Théorie de Dabrowski: qui a réussi à se développer pour aller mieux?

Bonjour à tous,

voici mon premier post, quelques mois après la découverte de ma douance, en plein milieu de boulversements de vie profonds, de remie en cause du modèle de couple, de famille, etc... le tout sur fond de profond malaise et difficulté d'acceptation... bref, dans mes errances sur la toile pour essayer de comprendre et d'avancer malgré tout, je viens de tomber sur la théorie de Dabrowski, la désintégration positive... je vais creuser le sujet mais cela me laisse à penser qu'on pourrait aller plutôt mal à un moment de sa vie pour sortir de ses ornières et se construire un nouvel équilibre, plus personnel, plus "élevé".
Alors je me demandais si certains y étaient parvenus. Certains d'entre vous ont-ils traversé ce genre de crise? qu'en est-il sorti? Comment avez-vous trouvé votre chemin? sur quelle aide vous êtes-vous appuyé? Comment ne pas replonger ou culpabiliser face à une société très normative? Comment assumer face aux enfants, etc...? et surtout, depuis, allez-vous vraiment mieux? Comment évoluez-vous encore?
Merci de vos retours.

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Concevoir un affranchissement à divers facteurs contraignants ou donnant l'illusion d'engendrer une perpétuation dans nos modélisations simulant un essor concernant l'existence mais se constituant en fonction d'une modélisation consensuelle dans un cadre socio-culturelle.

Comment extrapoler dans un contexte défini l'insurgence face au mépris de l’individu au service d'une cohésion collective et de sa représentation.

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Voilà, c'est condensé.

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Ô racle !
Ô des espoirs !

Halte aux louanges, place à la sérénité pour conclure sur cette théorie.

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Quand est-ce qu'on dansait ?

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Par analogie, on peut concevoir la cinquième phase avec une notion de "puissance" que l'on peut relier à la pensée de Nietzsche concernant le fondement le plus récurrent au niveau du contexte culturel. J'ai l'intime conviction que l'on peut franchir certaines barrières et atteindre une phase de contemplation, mais on ne peut abdiquer face aux processus et facteurs qui déterminent nos conditions.

Par conséquent on demeure vulnérable.

On demeure humain.
Jusque là je te suis.

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http://www.zebras-crossing.org/doku.php?id=articles:dabrowski

Voilà pour ceux qui se demande ce qu'est la désintégration positive.

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bien vu puzzle

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A partir de ce constat la capacité d'abstraction, la liberté des possibles.

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Comment définis tu la condition et par rapport à quel(s) référentiel(s) ?

Notre capacité à absorber un contenu informationnel offre un panel tant en subjectivité/"objectivité", mais cela se restreint par la nature même du contenu/savoir. On engendre des "mutations" dans notre champs réflectif mais cela peut il être jugé comme louable et aboutissant à une quelconque finalité. Sans volonté de proscrire une représentation d'émergence de notre individualité dans une continuité d'authenticité, il serait en droit de s'interroger sur notre participation et l'influence positive ou néfaste que l'on peut projeter dans nos interactions. La problématique me concernant, est la véracité des constructions que je peux modéliser et par conséquent me questionner sur la légitimité de l'influence de "l'environnement psychique", en espérant que cette formulation conceptuelle s'ancre dans une logique.

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Ce que je veux expliquer, sur quelle base on peut construire l'intégrité d'un échange et consentir si le savoir que l'on peut acquérir par le biais des différents supports érigent t-ils une véracité. Pour en revenir à la théorie de Dabrowski, l'émergence même des différentes phases même si on peut concevoir une certaine rationalité cloisonne l'être et concevoir des statistiques engendre me concernant un certain désarroi.

Je retrouve bien souvent un formalisme que je n'arrive pas à vouloir intégrer, me donnant cette impression d'une réplication par rapport à un modèle imposé pour juger la crédibilité.

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Dédicace à Einstein pour savoir si le concept est bien intégré.

Je me limite ce soir car ayant un entretien demain. Ce que tu m'a dis reprend un proverbe.

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Un truc "tout simple" pour gérer un peu ses idées, émotions et leur relation avec celles des autres personnes (zèbres ou non, je ne fais aucune distinction), le monde, le monde social, son fonctionnement et ses caractéristiques contre lesquelles tout à chacun peut se rebeller :

Se poser cette question, "Dans quel genre de monde souhaitez-vous vivre ?". Trouver la réponse, et devenir un acteur de la création de ce monde.

Je te réponds Thomas More, texte étudié en première. L'utopie qui répond à nos critères personnels.

Bonjour et merci à tous, en effet, j'aurais du mettre des liens pour que cela soit plus clair. merci à Puzzle et Nistarok pour les éléments. cependant, pour être plus clair, mon objectif était surtout d'avoir des témoignages de gens ayant traverser de plus ou moins grandes crises dans leur personnailité, leurs idéeaux, leurs schémas de vie, et qui seraient à la phase d'après.
Sans exhaustivité, et surtout sans la prétention de croire que c'est absolument définitif, j'aimerais savoir par exemple si les questions s'appaisent un peu, si l'on retrouve des certitudes ou des objectifs stables, et surtout comment on y arrive...
mais je me demande un peu si les gens qui vont vraiment bien et ont trouvé leur "schéma de vie" viennent sur ce genre de forum, ou s'ils sont même conscients d'être passés par ces phases et d'avoir profondément évoluer... qu'en pensez-vous?

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Je trouve cela développé, ce qui laisse l'interprétation à chacun au lieu d'une certaine influence dictée que cela peut engendrer.
Nous sommes le socle/résultante de nos interactions diverses, à partir de constat une partie de ce monde.

Foim a écrit:, et surtout comment on y arrive...

Le problème de Dabro c'est qu'il ne t'explique pas ce qu'il faut foutre. Le reste, c'est un peu de l'entomologie.

Le dénigrement explicite ...

Non, pas du tout, c'est de la classification : phase 1, phase 2, phase 3,... avec les caractéristiques.

Mais la question de savoir comment aller vers un changement n'est pas abordée.

Cela change de la classification sociale et de ses réussites.

Cela change mais cela n'apporte pas de solution (non plus).

Maintenant, si Horacle est parvenu à aller mieux, cela m'intéresse de savoir comment il a fait.

Je considère pas qu'il y ait une finalité aux choses ... Mon père me dis que je suis beaucoup moins con sans alcool, cela reste un point de vue.

Comment est-ce que cela t'aide de penser que les choses n'ont pas nécessairement une finalité ?

Si mon père me voyait bourrée il se dirait surement que je suis la fille d'un autre, alors je m'abstiens. Quelle est la finalité DE cette absurdité ?

Je me projette pas dans l'avenir. J'accuse du coup, on doit bien remplir des objectifs. Mais lesquels ?

POLA = Pierre Ou Les Ambiguïtés ?

Horacle, je trouve cela intéressant. C'est comme ne pas vouloir (on retrouve cela dans le taoïsme) ou s'imaginer à l'instant de sa mort.

C'est une façon de débrayer.

Quel genre d'objectif ? Tu peux zoomer ?

Merci de m'avoir lu.

Je suis moi-même dans une recherche. Tout ce qui y contribue m'intéresse.

vivre sa mort ?