Moi coucher, toi coucher ?

Bon, j'arrête de débloquer...Il faut que je redevienne sérieuse. J'arrête de polluer (pas pollution nocturne) ce fil...

Que vos échanges soient riches et rieurs surtout

Soleil, le problème n'est pas la puissance de feu de ton regard, c'est la révérence faite devant la bête qui compte, seul à même d'amadouer les méfiances.

Le poète Rocco Siffredi sur un plateau de télévision, endossait avec humour son rôle de bite ambulante.
Valérie Lemercier (probable HQI) se laissait aller à un petit numéro de gentil mépris, du féminisme facile.
Et là, le poète lui explique, presque avec pudeur, que le problème avec une fille comme elle, c'est qu'il est incapable de bander.
Rocco 1 - Valérie 0

Quelqu'un qui a vendu plus de DVD qu'Einstein ne peut pas être complètement mauvais.

Il ne faut pas oublier qu'il y a un homme derrière la bite.
Pas d'idée préconçue à avoir car on peut être surpris (dans le bon sens du terme).

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Mince, elle est où Bliss ? Elle a blissardé quelque part ? J'ai dû manquer un truc.

Le problème de la gaudriole, c'est qu'on fait vite le tour du sujet.
Mais merci d'avoir écrit bite.
L'omerta verbale sur l'entre-jambe masculin est insupportable.

Je t'embrasse.

Bon, maintenant, fais-nous rêver comme au début, c'était doux.

Je fais rêver....Oui, je fais rêver avec mes mots alors que je suis engluée dans le réel, ô combien trop réel.
Une petite pause pour trouver du poétique qui fasse rêver

AAAAHHHHHHH,
la tentation permanente de l'esprit de mépriser le trivial.
J'ai appris à respecter l'outrance, source d'euphorie et de modestie.
Et ne réveillez pas une Bliss qui dort, elle est encore plus sensuelle dans les brumes moites du réveil.

Faut m'expliquer le coup de la Bliss ?
Je suis moi, SoleilSombre. Le réel n'est pas fantasme. Je ne méprise pas le réel...tout comme le corps. J'aimerais juste que quelqu'un me fasse rêver. C'est tout ce que je dis.

Vous me donnez envie de me lover dans vos bras, de me blottir.

C'était pour Horacle, j'ai cru à de l'humour.
Et puis j'ai regardé ses autres posts.

Ta faire rêver ? Seule toi peut rêver. Imagines que je sois beau, imagines que je t'apaise, imagines que je te rassure, imagines que tu aimes mon odeur.
Imagines qu'avec moi tu n’aies rien à prouver, que tu peux continuer à somnoler, imagines le sifflement de la théière, l'odeur des croissants, lovée sous ta couette.

Et même si tu arrives le thé tiédi, et que tu as gardé ton abominable T-shirt pour dormir, je t'accueille avec un sourire, et tu viens prolonger ta torpeur contre moi.

Tiens, j'ai deux histoires rigolotes à bazarder.

Elle se ballade, élégante pour une fois, dans un quartier Parisien aux allures bourgeoises, un livre à la main. Il l'interpelle, lui dit "Vous êtes très agréable à regarder", sourit, elle dit "Merci" en pensant "Salaud" par convention, et elle retourne à son trajet.

Elle est dans le métro et à sa droite, un type affublé d'un manteau trop grand, d'un sac à dos usé, The Hobbit en V.O à la main et la barbe coupée à la façon des homoncules de Tolkien, avance en même temps qu'elle jusqu'à l'avant de la rame pour moins marcher sur le quai du terminus. Ils ne sont que deux à anticiper. Ils arrivent au bout, il la regarde, se demande, range son livre. Les portes s'ouvrent, et parfaitement synchronisés, ils évitent les escalators et autres ascenseurs, snobbent les bouchons de passagers et grimpent deux à deux les escaliers. Prennent le dernier escalator mais seulement parce qu'il est cassé, pour entendre le xylophone des marches mortes. Il se met le long du mur, elle joue sur les pavés, ils avancent à même hauteur pendant encore cent mètres. Puis il tourne.

Faut-il pareil romantisme ou une levrette cosaque sur la table du resto ?

Merci de remettre ce fil sur son droit chemin, un peu d'émotion, que diantre.

"Je n'étais pas superstitieuse. Puis je suis passée sous l'échelle de Wechsler. Maintenant, je fais gaffe."

On devrait inventer la médaille Fields de l'humour, ma voix t'est acquise.

Moins que de l'émotion, c'est cet espèce de flottement très sympathique qui laisse croire que tout est possible. Peut-être qu'elle aurait pu dire "Toi coucher?". Mais elle n'a pas eu les ovaires.

Merci pour le compliment. Il faut beaucoup de blagues pourries pour en sortir une qui vaille le coup.

Gimli, il ne faut rien du tout. La brouette japonaise n'est pas incompatible avec un Darjeeling brulant. Ce dernier peut servir de préliminaire.

'moy [Baboo] a écrit:Moins que de l'émotion, c'est cet espèce de flottement très sympathique qui laisse croire que tout est possible.

C'est ce que j'adore dans ton post. Ces moments furtifs où la magie semble pouvoir s'abattre sur l'instant, pour un geste, pour une complicité imprévue. Et on repart, l'âme plus légère, sans trop savoir pourquoi.

Vois moi juste devant toi
Femme, je me présente à toi
Ta vue m'a fait rougir
Rougir de plaisir sans nom
Regarde moi juste devant toi
Je suis là, prête à te suivre

Soleil, on ne chantera jamais assez le cadeau de l'instant d'une femme qui s'abandonne, la délicate émotion d'une joue qui s'empoupre, le regard baissé pour se consacrer à l'espoir d'une union. Doux moments qui jamais ne reviennent. Juste là, maintenant.

Soleil, par pitié, gardes ta chaleur, gardes ton émoi, mon regard tardes à embrasser chaque reflet de ta peau. Dis-moi qu'il fait beau, dis-moi que la pluie va continuer à frapper les carreaux, dis-moi que dans une heure tu seras là, dis-moi que je ne rêve pas.

Dans un amphithéâtre bondé, j'étais pour la première fois assis aux côtés d'une brune aux longs cheveux dont la seule vue me troublait.
Tétanisé derrière un pupitre trop petit, j'ai cru deviner contre mon pied engourdi le contact de SON pied. Pour rien au monde je n'aurais voulu bouger et faire revenir le sang pour savoir si son pied était bien là.
J'ai vécu quelques instants d’exaltation à couper le souffle.
Et le cours s'est achevé.

Je passe de la poésie à la sauvagerie (délai entre mon post et les derniers) :
Pas eu le courage de parcourir les 6 pages, mais compris que vous êtes partis bien loin ... En tous cas, le titre et l'intro m'ont bien amusé : "moi coucher, toi coucher ?"
Je suis l'antithèse de cette intro (mais j'ai peut-être raté quelques épisodes ...) : jamais compris les codes, la drague conventionnelle, être séduite lentement avec galanterie et attention. Je ne me vois pas, et je ne vois pas le regard de l'autre : à chaque fois ça se produit comme un court-circuit (ou alors je bloque le message et je n'en ai jamais conscience tout de suite, et juste quelques remords sur ces occasions manquées).
Sais même pas ce qui c'est passé et on est dans le même lit ... Rarement de regret mais bon, quelques fois, je me dis que je manque vraiment quelque chose dans ce mode de relation : l'étape de la séduction courtoise, celle de la méfiance et de la confiance.
Je me dis aujourd'hui que c'est sans doute une combinaison de décalage entre ma perception, image de moi et celle de l'autre, et une sorte d'instinct "animal".
No more comment !

...

J'me suis branlé et c'est encore les touche SEDXCVFR qui sont toutes collées!!!
Fais chier!!!

Tu aimes beaucoup la poésie, c'est charmant!

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...

J'ai été encore une fois hors sujet. Quatre pages pour m'en rendre compte.

je ne pense pas que ce soit toi qui es hors sujet

et tes 2 histoires étaient fabuleuses

Puzzle a écrit:je ne pense pas que ce soit toi qui es hors sujet

et tes 2 histoires étaient fabuleuses

Ah ouf ! Parce que souvent je me demande ...
Merci ! Puzzle

Cher ami, vous me troublez. Ces mains...ces mains. Caressez moi la nuque doucement.

"si tu savais tout ce que je dirais si je n'avais peur de briser ce moment"

"si tu savais tout ce que je dirai si tu ne m'empêchais pas de parler"

Ma belle, je voudrais entendre de ta bouche ces mots que tu n'oses dire...

Lache toi Ik.
Tu ne sera pas lâche pour autant!!!

(je me lache sur les blagues dans le topic pour rire du tout pour le moment... il est vrai que j'ai plus de choses pas sympa adressées à des gens que je croyais estimer et même aimer, que j'ai besoin de sublimer à défaut de pouvoir régler.)

" Viens, arrête de bosser deux minutes, on va se balader dehors, sur les quais le spectacle de l'eau qui coule et des passants nous laissera plus de temps pour nous connaitre"

"je t'ai écouté, je t'ai lu, tu es si important pour moi, ne crois pas que je te laisserai abuser de cet ascendant, ne crois pas que je resterai pendue à tes lèvres si tu me roules dans la farine, mais je te porte dans mon estime, tu es comme un proche quelque part dans un rêve"

tu es comme un proche quelque part dans un rêve

C'est marrant, ça a été le thème de ma journée.
Comment par internet les gens se créent des êtres qu'ils fantasment et qu'ils désirent vivre dans leur tête comme une part de rêve.
On vit la fin d'une ère et on entre de plein pieds dans une nouvelle aire.
On va s'en prendre plein la gueule tant les retours de flamme seront intenses et immenses.
On passe de la guerre virtuelle à l'amour virtuel.
Et petit à petit on la vire Elle, celle qui doit nous guider.

Allez Ik, remplit ton verre, encore un et je va, encore un et je vais.
La vie est trop courte pour que tu la brides.
Puis une chose, dis toi qu'au moins tu n'as pas à la gagner, vu que tu l'as déjà.
Et cela n'a pas de prix!!!

Mes amours, vous êtes obscènes...Hi, hi. Vous avez le même langage, dans la même dimension. L'avez-vous remarqué ?

A l’épicerie, il y a quelques minutes, en rentrant du boulot.
Nous nous regardons, nous nous connaissons de nous être déjà vaguement croisés.
Je tente ma chance et glisse comme la suite d’une conversation que nous aurions déjà entamée : « excuse ma mémoire défaillante, mais j’ai bien peur qu’il te faille à nouveau me séduire ».

Ca ne marche pas. C’est un pote de compote qu’elle a emmené. Qu’avait-il donc de plus que moi ?

Il était comestible ? (Second degré)

Une odeur animale et moins de tension humaine.

@ Gimli : Hahhah, J'adore ce genre de tactiques de dragues

@ Mis en pâte, tu as raison, je vais remplir mon verre de ce pas

Là, tu as de bonnes techniques de drague.

http://www.videobuzzy.com/Bref-Lui-cest-Kheiron-EPISODE-81-5864.news

Dans les râteaux du nain, j’avais essayé :

« On attend d’avoir fait l’amour ou on se tutoie tout de suite ? »

On s’est tutoyé tout de suite.

hihihihihi

Moi quand on me met un rateau on me dit souvent "tu gères!" "tu es formidable!" tant mieux, tant mieux.

Moi on me met pas de râteau.
En fait, ça fait un moment que je n'en ai pas prit un.

Bon, je divorce, mais ça c pas du râteau...
C'est plutôt de la pelleteuse.

Bâtir des râteaux en Espagne, ça se dit ???

Bah, avec tous ceux que j'ai pris, je vais bientôt pouvoir ouvrir une jardinerie.

Ca t'apprendra à tromper la très grande blonde !

Si tu montes une jardinerie, je t'expliquerai comment planter les graines.

La collection de râteaux d’un nain, suite.

Nous sommes dans le train en vis-à-vis, elle est jolie et le nain est d’humeur espiègle. Elle lit et sur la couverture, j’aperçois « Rousseau ».

- Mademoiselle, Jean-Jacques a dit qu’il n’y avait de véritable amour que s’il n’y avait pas d’intérêt autre, or, je n’attends rien de vous. Ne tenterions-nous pas de vérifier l’hypothèse ?

Quand elle me regarde avec les yeux d’un merlan frit, le livre et se découvre et la couverture m’apparaît dans son intégralité : «Carole Rousseau, la biographie ».

Un ouvrage certainement essentiel qui manque à ma culture.