Le célibat
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Re: Le célibat
Bonsoir Madame Picodon,
Pour le QI, on en avait déjà parlé ensemble sur un sujet que j'avais créé ( c'était le même mais sur zeetic je crois), et je vous avez dit que je parlais de QI car je pensais que cela pourrait être un indicateur, quelque chose qui pourrait expliquer ma situation, et je pense que cela n'est que partiellement vrai/faux. Je pense que le problème ne réside pas dans le QI a proprement dit mais plutôt dans l'hypersensibilité, je pense que le QI est peut-être plus un amplificateur qu'une cause. Dans mon cas, je pense que le fait d'être hypersensible a causé mon possible trouble de personnalité évitante et dysmorphophobie, ce qui influe dans indirectement sur les relations "amoureuses", donc oui je suis plutôt d'accord, le QI n'influe pas directement sur ça, mais il peut influencer si d'autres facteurs rentrent en compte comme l'enfance, l'environnement, ... Perso moi aussi, je suis quelqu'un de solitaire, certainement trop... Mais moi aussi, je préfère être seul et créer des choses, regarder des vidéos YouTube sur la quantique, astronomie, medecine,... Lire aussi. Perso je côtoie très peu de monde aussi.
Si vous êtes ravie de votre situation, c'est ce qui compte et je vous souhaite de le rester, sincèrement. Mais oui, je comprends que le retour au célibat peut etre perçu comme un "retour à la liberté".
Bonsoir Nevromon, comment vas-tu ? Bonnes journées à toi aussi.
Pour le QI, on en avait déjà parlé ensemble sur un sujet que j'avais créé ( c'était le même mais sur zeetic je crois), et je vous avez dit que je parlais de QI car je pensais que cela pourrait être un indicateur, quelque chose qui pourrait expliquer ma situation, et je pense que cela n'est que partiellement vrai/faux. Je pense que le problème ne réside pas dans le QI a proprement dit mais plutôt dans l'hypersensibilité, je pense que le QI est peut-être plus un amplificateur qu'une cause. Dans mon cas, je pense que le fait d'être hypersensible a causé mon possible trouble de personnalité évitante et dysmorphophobie, ce qui influe dans indirectement sur les relations "amoureuses", donc oui je suis plutôt d'accord, le QI n'influe pas directement sur ça, mais il peut influencer si d'autres facteurs rentrent en compte comme l'enfance, l'environnement, ... Perso moi aussi, je suis quelqu'un de solitaire, certainement trop... Mais moi aussi, je préfère être seul et créer des choses, regarder des vidéos YouTube sur la quantique, astronomie, medecine,... Lire aussi. Perso je côtoie très peu de monde aussi.
Si vous êtes ravie de votre situation, c'est ce qui compte et je vous souhaite de le rester, sincèrement. Mais oui, je comprends que le retour au célibat peut etre perçu comme un "retour à la liberté".
Bonsoir Nevromon, comment vas-tu ? Bonnes journées à toi aussi.
Jojo14520- Messages : 102
Date d'inscription : 21/11/2020
Re: Le célibat
Flavien :
« Par dessus tout j'essaye de rester humble, je ne suis pas quelqu'un qui estime mériter quelque chose ( que ce soit "le cœur" de quelqu'un ou un poste de travail, un établissement pour étudier,...) »
Je pense que quand j’ai le sentiment de mériter quelque chose, c’est mon égo qui parle, mais de plus en plus, j’ai aussi cette sensation de ne pas mériter, et c’est libérateur car alors je peux fusionner avec ce qui est, pas ce avec qui «devrait » être, et je ne suis plus en mode contrôle mais en mode lâcher-prise. Je repense à Bob Dylan quand il chante « when you ain’t got nothing, you got nothing to lose ». Si je n’obtiens pas ce que je veux, c’est que ce n’était pas fait pour moi. Je me rappelle en même temps les fois où j’avais obtenu ce que je veux sans que ça tourne en ma faveur. Je pense que beaucoup de problèmes relationnels découlent du fait qu’on croit mériter le cœur de quelqu’un. Là je pense à Carmen qui chante : « L’amour est enfant de Bohême et n’a jamais jamais connu de loi » .
« parfois quand je juge les gens je me sens terriblement mal, car j'estime que je ne suis personne pour juger. »
Nous sommes entourés de jugements, c’est vrai! Des jugements hérités depuis des millénaires, que nous intégrons sans même nous en rendre compte. Et quand le collectif se regroupe pour juger un individu, je vis un mal-être profond. Quand je juge quelqu’un, c’est moi que j’ai l’impression de juger, et si je plonge dans mes souvenirs, je peux me reconnaître dans la personne que je juge, d’où cette impression que j’ai d’être hypocrite. La difficulté pour moi, c’est de ne pas mêler de jugements à des ressentis déplaisants face à quelqu’un. J’y arrive mieux aujourd’hui car j’apprends à exprimer mon ressenti à la personne dans le respect de moi et de l’autre, et du coup ça désamorce le jugement. Ça peut réveiller le jugement chez l’autre comme mécanisme de défense, mais je ne me sens pas responsable de ses jugements. Je découvre que c’est plus facile pour moi de ne pas juger quand j’exprime ce que je ressens, et ça m’a pris beaucoup d’années avant de pouvoir m’exprimer. Les mots ne viennent pas toujours tout de suite sur mes ressentis.
« quand je suis en public ça va un peu, mais au bout d'un moment, je vais le sentir seul, mal a l'aise, jugé,...je ne suis pas à l'aise. «
Pareil pour moi. Je m’interroge sur la part de projection dans le jugement : est-ce que je me sens jugée par les autres parce que je me juge moi-même? Est-ce que je me juge parce que je commence à m’embêter et que je suis encore là alors que j’ai envie de retrouver ma solitude? C’est étrange, très familier pour moi, cette sensation d’être seul quand on est entouré, qu’en penses-tu? Tout aussi étrange cette sensation de ne pas être vraiment seul dans la solitude.
« En vérité, je me sens tout petit face aux autres ( pas seulement en taille mddrrrrrr), je me sens faible, dans le sens où j'ai l'impression que je ne dégage pas de volume ( oui parce que moi je vois les gens en volume, pas physique, mais volume par le sens aura, charisme, ce que degage une personne)... »
Peut-être parce que le volume de toi est ailleurs? Parmi les gens, souvent je suis là et pas vraiment là parce qu’une partie de moi est ailleurs. Je ne me sens pas charismatique dans ces moments. Tu sais quand je me sens charismatique? Quand je suis seule et que je médite, mais il n’y a personne pour profiter de mon charisme . Quand tu as une conversation vraiment passionnante avec quelqu’un, te sens-tu charismatique?
« Mais oui je suis d'accord avec Tesla, bah je pense que ce que j'ai dit auparavant correspond un peu à ça, je vois les gens en fonction de leur énergie,... Toutes ces choses invisibles et inquantifiables... Je trouve que c'est ça qui rend quelq'un attirant, c'est l'invisible et non l'esthétique, ce que dégage une personne, son regard ( pas ses yeux, je parle regard), façon de parler, humour,... Ce qui rend quelq'un vraiment intéressant, quelque chose qui définit sa personnalité... «
Toutes ces choses invisibles et inquantifiables et pourtant si charismatiques! Il y a différentes sortes de charisme. L’égo peut être très charismatique. Il existe aussi des charismes plus subtils. J’aime la distinction que tu fais entre les yeux et le regard, c’est la première fois que je l’entends. Et ton regard à toi, quel effet a-t-il sur les autres?
« Je sais que tout le monde ne sera pas ok et que certains se diront que je vais loin, mais c'est ça qui rend quelqu'un attirant pour moi, et je n'ai jamais vraiment connu quelqu'un ( une femme dans mon cas) comme ça. »
T’arrive-t-il de penser que si tu existes, il y a aussi des personnes qui te correspondent, même si tu ne les as pas rencontrées? Moi je me dis que mon homme idéal existe mais qu’il vit sûrement sur une autre planète . J’ai lâché prise là-dessus, comme sur bien des choses. Juste de savoir que j’ai des âmes sœurs est excitant pour moi, même si elles sont absentes dans ma réalité en 3D.
« si j'ai un minimum d'attirance pour une personne, là je n'ai vraiment absolument aucune confiance en moi, vu que je me sens inférieur. »
Je peux être attirée vers des gens qui ne me correspondent pas vibratoirement. Je sais que si je m’aventure là je vais avoir des problèmes. Quand tu te juges inférieur, peut-être portes-tu un jugement sur le fait de te sentir différent et pas vraiment compatible avec ces personnes qui t’attirent? Peut-être sens-tu instinctivement que ça ne va pas fonctionner? Peut-être que tu n’as pas à te juger de ressentir ce que tu ressens? Peut-être, quand tu rencontreras une femme qui te correspond, ne ressentiras-tu plus ce sentiment d’infériorité?
« Moi pour l'amour, j'ai peur d'être déçu ou de decevoir, car je pense qu'un jour la personne se rendra compte que je ne suis pas si génial que ça ( et verra les défauts). »
Je connais cette peur d’être déçue et de décevoir, et aussi que mes défauts soient exposés. Je pense que l’amour ne peut pas éviter les déceptions dans un sens ou dans l’autre. Je pense aussi que l’amour survit aux déceptions. S'il ne survit pas, c'est qu'il n'était pas bien fort. J’aime l’idée de prendre le temps de connaître quelqu’un et de discuter ensemble de nos défauts avant qu’ils débarquent de façon anarchique .
« Moi je n'ai pas peur de la passion, je ne veux que ça, de la passion, j'estime que c'est la chose qui nous permet de vivre. »
J’aime la passion aussi! Dans mon message précédent, je parlais de ma peur de l’amour-passion, celui qui brûle tout sur son passage .
« Perso je sais que depuis l'histoire où j'ai fuit cette fille, je ne fais plus confiance à mon instinct, j'essaye de rationaliser, je réfléchir avec des faits et non des ressentis...mais analyser des faits sans ressentis, ça n'a aucun sens... »
Tu sembles dire qu’au début ton instinct t’a attiré vers elle avant de te faire fuir. Tu te demandes pourquoi il t’a attiré là si c’était ensuite pour prendre la fuite. Du coup, ça t’interroge sur la valeur de ton instinct. Peut-être que cette attirance t’a aidé à prendre conscience d’une qualité que tu recherches chez ta future compagne et que ce qui t’a fait fuir t’a fait prendre conscience d’un défaut que tu ne souhaites vraiment pas retrouver chez ta future compagne? Les rencontres, même si elles durent le temps qu’elles durent, m’en ont toujours appris plus sur moi-même et sur ce que je désire. Je pense qu’avec le temps et l’expérience on fait mieux les liens entre les ressentis et l’analyse des faits.
« Mais perso, je pense que notre intuition est influencée par notre inconscient, ce n'est qu'un avis, mais je trouverais ça logique, il n'y a pas de hasard. »
Je pense que l’intuition vient du supra-conscient mais qu’elle est souvent filtrée par l’inconscient. L’inconscient contient nos désirs et les désirs peuvent brouiller l’intuition. Je pense que l’intuition est plus efficace quand on n’est pas en état de désir.
« Par dessus tout j'essaye de rester humble, je ne suis pas quelqu'un qui estime mériter quelque chose ( que ce soit "le cœur" de quelqu'un ou un poste de travail, un établissement pour étudier,...) »
Je pense que quand j’ai le sentiment de mériter quelque chose, c’est mon égo qui parle, mais de plus en plus, j’ai aussi cette sensation de ne pas mériter, et c’est libérateur car alors je peux fusionner avec ce qui est, pas ce avec qui «devrait » être, et je ne suis plus en mode contrôle mais en mode lâcher-prise. Je repense à Bob Dylan quand il chante « when you ain’t got nothing, you got nothing to lose ». Si je n’obtiens pas ce que je veux, c’est que ce n’était pas fait pour moi. Je me rappelle en même temps les fois où j’avais obtenu ce que je veux sans que ça tourne en ma faveur. Je pense que beaucoup de problèmes relationnels découlent du fait qu’on croit mériter le cœur de quelqu’un. Là je pense à Carmen qui chante : « L’amour est enfant de Bohême et n’a jamais jamais connu de loi » .
« parfois quand je juge les gens je me sens terriblement mal, car j'estime que je ne suis personne pour juger. »
Nous sommes entourés de jugements, c’est vrai! Des jugements hérités depuis des millénaires, que nous intégrons sans même nous en rendre compte. Et quand le collectif se regroupe pour juger un individu, je vis un mal-être profond. Quand je juge quelqu’un, c’est moi que j’ai l’impression de juger, et si je plonge dans mes souvenirs, je peux me reconnaître dans la personne que je juge, d’où cette impression que j’ai d’être hypocrite. La difficulté pour moi, c’est de ne pas mêler de jugements à des ressentis déplaisants face à quelqu’un. J’y arrive mieux aujourd’hui car j’apprends à exprimer mon ressenti à la personne dans le respect de moi et de l’autre, et du coup ça désamorce le jugement. Ça peut réveiller le jugement chez l’autre comme mécanisme de défense, mais je ne me sens pas responsable de ses jugements. Je découvre que c’est plus facile pour moi de ne pas juger quand j’exprime ce que je ressens, et ça m’a pris beaucoup d’années avant de pouvoir m’exprimer. Les mots ne viennent pas toujours tout de suite sur mes ressentis.
« quand je suis en public ça va un peu, mais au bout d'un moment, je vais le sentir seul, mal a l'aise, jugé,...je ne suis pas à l'aise. «
Pareil pour moi. Je m’interroge sur la part de projection dans le jugement : est-ce que je me sens jugée par les autres parce que je me juge moi-même? Est-ce que je me juge parce que je commence à m’embêter et que je suis encore là alors que j’ai envie de retrouver ma solitude? C’est étrange, très familier pour moi, cette sensation d’être seul quand on est entouré, qu’en penses-tu? Tout aussi étrange cette sensation de ne pas être vraiment seul dans la solitude.
« En vérité, je me sens tout petit face aux autres ( pas seulement en taille mddrrrrrr), je me sens faible, dans le sens où j'ai l'impression que je ne dégage pas de volume ( oui parce que moi je vois les gens en volume, pas physique, mais volume par le sens aura, charisme, ce que degage une personne)... »
Peut-être parce que le volume de toi est ailleurs? Parmi les gens, souvent je suis là et pas vraiment là parce qu’une partie de moi est ailleurs. Je ne me sens pas charismatique dans ces moments. Tu sais quand je me sens charismatique? Quand je suis seule et que je médite, mais il n’y a personne pour profiter de mon charisme . Quand tu as une conversation vraiment passionnante avec quelqu’un, te sens-tu charismatique?
« Mais oui je suis d'accord avec Tesla, bah je pense que ce que j'ai dit auparavant correspond un peu à ça, je vois les gens en fonction de leur énergie,... Toutes ces choses invisibles et inquantifiables... Je trouve que c'est ça qui rend quelq'un attirant, c'est l'invisible et non l'esthétique, ce que dégage une personne, son regard ( pas ses yeux, je parle regard), façon de parler, humour,... Ce qui rend quelq'un vraiment intéressant, quelque chose qui définit sa personnalité... «
Toutes ces choses invisibles et inquantifiables et pourtant si charismatiques! Il y a différentes sortes de charisme. L’égo peut être très charismatique. Il existe aussi des charismes plus subtils. J’aime la distinction que tu fais entre les yeux et le regard, c’est la première fois que je l’entends. Et ton regard à toi, quel effet a-t-il sur les autres?
« Je sais que tout le monde ne sera pas ok et que certains se diront que je vais loin, mais c'est ça qui rend quelqu'un attirant pour moi, et je n'ai jamais vraiment connu quelqu'un ( une femme dans mon cas) comme ça. »
T’arrive-t-il de penser que si tu existes, il y a aussi des personnes qui te correspondent, même si tu ne les as pas rencontrées? Moi je me dis que mon homme idéal existe mais qu’il vit sûrement sur une autre planète . J’ai lâché prise là-dessus, comme sur bien des choses. Juste de savoir que j’ai des âmes sœurs est excitant pour moi, même si elles sont absentes dans ma réalité en 3D.
« si j'ai un minimum d'attirance pour une personne, là je n'ai vraiment absolument aucune confiance en moi, vu que je me sens inférieur. »
Je peux être attirée vers des gens qui ne me correspondent pas vibratoirement. Je sais que si je m’aventure là je vais avoir des problèmes. Quand tu te juges inférieur, peut-être portes-tu un jugement sur le fait de te sentir différent et pas vraiment compatible avec ces personnes qui t’attirent? Peut-être sens-tu instinctivement que ça ne va pas fonctionner? Peut-être que tu n’as pas à te juger de ressentir ce que tu ressens? Peut-être, quand tu rencontreras une femme qui te correspond, ne ressentiras-tu plus ce sentiment d’infériorité?
« Moi pour l'amour, j'ai peur d'être déçu ou de decevoir, car je pense qu'un jour la personne se rendra compte que je ne suis pas si génial que ça ( et verra les défauts). »
Je connais cette peur d’être déçue et de décevoir, et aussi que mes défauts soient exposés. Je pense que l’amour ne peut pas éviter les déceptions dans un sens ou dans l’autre. Je pense aussi que l’amour survit aux déceptions. S'il ne survit pas, c'est qu'il n'était pas bien fort. J’aime l’idée de prendre le temps de connaître quelqu’un et de discuter ensemble de nos défauts avant qu’ils débarquent de façon anarchique .
« Moi je n'ai pas peur de la passion, je ne veux que ça, de la passion, j'estime que c'est la chose qui nous permet de vivre. »
J’aime la passion aussi! Dans mon message précédent, je parlais de ma peur de l’amour-passion, celui qui brûle tout sur son passage .
« Perso je sais que depuis l'histoire où j'ai fuit cette fille, je ne fais plus confiance à mon instinct, j'essaye de rationaliser, je réfléchir avec des faits et non des ressentis...mais analyser des faits sans ressentis, ça n'a aucun sens... »
Tu sembles dire qu’au début ton instinct t’a attiré vers elle avant de te faire fuir. Tu te demandes pourquoi il t’a attiré là si c’était ensuite pour prendre la fuite. Du coup, ça t’interroge sur la valeur de ton instinct. Peut-être que cette attirance t’a aidé à prendre conscience d’une qualité que tu recherches chez ta future compagne et que ce qui t’a fait fuir t’a fait prendre conscience d’un défaut que tu ne souhaites vraiment pas retrouver chez ta future compagne? Les rencontres, même si elles durent le temps qu’elles durent, m’en ont toujours appris plus sur moi-même et sur ce que je désire. Je pense qu’avec le temps et l’expérience on fait mieux les liens entre les ressentis et l’analyse des faits.
« Mais perso, je pense que notre intuition est influencée par notre inconscient, ce n'est qu'un avis, mais je trouverais ça logique, il n'y a pas de hasard. »
Je pense que l’intuition vient du supra-conscient mais qu’elle est souvent filtrée par l’inconscient. L’inconscient contient nos désirs et les désirs peuvent brouiller l’intuition. Je pense que l’intuition est plus efficace quand on n’est pas en état de désir.
Étoilerose- Messages : 235
Date d'inscription : 01/01/2019
Re: Le célibat
Flavien1320 a écrit:Salut à tous,
Je voulais savoir, pour ceux célibataire ou ceux qui l'ont été ou ceux qui ne le sont pas , ça fait combien de temps avez vous été célibataire (ou êtes-vous) ? A partir de quel âge avez vous connu votre premier amour ? Perso, j'ai 22 ans, des filles voulaient sortir avec moi, pour d'autres c'était ambigu, d'autres voulaient quelque chose de plus physique si vous voyez ce que je veux dire, donc je ne pense pas être forcément moche hein. J'ai l'impression d'être le seul dans cette situation, de plus je suis timide et réservé mais je m'entends très bien avec tous le monde, après je pense avoir peur de l'amour "philophobie" ( et ouais ça a un nom) et je ne fais confiance à absolument personne. Et je n'ai jamais été amoureux de qui que ce soit ( et ça, ça craint aussi), et je suis hétéro ( je préfère préciser). Bon bref, j'ai 22 ans mais j'ai l'impression que je dois me résigner à une vie solo ( même si 22 ans, c'est plutôt jeune).
Je tiens à préciser que je suis HQI à 137, diagnostiqué depuis fin septembre, mais le psy pense que je suis à plus de 137. En vrai, ces questions relationnels me pèsent, car je ne vois pas vivre ma vie tout seul.
Merci d'avance pour vos réponses,
Traitons les questions une par une.
1/ Célibataire depuis cinq ans, un truc comme ça. Ca date.
2/ 15 ans, une meuf du lycée. Réciproque mais j'ai pas fait le move. Et j'ai eu un gros crush envers une autre meuf entre mes 20 et mes 22 en gros.
3/ Non, t'es pas franchement le seul. Enfin ne jamais tomber amoureux à 22, je suppose que c'est pas commun mais je doute que ça soit un cas unique.
4/ Le manque de confiance dans les autres c'est un très gros pb pour toutes les relations amoureuses, sentimentalement comme physiquement. C'est peut-être un des noeuds du problème.
Sinon on se ressemble despi sur certains trucs genre dysmorphophobie et manque de confiance dans les autres j'ai l'impression. Ce qui me fait dire que le jour ou tu vas tomber amoureux, tu vas salement en chier. Enfin du coup non, t'es pas forcément le seul dans ce cas. A titre personnel je suis plus du genre extraverti, mais plus ou moins parano et confiance physique faible alors que j'ai pas spécialement de problèmes sur les applis et que j'arrive généralement à intéresser les gens. La vraie question c'est : quelle est ta véritable motivation derrière ce message ? Je peux pas croire que tu es juste venu pour poser une question de ce type.
Kafka- Messages : 97
Date d'inscription : 27/08/2019
Age : 25
Re: Le célibat
Moi j'ai l'impression d'être célibataire depuis toujours... Première passion amoureuse vers 4 ans et demi. Et ensuite des histoires univalentes fébriles du même acabit jusqu'à mes environ 21 ans, dévorantes de non réciprocité cristallisée au point de louper un concours (ma vie?en partie), bref, névrosée, on dit, non? Dead-daddy issues sans issue -style.
J'ai ensuite eu 3 couplitudes, ai quitté la première après 3 ans pour le père de mon fils, quitté aussi après 8 ans sans un regret (plus aucune affection), les deux relations avec toujours beaucoup d'exaltation au départ, puis de souffrance, puis de détachement.
Et pour finir en beauté, non, empotée (vu l'enracinement résultant), 10 ans d'emprise d'un mec pourtant testé à 136 mais au moins aussi scorant de narcissisme pathologique, alcoolique, infidèle, bref, tout caca/ssé, bancal dedans, fécal dehors.
Célibataire "forcée" depuis qu'il m'a gentiment une énième ultime fois dédaignée (mais je dois le remercier de tant de rationalité pour deux), il y a quelques mois. Pas pour autant libérée de ce saigneur de l'anneau que j'ai scellé à mon cou à défaut de la bague au doigt. Aliénée, totale, et consciente de l'add-fiction absolue de la chose.
Trois petits one-shots de sites de rencontres pour noyer ma peine sur la fin. Sinon rien.
Mais d'façon aucun mec (ni meuf, ni trans), jeune, vieux, moche ou beau, ne s'intéresse à moi (à qui je suis ou à même qui je parais\ être) depuis...je dirais 23 ans maintenant, tout ce que précédemment inclus.
Et zéro ami-e. Et famille congrue.
Céli_abattez moi, donc.
Alors oui, évidemment, suicidaire facultative (comme les chats et leur socialité), grosse valise universitaire et métier impossible de sauveur complexé assorti.
Heureusement je me trouve plein de raisons de survivre: finir d'éduquer mon fils, payer mes factures, m'occuper de mes animales de compagnie. La vraie vie, quoi. Qui aurait dû finir avant mes bientôt 45 printemps, en vérité moi je vous le dis.
Mais le hasard a un plan (plat) pour moi, je ne vois pas d'autre explication...
J'ai ensuite eu 3 couplitudes, ai quitté la première après 3 ans pour le père de mon fils, quitté aussi après 8 ans sans un regret (plus aucune affection), les deux relations avec toujours beaucoup d'exaltation au départ, puis de souffrance, puis de détachement.
Et pour finir en beauté, non, empotée (vu l'enracinement résultant), 10 ans d'emprise d'un mec pourtant testé à 136 mais au moins aussi scorant de narcissisme pathologique, alcoolique, infidèle, bref, tout caca/ssé, bancal dedans, fécal dehors.
Célibataire "forcée" depuis qu'il m'a gentiment une énième ultime fois dédaignée (mais je dois le remercier de tant de rationalité pour deux), il y a quelques mois. Pas pour autant libérée de ce saigneur de l'anneau que j'ai scellé à mon cou à défaut de la bague au doigt. Aliénée, totale, et consciente de l'add-fiction absolue de la chose.
Trois petits one-shots de sites de rencontres pour noyer ma peine sur la fin. Sinon rien.
Mais d'façon aucun mec (ni meuf, ni trans), jeune, vieux, moche ou beau, ne s'intéresse à moi (à qui je suis ou à même qui je parais\ être) depuis...je dirais 23 ans maintenant, tout ce que précédemment inclus.
Et zéro ami-e. Et famille congrue.
Céli_abattez moi, donc.
Alors oui, évidemment, suicidaire facultative (comme les chats et leur socialité), grosse valise universitaire et métier impossible de sauveur complexé assorti.
Heureusement je me trouve plein de raisons de survivre: finir d'éduquer mon fils, payer mes factures, m'occuper de mes animales de compagnie. La vraie vie, quoi. Qui aurait dû finir avant mes bientôt 45 printemps, en vérité moi je vous le dis.
Mais le hasard a un plan (plat) pour moi, je ne vois pas d'autre explication...
Entelekia- Messages : 61
Date d'inscription : 22/12/2018
Age : 48
Localisation : Autour de Vaduz
Re: Le célibat
Je ne sais pas quoi te répondre, Entelekia, juste que j'ai lu ce que tu as écrit et que ça m'a touchée et inquiétée en un sens.
Névromon- Messages : 1636
Date d'inscription : 29/12/2020
Re: Le célibat
(Bah merci Névromon, d'avoir été touché)
Mais faut pas s'inquiéter, en fait; déjà parce que ce n'est que poussière dans l'univers...
et que oui, c'est attristant, de constater à l'évidence comptable, que soit on ne trouve pas d'écho à ses sentiments pour celui/celle qui nous plait, soit on n'est visiblement pas attractif/-ve, amoureusement parlant, hors relations sociales imposées (job ou supermarché par exemple); ne pas provoquer la drague de l'autre vers soi (y'en a qui disent qu'on dégage certainement qque chose d'immatériel qui fait répulsif: à voir/enfin à sentir), ça arrive à des milliers d'humains je pense (moi y compris); et même des années durant.
Et même à des en apparence assez ordinairement faits pour n'être pas molestés à coups de pierres par les passants par ailleurs.
En fait, je voulais me plaindre, pleurnicher, parce que reviviscences opportunistes... mais quand même essayer de rassurer (par l'exemple solidaire) notamment le jeune Flavien1320, sur le fait qu'on peut avoir des histoires (même si desfois ça fait pas rêver ou qu'elles finissent mal), bref, être "accouplé" ; et que par ailleurs, célibataire parfois, ben c'est juste ...attendre que ça arrive, la rencontre, et le bon match. Ou avoir eu; et être...ben plus vieux.
Mais possiblement je m'y serais mal prise...ou moins bien que ce qui aurait été mieux.
(et l'idée de la fin de vie auto-administrée stoïquement décrétée, juste parce que voilà, rien de plus, y compris admettons le, plus trop d'espoir, qui "fait" vivre, on le sait /c'est pas une tragédie, mais un autre débat éthique, plus que strictement dépressif, j'en conviens, qui n'aurait pas dû être dévoilé sous la trame de ce post)
Alors en résumé: c'est sûr que quand on "magnétise" pas l'amour, ça comm', ou du mal à penser qu'on aura une histoire du même nom, sentimentale, tout ça, ou qu'on voit bien qu'on a du mal à aller vers l'autre en ce sens, à faire confiance en ce qu'il ne nous blesse/manipule/trahisse pas etc...,ben, au final, on a tendance à se sentir, pas aimé (techniquement c'est partiellement vrai) -voire mal aimé, ou "invisible" -donc voire inexistant, aux yeux des autres vus comme partenaires potentiels; quand bien même on a effectivement, des (tas d' / excellents) amis.
Oui, ne pas avoir /eu de partenaire, ça peut faire rapetisser l'estime de soi/la confiance en ce qu'on est (acceptable, désirable, adapté), et donc par effet distordre l'image de soi (d'où dysmorphophobie possible);surtout si elle n'a pas eu bcp l'occasion de sainement se développer assez avant (ex quand on est encore très jeune, et qu' on est en développement, par définition), ou si elle a pris des gnons (ça arrive, en société, même aux adultes) ; c'est même à ça qu'on reconnait qu'on naît (et reste...?) humainement socialement dépendant, biologie/anatomie humaine oblige.
Les drosophiles sont évidemment proportionnellement, moins emmerdées par tout ce binz' relationnel, quant à elles, pour autant qu'elles soient poussées à copuler un jour (ou juste 10 secondes).
Et très d'accord avec ce que plus on analyse malgré soi, ou par constitution, ce qui se passe; plus les sensors sont de toute façon délicats à toutes les variations environnementales; plus on peut beaucoup se tracasser de "ne pas/plus y arriver" - à être apparié plutôt que célibataire.
Et les rares qui se vivent super bien en étant (longtemps) seuls, asexuels, ou avec juste des (de rares) ami-e/s, et zéro vie sentimentale ([sexuelle])/ épanouie, comme on dit, ben c'est au doigt mouillé, pas la majorité . Donc "big up" à tous ceux là, pour ainsi dire et finir sur une note joyeusement altruiste.
Mais faut pas s'inquiéter, en fait; déjà parce que ce n'est que poussière dans l'univers...
et que oui, c'est attristant, de constater à l'évidence comptable, que soit on ne trouve pas d'écho à ses sentiments pour celui/celle qui nous plait, soit on n'est visiblement pas attractif/-ve, amoureusement parlant, hors relations sociales imposées (job ou supermarché par exemple); ne pas provoquer la drague de l'autre vers soi (y'en a qui disent qu'on dégage certainement qque chose d'immatériel qui fait répulsif: à voir/enfin à sentir), ça arrive à des milliers d'humains je pense (moi y compris); et même des années durant.
Et même à des en apparence assez ordinairement faits pour n'être pas molestés à coups de pierres par les passants par ailleurs.
En fait, je voulais me plaindre, pleurnicher, parce que reviviscences opportunistes... mais quand même essayer de rassurer (par l'exemple solidaire) notamment le jeune Flavien1320, sur le fait qu'on peut avoir des histoires (même si desfois ça fait pas rêver ou qu'elles finissent mal), bref, être "accouplé" ; et que par ailleurs, célibataire parfois, ben c'est juste ...attendre que ça arrive, la rencontre, et le bon match. Ou avoir eu; et être...ben plus vieux.
Mais possiblement je m'y serais mal prise...ou moins bien que ce qui aurait été mieux.
(et l'idée de la fin de vie auto-administrée stoïquement décrétée, juste parce que voilà, rien de plus, y compris admettons le, plus trop d'espoir, qui "fait" vivre, on le sait /c'est pas une tragédie, mais un autre débat éthique, plus que strictement dépressif, j'en conviens, qui n'aurait pas dû être dévoilé sous la trame de ce post)
Alors en résumé: c'est sûr que quand on "magnétise" pas l'amour, ça comm', ou du mal à penser qu'on aura une histoire du même nom, sentimentale, tout ça, ou qu'on voit bien qu'on a du mal à aller vers l'autre en ce sens, à faire confiance en ce qu'il ne nous blesse/manipule/trahisse pas etc...,ben, au final, on a tendance à se sentir, pas aimé (techniquement c'est partiellement vrai) -voire mal aimé, ou "invisible" -donc voire inexistant, aux yeux des autres vus comme partenaires potentiels; quand bien même on a effectivement, des (tas d' / excellents) amis.
Oui, ne pas avoir /eu de partenaire, ça peut faire rapetisser l'estime de soi/la confiance en ce qu'on est (acceptable, désirable, adapté), et donc par effet distordre l'image de soi (d'où dysmorphophobie possible);surtout si elle n'a pas eu bcp l'occasion de sainement se développer assez avant (ex quand on est encore très jeune, et qu' on est en développement, par définition), ou si elle a pris des gnons (ça arrive, en société, même aux adultes) ; c'est même à ça qu'on reconnait qu'on naît (et reste...?) humainement socialement dépendant, biologie/anatomie humaine oblige.
Les drosophiles sont évidemment proportionnellement, moins emmerdées par tout ce binz' relationnel, quant à elles, pour autant qu'elles soient poussées à copuler un jour (ou juste 10 secondes).
Et très d'accord avec ce que plus on analyse malgré soi, ou par constitution, ce qui se passe; plus les sensors sont de toute façon délicats à toutes les variations environnementales; plus on peut beaucoup se tracasser de "ne pas/plus y arriver" - à être apparié plutôt que célibataire.
Et les rares qui se vivent super bien en étant (longtemps) seuls, asexuels, ou avec juste des (de rares) ami-e/s, et zéro vie sentimentale ([sexuelle])/ épanouie, comme on dit, ben c'est au doigt mouillé, pas la majorité . Donc "big up" à tous ceux là, pour ainsi dire et finir sur une note joyeusement altruiste.
Entelekia- Messages : 61
Date d'inscription : 22/12/2018
Age : 48
Localisation : Autour de Vaduz
Re: Le célibat
Mais vide ton sac si tu le veux, n'hésite pas.
Je suis un peu rassurée (et j'ai lu ton autre message, même si là encore, je n'ai pas forcément grand chose à y répondre).
Je suis un peu rassurée (et j'ai lu ton autre message, même si là encore, je n'ai pas forcément grand chose à y répondre).
Névromon- Messages : 1636
Date d'inscription : 29/12/2020
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