C'est en postant n'importe quoi qu'on augmente sa capacité de MP

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We'll meet again. When something else cries.

allé bern

Standing on the corner, suitcase in my hand. Jack in his corset and Jane is in her vest. And me, honey, I'm in a rock'n'roll band! Sweet jane!

I have made a very big decision. I'm gonna try to nullify my life.

alors c'est deux mecs qui rentrent dans un café... et.... (suspense terrible)... PLOUF!

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Besoin d'un peu d'aide par ce topic.

Et hop !

veaux

vaches

cochons

bœufs

et moi, et moi, et moi ?

Tiens, j'ignorais que ce fil existait.. J'en suis!

Qui cherche l'infini n'a qu'à fermer les yeux

lire

respirer

s'évader

espérer

rire

pétiller

vivre

Il y a toujours une étoile

5 ça suffit.

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« Car une fois de plus il me fut enseigné que la logique tue la vie. Et qu'elle ne contient rien par elle-même...
Mais ils se sont trompés sur l'homme les faiseurs de formules. Et ils ont confondu la formule qui est l'ombre plate du cèdre avec le cèdre dans son volume, son poids, sa couleur, sa charge d'oiseaux, et son feuillage lesquels ne sauraient s'exprimer et tenir dans le faible vent des paroles...
Car ceux-là confondent la formule qui désigne et l'objet désigné. »
Citadelle - Antoine de Saint-Exupéry

« Car on ne meurt point pour des moutons, ni pour des chèvres ni pour des demeures ni pour des montagnes. Car les objets subsistent sans que rien ne leur soit sacrifié. Mais on meurt pour sauver l'invisible nœud qui les noue et les change en domaine, en empire, en visage reconnaissable et familier. Contre cette unité l'on s'échange car on la bâtit aussi quand on meurt. La mort paie à cause de l'amour. Et celui-là qui eût lentement échangé sa vie contre l'ouvrage bien fait et qui dure plus que la vie, contre le temple qui fait son chemin dans les siècles, celui-là accepte aussi de mourir si ses yeux savent dégager le palais du disparate des matériaux, et s'il est ébloui par sa magnificence et désire s'y fondre. Car il est reçu par plus grand que lui et il se donne à son amour. »
Citadelle - Antoine de Saint-Exupéry

« Et ça et là il se levait de faux prophètes qui en réunissaient quelques-uns. Et les fidèles bien que rares se trouvaient animés et prêts à mourir pour leurs croyances. Mais leurs croyances ne valaient rien pour les autres. Et toutes leurs croyances s'opposaient les unes aux autres. Et de petites églises se bâtissaient ainsi qui se haïssaient ayant coutume de tout diviser en erreur et en vérité. Et ce qui n'est point vérité est erreur et, ce qui n'est point erreur est vérité. Mais moi qui sais bien que l'erreur n'est point le contraire de la vérité mais un autre arrangement, un autre temple bâti des mêmes pierres, ni plus vrai ni plus faux mais autre, les découvrant prêts à mourir pour des vérités illusoires, je saignais dans mon cœur. »
Citadelle - Antoine de Saint-Exupéry

"Mais le mystérieux de l'homme qui se désespère si la bien-aimée s'écarte de lui ou si lui-même cesse d'aimer ou cesse de vénérer l'empire, il ne soupçonne pas son propre appauvrissement. Il se dit simplement : « Elle était moins belle que dans mon rêve ou moins aimable... » et le voilà qui part satisfait au hasard du vent. Mais le monde pour lui n'est plus miracle. Et l'aube n'est plus l'aube du retour ou l'aube du réveil dans ses bras. La nuit n'est plus le grand sanctuaire pour l'amour. Elle n'est plus, grâce à celle-là qui respire dans son sommeil, ce grand marteau du berger. Tout s'est terni. Tout s'est durci. Et l'homme qui ignore le désastre ne pleure pas sa plénitude passée. Il est satisfait par sa liberté qui est la liberté de n'exister plus."
Citadelle - Antoine de Saint-Exupéry.

Malheureusement, je n'ai point plus de citations sous la main pour cet auteur. (Et sans doute pas pour d'autres.)

« Mais qu'il s'agisse de la nourriture du corps ou de l'esprit, les hommes tombent dans la même faute : ils discutent beaucoup les questions : qu'est-ce qui est bon, qu'est-ce qui n'est pas bon ? et, en fin de compte, la plupart n'acceptent que ce qui leur plaît et ne prennent souvent conseil que de leurs penchants, de leurs habitudes et même de leurs passions. On leur démontre que leur manière de vivre est déraisonnable et préjudiciable à la santé, ils n'ont aucune objection sérieux à opposer à cette démonstration; ils se contentent de répliquer : Est-ce qu'on doit si subitement changer tout son régime alimentaire ? Nous répondrons : Ne changez pas subitement, mais vous auriez dû dès longtemps modifier votre manière de vivre. Peut-être aussi dira-t-on : « Tout cela me paraît très juste, mais je préfèrerais mourir dix ans avant le temps que de me prêter à un tel régime ». De telles objections démontrent clairement que l'on s'obstine à ne pas écouter la raison, mais que la sensualité continuera à tenir les rênes au détriment de la santé et de la vie. »
S. Kneipp - Médication Interne

Ah, j'avais aussi celle-ci.

Et comme il en faut un dernier, je sacrifie celui-ci.

Édité: J'ai finalement retrouvé cette petite fable !

"Un jour, un immense feu se déclencha dans la forêt et menaça les animaux. Toutes les créatures, terrifiées, fuirent et observèrent impuissantes le désastre.
Alors le colibri s’activa, cherchant quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu.
Après quelques minutes, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! ».
Et le colibri de répondre : « Je sais, mais je fais ma part »."
Pierre Rabhi - Extrait de La Part du Colibri.

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