Et si vive contait...

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oh Vive

Tes mots là posés sur le secret tu
Cassandre de feu comme l'oiseau
Laisse voler la larme de cendre
Pour en douceur la poser sur les maux.

La montagne fleurit la haut
et reçoit son manteau de feu
chaque printemps et pleure
ses larmes d'albâtre sur nous

Tu dois renaitre encore
Tromper le cortège funèbre
Et te tourner vers le vital voyage
Voila ta rédemption et ta première ligne.

Quel joli miroir Izo, merci , vraiment

C'est parce que tu le vaux bien.

Merci encore.
( j'ai supprimé un message, ca faisait tache sur ce joli fil d'or et d'argent)

Ici il s'agit de poser- Bien modestement-quelques mots blancs sur un parchemin un peu sale et noirci . Je m'imagine peut être à tort, qu'ils jailliront et brilleront par contraste.

Emilienne, emilienne est ce que tu aimes sortir ta chienne?
Je te vois le mardi t'attends que la nuit vienne
Emilienne emilienne PourQuoi tu fais des tiennes
Les corbeaux te pendront, à Paris ou à Sienne

Emilienne emilienne , allez fais pas la vilaine
Mets ta jupe et tes tropeziennes
On va déjeuner sous le grand chêne
Avec josy Marc et germaine.

C'était le poème de merde.
De rien.

Un point encore
Rond et menu
La base d'un six
Sans sa virgule
Un point c'est tout
Qui culmine sur la page
Répete comme une antienne
Un point la de côté
Qui fait mal
Ou bien ?

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Bof dévoiler ses secrets de créations, partiellement en plus, ca n'apporterait rien. ( je viens d'éditer un message ou je l'avais fait)

Dans les écumes des grands étangs
S’est baignée la jeune sirène à tête de faucon
Et quand elle rit on voit son sang
Couler comme une rivière sur les bords de son front

Ainsi ici c’est symphonie
Meurtre humain à tous les étages
Et quand on ploie on réussi
A toucher la mort d’un regard trop sage

J’ai vu ton nom crié par tous
Dans un demi sommeil de marbre
Comme un pendu pendu à l’arbre
Etait ton âme pour deux cents sous

On criait que la tête de faucon soit rasée
Qu’on la domine par la cicatrice
Et dans le cœur un vent d’âme brisée
Qui rejetait tous les supplices

Quand on refuse de donner ses mains
En condamnant les larmes avec
On crucifie la jeune fille du lendemain
Qui dormait nuit et jour avec un cœur sec

Ô pluvieux orages de la colère
Quand on montre la lune ainsi
Vient le soleil la garde arrière
Où pleuvait pur sur les joues à midi

J'ai lu pour m'imprégner des métaphores .
Je crois avoir saisi le sens de ce joli poème .
Merci .

R

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Éditions = peaufinage et corrections

Les mots.

Les mots m'entraînent dans une farandole. Les images d'abord, une histoire, puis les sons entêtants ils m'assaillent je les pose. En les écrivant ils sortent de la tete, et je peux en penser d'autres.
Et comme un puzzle je construis.
Vite et mal, je relis, à haute voix désormais sur conseil d'un plus grand que moi, et le plaisir vient Quand les pièces s'emboîtent.
Se lit mon impatience d'en finir pourtant, je vais à l'essentiel et ne sais pas, ou plutôt n'ai pas envie de faire les transitions, je vais droit au but et traite l'essentiel. C'est rapide et violent toujours, mais c'est voulu, c'est moi.
Lorsque je suis plus calme, j'enrichis le contexte, ou Bien Alors je reprends le texte et le perfectionne. En ce moment pas envie, et chais pas trop si je retournerai à ca, ca m'ennuie.

vers l'avant
se refuser au présent
vers l'arrière
serais-tu triste, Éphémère

Nostalgie d'un temps,
hologramme d'une vie passée
A courir, courir, esseulé
De qui,
de moi,
ou,
mais ici.
ailleurs,
car on nait à ce présent.

Merci jolindien

Générosité
Pour toi

Oh merci

Qui es tu?

Quand il était la, c'était amusant.
La plus envie .
Faut que je nettoie . Flemme . Mais j'y pense, j'y pense.

.

Hey mais je n'avais pas vu ce message

Je passais vérifier que je m'étais pas plantée pour  le Tréfle ( j'ai une bonne memoire mais sait on jamais). Planter du Tréfle c'était une chouette attention.

Je suis en plein debroussaillage. C'est long et ca se fait pas sans mal.
Osciller entre l'espoir de la clairière et l'anéantissement devant la tâche.

Les stratégies sont nombreuses, faut juste etre methodique, branche par branche .

.

Plus c'est long...plus c'est pas bon.

veni vedi vici. ( on y croit- 2017 année de la... fête , pas défaite ca c'est non)

Un hymne à la joie, à soi, à tout le reste.
L'instant est-il long?
Tant qu'il y aura combat il y aura séparation, classement, hiérarchie, dominance.
On emploi des mots, et ils enveloppent cet instant présent qui inexorablement se conforme à cette intention.
Facteur à moitié intérieur, à moitié extérieur.

J'ai dit au temps un jour, j'arrête de te courir après, tu arrêtes de me courir après.
Alors on s'est assis pour disparaitre l'un à l'autre.
Quand je ne suis pas tu es et quand je suis tu n'es pas.

grumeaux

Vendanges

A velo nous irons,
sur les chemins rocailleux
Sur les sentiers, rirons
Comme les enfants amoureux
Cueillir les fruits de nos vendanges

Mon amour voici que vient septembre
Les feuilles des chênes prennent leur ambre
Vois donc comme la nature est belle
Et comme tu te fonds avec elle !
Toi le plus merveilleux mélange

La brise te rend plus beau encore
Tes mains gourmandes boivent l'or
Des grappes douces gorgées de jus
Elles donneront le plus grand crû
Le vin des dieux, nectar de l'ange.

Puis quand nous rentrerons rompus
D'avoir tant ri, d'avoir trop bu
Je prendrai sur tes lèvres la fin du soleil
Regretterai un peu que la journee s'acheve
Mais qu'il est heureux, le temps des vendanges .

Coquelicot

Extrait de coeur, goutte de sang
Coquelicot bat dans le champs
A ton dessin je m'illumine
Et sur ta courbe je m'incline

Fleur de l'été fleur de mon ciel
Ton éclat vif n'a de pareil
Sur ton pétale perle rosée
Tel lèvres tendres de mon aimé

Comme le peintre te saisir
Chercher ce rouge, y revenir
De mon pinceau trouver le pourpre
Le vermillon, qu'il faut résoudre