Une relation incomplète

Voilà, j'ai une étrange relation avec une femme-tronc, malgré son manque de finition, nous prenons tous les deux notre pied, ou les deux, et la plupart des jambes n'arrivent pas à comprendre pourquoi je ne prends pas mes jambes à mon cou. J'aimerais recueillir votre avis.

Je découvre ce message. La femme-tronc avance lentement. Maintenant, je ne me balade plus trop sur le forum, juste pour des raisons de prospection.

Cette question est tentaculaire, a y perdre chacun notre neurone. Si ca se trouve, c'est tout bête, juste sous la truffe, une histoire de communication...

Une question bête : Comment vas-tu?

Je ne te demande pas de détails, juste l'indice de ta joie de vivre actuelle sur un échelle de 1 à 10. Mets un chiffre erroné complété par une devinette alambiquée que seul un zèbre véritable pourra résoudre (ce qui devrait limiter les risques qu'un indiscret ne casse le code) ou bien ne mets rien et dis-moi d'aller me faire foutre ou bien fais donc comme tu veux. Je pose juste la question.

Je balance plutôt à gauche ou en bas selon ton point de vue...QI suis-je ? Suis-je vraiment moi ? Comment trouver mon moi transcendantal comme pèpère quant, relativement au bien ?
Et toi, Ch'at va comment ? Je te sens mou de la truffe...Ou simplement trop occupé à courir après la souricette du savoir. Ou autre chose top secret

Top secret. Je cherche le bonheur, je crois avoir une piste sérieuse. Autre que celle de renoncer à une "intelligence" hypothétique ou celle menant à ma suppression pure et simple. Ne l'ébruite pas, tu me peinerais.

Top Secret

houla houla
pas très bon cette mélancolique.

"c'est un truc à avoir la chiasse quand on a le QI dans l'étalon" Bartabas

Tu me trouves les talons et on en parle ensuite

Ah, non, je vous arrête tout de suite. Mes propos n'étaient pas à prendre au premier degré, et je refuse de les expliciter d'avantage ce soir.

Et bous, vous faites quoi dans la vie, en ce moment?

Je suis devant l'écran en train de discuter avec un Chat et le succédané d'Einstein

Je ne souffre pas de schizophrénie. Appelle moi simplement Ygor.

Ok, on va utiliser les vraies identités. A partir de maintenant, tu es Ygor...

Si tu veux utiliser les identités véritables, appelle moi Valère. Mais je te prie de t'en abstenir, tu ne me connais pas assez pour cela.

Je suis pudique. Merci de ne pas utiliser mon prénom.

Ce que je n'ai pas fait.

Un aparté très bref : j'voudrais pas crever. C'est dit.

Ok, j'édite immédiatement, mais sous la contrainte, je le précise.