16/04/2023
Age : 22
Localisation : Chez moi
Re: Philosophie de la séduction.
Tu as bien raison, pourquoi s'encombrer de fioritures, cependant le Français le permet et tu y arrives.
Alors c'est quoi le prob ?
La séduction une philosophie ? plutôt un vaste délire instinctif sans aucune logique
Alors c'est quoi le prob ?
La séduction une philosophie ? plutôt un vaste délire instinctif sans aucune logique
Adansonii- Messages : 32
Date d'inscription : 23/01/2022
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