Quo vadis?
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Re: Quo vadis?
Encore merci merci!
Bah tu sers certainement à plein de choses! Ne serait-ce que pour ta famille/tes patients (j'insiste, d'ailleurs, t'as pas une place pour moi parmi tes patients?)... J'espère seulement que des personnes s'occupent aussi de toi! On en a tous besoin! Moi, je suis incapable d'aider qui que ce soit en ce moment alors que c'est l'essence de ma vie en principe. D'ailleurs, rien que ça, ça m'aide aussi à comprendre mon abandon d'études... aider les autres, quand on va mal, ça va bien jusqu'à un certain point...
Normalement, demain, j'aurais le nom d'un psychiatre et je téléphonerai dès que possible (demain donc).
Mais j'ai, là aussi, peur de me faire de faux espoirs... il va pas tout régler je crois...
D'ailleurs, le psychiatre que j'ai vu enfant (à 8 ans), il m'avait trouvé très bien (j'étais juste insomniaque et j'ai beau ne pas me souvenir de grand chose, j'étais une enfant anormalement stressée/angoissée, seule, etc... alors bon...). Enfin, soyons optimiste... De toute façon, j'évite de voir plus loin que le bout de mon nez sinon je vois simplement que je gâche inéluctablement ma vie! Et pourtant, je serais infirmière ou ceci ou cela que je ne serais pas plus heureuse je crois... Je ne sais pas comment me rendre heureuse, c'est peut-être ça le plus flippant?
Même déprimée, je continue dans mes questionnements... Je me fatigue moi-même! C'est comme quand j'ai une migraine, ça continue quand même alors que je suis comateuse... pffffffff!
Pour ma mère, mes parents en général, ce doit être ça, plus une inquiétude qu'autre chose, j'en sais rien... le saurais-je un jour?
Bah tu sers certainement à plein de choses! Ne serait-ce que pour ta famille/tes patients (j'insiste, d'ailleurs, t'as pas une place pour moi parmi tes patients?)... J'espère seulement que des personnes s'occupent aussi de toi! On en a tous besoin! Moi, je suis incapable d'aider qui que ce soit en ce moment alors que c'est l'essence de ma vie en principe. D'ailleurs, rien que ça, ça m'aide aussi à comprendre mon abandon d'études... aider les autres, quand on va mal, ça va bien jusqu'à un certain point...
Normalement, demain, j'aurais le nom d'un psychiatre et je téléphonerai dès que possible (demain donc).
Mais j'ai, là aussi, peur de me faire de faux espoirs... il va pas tout régler je crois...
D'ailleurs, le psychiatre que j'ai vu enfant (à 8 ans), il m'avait trouvé très bien (j'étais juste insomniaque et j'ai beau ne pas me souvenir de grand chose, j'étais une enfant anormalement stressée/angoissée, seule, etc... alors bon...). Enfin, soyons optimiste... De toute façon, j'évite de voir plus loin que le bout de mon nez sinon je vois simplement que je gâche inéluctablement ma vie! Et pourtant, je serais infirmière ou ceci ou cela que je ne serais pas plus heureuse je crois... Je ne sais pas comment me rendre heureuse, c'est peut-être ça le plus flippant?
Même déprimée, je continue dans mes questionnements... Je me fatigue moi-même! C'est comme quand j'ai une migraine, ça continue quand même alors que je suis comateuse... pffffffff!
Pour ma mère, mes parents en général, ce doit être ça, plus une inquiétude qu'autre chose, j'en sais rien... le saurais-je un jour?
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
...ça peut être de la fuite en avant!CarpeDiem a écrit:aider les autres, quand on va mal
Ben non, ça c'est ton taf!...et tout: t'es bien gourmande!! Bref il doit t'aider à y voir plus clair, à cheminer...pour avancer, sans fuite (d'un côté ou de l'autre!)CarpeDiem a écrit: il va pas tout régler je crois...
1 pas après l'autre...CarpeDiem a écrit:j'évite de voir plus loin que le bout de mon nez
Ben euh, comment dire?...On s'en fout!!!! Toi, toi, et toi...et c'est tout!...pour l'instant ça suffit bien largement!!!CarpeDiem a écrit:Pour ma mère, mes parents en général, ce doit être ça, plus une inquiétude qu'autre chose, j'en sais rien... le saurais-je un jour?
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
De la fuite en avant, comment ça? Aider les autres pour se fuire?
Peut-être... A force de m'analyser, je suis fatiguée d'essayer de comprendre, j'ai beaucoup d'hypothèses (mais jamais de réponses).
Oui, je suis "gourmande" et surtout impatiente (je vois direct les difficultés et c'est tout)... J'ai peur d'être déçue et je sais que je peux "manipuler" (et que je le fais parfois sans m'en rendre compte) le psy... et j'ai pas envie d'aller voir des horizons qui ne me serviront à rien... Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire...
En revanche, je comprends bien ce que tu veux dire!
Je vois ce que tu veux dire pour mes parents mais le poids du comportement de mes parents m'écrase... m'enfin!
Peut-être... A force de m'analyser, je suis fatiguée d'essayer de comprendre, j'ai beaucoup d'hypothèses (mais jamais de réponses).
Oui, je suis "gourmande" et surtout impatiente (je vois direct les difficultés et c'est tout)... J'ai peur d'être déçue et je sais que je peux "manipuler" (et que je le fais parfois sans m'en rendre compte) le psy... et j'ai pas envie d'aller voir des horizons qui ne me serviront à rien... Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire...
En revanche, je comprends bien ce que tu veux dire!
Je vois ce que tu veux dire pour mes parents mais le poids du comportement de mes parents m'écrase... m'enfin!
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
ParfaitementCarpeDiem a écrit:Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire...
Vi, vi: pdt ce tps, tu ne penses pas à t'occuper de toi (tu "général, comme "on")...CarpeDiem a écrit:De la fuite en avant, comment ça? Aider les autres pour se fuire?
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
Bon alors, verdict, je suis allée consulter mon médecin généraliste et il m'a envoyé consulter une psychologue! (alors que j'avais préparé "le passage psychiatre => psychologue (pour les "surdoués") auprès de ma mère qui paraissait tout à fait ok, maintenant, je vais lui dire quoi pour le changement de "psychologue" à "psychologue"? Grrrrrrrr!).
Le médecin m'a dit que je n'avais pas besoin de médication (je suis pas pour donc c'est cool mais moi, je commençais à me dire que c'était nécessaire...) d'où le "psychologue" et non le "psychiatre".
Je prendrai rdv demain avec la psy.
Sinon, j'ai pleuré ce midi auprès de mes parents parce qu'ils repartaient dans leur délire de me faire travailler, et patati et patata...
Z'ont pas compris, m'ont demandé de leurs expliquer... et je crois qu'ils n'ont encore pas compris (je leurs en veux pas, j'ai moi-même beaucoup de mal à comprendre et je vois surtout qu'ils font tout ce qu'ils peuvent pour me comprendre).
Ma mère m'a par contre demandé je ne sais combien de fois (encore): "Tu vas pas nous faire une dépression?". Je n'ai pas répondu à chaque fois... J'y suis, dans la dépression mais elle n'est pas en mesure de le supporter alors je préfère ne rien dire (car je ne me vois pas répondre "non non").
Et j'ai également pleuré chez le médecin traitant (moi qui voulais pas...). J'ai vraiment horreur de ça, c'est terrible d'être autant incontrôlable...
Bref, il m'a rappelé qu'il m'avait déjà dit de consulter avant une psy (il ne l'a pas dit méchamment) et qu'il pensait qu'effectivement, c'était nécessaire pour travailler sur mes difficultés bien qu'il n'ait, lui non plus, rien compris du vrai problème (si ce n'est que le stress me bouffe la vie).
Voilà voilà...
Pour le fait d'aider les autres et de s'oublier dans l'équation, oui, peut-être bien... Je ne sais plus trop quoi penser de moi mais pourquoi pas? D'ailleurs, en stage, je n'en pouvais plus de donner de moi (et ça a posé problème), je crois que j'ai besoin, à mon tour, qu'on s'occupe de moi.
Le médecin m'a dit que je n'avais pas besoin de médication (je suis pas pour donc c'est cool mais moi, je commençais à me dire que c'était nécessaire...) d'où le "psychologue" et non le "psychiatre".
Je prendrai rdv demain avec la psy.
Sinon, j'ai pleuré ce midi auprès de mes parents parce qu'ils repartaient dans leur délire de me faire travailler, et patati et patata...
Z'ont pas compris, m'ont demandé de leurs expliquer... et je crois qu'ils n'ont encore pas compris (je leurs en veux pas, j'ai moi-même beaucoup de mal à comprendre et je vois surtout qu'ils font tout ce qu'ils peuvent pour me comprendre).
Ma mère m'a par contre demandé je ne sais combien de fois (encore): "Tu vas pas nous faire une dépression?". Je n'ai pas répondu à chaque fois... J'y suis, dans la dépression mais elle n'est pas en mesure de le supporter alors je préfère ne rien dire (car je ne me vois pas répondre "non non").
Et j'ai également pleuré chez le médecin traitant (moi qui voulais pas...). J'ai vraiment horreur de ça, c'est terrible d'être autant incontrôlable...
Bref, il m'a rappelé qu'il m'avait déjà dit de consulter avant une psy (il ne l'a pas dit méchamment) et qu'il pensait qu'effectivement, c'était nécessaire pour travailler sur mes difficultés bien qu'il n'ait, lui non plus, rien compris du vrai problème (si ce n'est que le stress me bouffe la vie).
Voilà voilà...
Pour le fait d'aider les autres et de s'oublier dans l'équation, oui, peut-être bien... Je ne sais plus trop quoi penser de moi mais pourquoi pas? D'ailleurs, en stage, je n'en pouvais plus de donner de moi (et ça a posé problème), je crois que j'ai besoin, à mon tour, qu'on s'occupe de moi.
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
attends pr le RV!!!!
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
...ou prends-en un chez 1 -iatre: C lui le spécialiste, il devrait mieux cerner le pb...et le besoin (ou non) de médication!
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
Si j'attends, j'attends le 18 mars seulement pour joindre la psy alors pour le rdv, n'en parlons même pas!
Pour le psychiatre, je suis d'ac mais j'ai les parents au train et le médecin maintenant, j'ai franchement pas envie de lutter... j'ai pas trop envie d'expliquer le pourquoi du comment je veux voir un psychiatre... sachant qu'ils n'acceptent absolument pas que je puisse être dépressive et donc d'avoir besoin de médication...
Je pense que la psy serait peut-être à même quand même de m'orienter vers un psychiatre si besoin est non?
Pour le psychiatre, je suis d'ac mais j'ai les parents au train et le médecin maintenant, j'ai franchement pas envie de lutter... j'ai pas trop envie d'expliquer le pourquoi du comment je veux voir un psychiatre... sachant qu'ils n'acceptent absolument pas que je puisse être dépressive et donc d'avoir besoin de médication...
Je pense que la psy serait peut-être à même quand même de m'orienter vers un psychiatre si besoin est non?
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
Certes!
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
Lol! Ce n'est pas forcément la meilleure chose à faire mais je n'ai pas envie de lutter, ni de mentir... Ni de faire quoique ce soit... Alors bon, j'avoue que je capitule un peu: on me dit de voir telle psy, je vais la voir et je verrai bien. J'espère juste que je ne vais pas m'en mordre les doigts!
Enfin, en tout cas, je suis d'ac avec toi, le psychiatre, c'est mieux mais... j'ai pas envie de chercher midi à quatorze heures... j'ai déjà beaucoup beaucoup de mal à gérer la caf, le loyer à rendre, pôle emploi, etc... alors que j'ai envie de me terrer par-là (dans mon lit), de pleurer et qu'on ne m'adresse plus la parole. Du coup, malheureusement, je me laisse un peu vivre pour le reste tout en sachant que je vais essayer de trouver un subterfuge pour quand même voir la psy spécialisée en "surdouance"...
Enfin, en tout cas, je suis d'ac avec toi, le psychiatre, c'est mieux mais... j'ai pas envie de chercher midi à quatorze heures... j'ai déjà beaucoup beaucoup de mal à gérer la caf, le loyer à rendre, pôle emploi, etc... alors que j'ai envie de me terrer par-là (dans mon lit), de pleurer et qu'on ne m'adresse plus la parole. Du coup, malheureusement, je me laisse un peu vivre pour le reste tout en sachant que je vais essayer de trouver un subterfuge pour quand même voir la psy spécialisée en "surdouance"...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
ça ce sera pas si compliqué...t'inquiète!
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
De quoi qui sera pas si compliqué? Désolée, j'ai bien une idée mais avec moi, faut toujours préciser... Je suis pas chieuse pour un sou...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
le subterfuge
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
Je ne sais pas, le "subterfuge", ça consiste à mentir à mes parents et je déteste ça... parfois, ça passe très bien (je parle pour moi, moralement), parfois non...
Mais bon, pour l'instant, c'est pas d'actualité, enfin pas pour tout de suite donc bon...
Mais bon, pour l'instant, c'est pas d'actualité, enfin pas pour tout de suite donc bon...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
...pas forcément!CarpeDiem a écrit:Je ne sais pas, le "subterfuge", ça consiste à mentir à mes parents et je déteste ça... parfois, ça passe très bien (je parle pour moi, moralement), parfois non...
Bien d'accord: on en reparlera le moment venu...!CarpeDiem a écrit:Mais bon, pour l'instant, c'est pas d'actualité, enfin pas pour tout de suite donc bon...
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
Comment ça "pas forcément"? En gros, ça voudrait dire leurs expliquer le pourquoi du comment quoi? Je ne m'en sens pas capable du tout... et ça n'est pas prêt de changer, je pense.
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
NON!...+tard...!
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
Oui, d'abord, je dois "me trouver", ensuite, on verra...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
Lol... Je fais des progrès n'est-ce pas?
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
- :
- Et moi preuve de fainéantise manifeste et caractérisée!
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
En même temps, vu les pâtés que je peux te faire... Me demande bien comment tu peux avoir autant de constance dans tes réponses! Lol!
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
+1Dauphin a écrit:NON!...+tard...!
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
Je viens de me rendre compte d'une chose: je crois que je ne fais pas confiance à la psy qui va me voir (quelque soit cette personne - le rdv est pris: vendredi). J'ai peur qu'on ne voit pas clair en moi en fait, un peu comme tout le temps.
Comme ce fameux psychiatre que j'ai vu enfant et qui a dit à mes parents que tout allait bien chez moi...
Non seulement, j'ai cette sensation de n'être comprise par personne mais en plus, quand c'est un professionnel qui ne comprend rien, là, c'est le must du must!
Et puis, je vais lui dire quoi à la psy? Je sais même pas pourquoi je vais la voir, je sais plus... Je ne me sens pas bien mais je sais pas trop pourquoi au final... Que suis-je censée dire? ... C'est pas comme si je me sentais mal, là, tout de suite. Je me sens mal depuis tout le temps je crois...
Comme ce fameux psychiatre que j'ai vu enfant et qui a dit à mes parents que tout allait bien chez moi...
Non seulement, j'ai cette sensation de n'être comprise par personne mais en plus, quand c'est un professionnel qui ne comprend rien, là, c'est le must du must!
Et puis, je vais lui dire quoi à la psy? Je sais même pas pourquoi je vais la voir, je sais plus... Je ne me sens pas bien mais je sais pas trop pourquoi au final... Que suis-je censée dire? ... C'est pas comme si je me sentais mal, là, tout de suite. Je me sens mal depuis tout le temps je crois...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
La confiance, ça se travaille...mais une fois (ou 2) après: si c'est tjs pareil: change, ça ne sert à rien de s'entêter non +!
Y'en a bcp des musts du must...!
Ben que c'est ton Dr traitant qui t'envoie, que toi tu pensais être orientée vers un -iatre, et tout ton dernier paragraphe...ou ce qui te passe par la tête à ce moment-là...ou rien, et elle verra ce qu'elle te demande!!!...
Y'en a bcp des musts du must...!
Ben que c'est ton Dr traitant qui t'envoie, que toi tu pensais être orientée vers un -iatre, et tout ton dernier paragraphe...ou ce qui te passe par la tête à ce moment-là...ou rien, et elle verra ce qu'elle te demande!!!...
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
Dauphin a écrit:La confiance, ça se travaille...mais une fois (ou 2) après: si c'est tjs pareil: change, ça ne sert à rien de s'entêter non +!
Y'en a bcp des musts du must...!
You're right! Tant pis si je les jette les uns après les autres (par contre, ça va énerver mes parents qui me prennent juste pour une fille caractérielle mais bon...).
Loooooooool! Comment bien commencer la séance?! Message sous-jacent: j'ai pas demandé à vous voir mouaaa!Dauphin a écrit:Ben que c'est ton Dr traitant qui t'envoie, que toi tu pensais être orientée vers un -iatre
Mais ça peut être pas mal que je lui dise...
Au pire, je resterai silencieuse (je sais bien faire) et effectivement, elle posera des questions et puis voilà...Dauphin a écrit:et tout ton dernier paragraphe...ou ce qui te passe par la tête à ce moment-là...ou rien, et elle verra ce qu'elle te demande!!!...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
Bon, je viens quand même faire un "compte-rendu" de ce fameux rdv avec la psy.
J'y suis restée 1h (pour le premier rdv) et j'en suis sortie comme vidée (fatiguée et ayant faimmm) et bien ronchon et au bord des larmes (mais j'ai passé la séance à avoir envie de pleurer mais je me suis retenue - on ne sait trop comment).
J'ai évoqué pas mal de choses et c'est bien compliqué puisque ma mémoire me faisant cruellement défaut (ou de multiples blocages), y'a plein de choses auxquelles je ne répondais pas.
On a parlé de mon enfance et je vois d'ici-là, dans cette horreur qu'a été mon enfance ( dans laquelle je ne veux absolument pas replonger), même sans événement traumatique particulier, que je vais en baver!
J'ai "du" énoncer à haute voix que j'avais arrêté toutes mes études, qu'en gros, j'ai pas d'ami(e)s, pas de copain et que de manière générale, (c'est ce qu'elle a mis en exergue) j'arrête tout ( amitiés, relations de couple, études...)... Ah oui, elle a dit ça car, en parlant de mes parents et aussi de mes problèmes d'insomnie, je lui ai dit que mes parents (mais pas que) ne cessaient de me dire "d'arrêter de penser, d'arrêter de poser des questions".
J'ai pas trouvé ça bête sur le coup et maintenant, je trouve ça moins intéressant... Dans le sens où si j'arrête tout ça, c'est parce que ça ne me convient pas... Je pense qu'elle pense plus à un auto-sabotage inconscient, peut-être, je sais pas mais bof bof quoi...
Elle a aussi dit que les enfants étaient les symptômes de leurs parents... ou un truc dans le genre. Ce que je sais déjà...
Bref 3615 my life, on ne sait jamais, quelque fois que ça aide quelqu'un...
Moi, j'ai assez peur de retourner voir dans mon enfance et en plus, j'ai beaucoup de mal à parler de moi, ça me retourne dans tous les sens, je ne serai pas surprise de retourner dans des insomnies assez fortes...
Ah tiens, ça me fait penser qu'elle m'a parlé du fait que j'avais du mal à "lâcher prise" (difficultés d'endormissement pour les insomnies).
Bref...
J'y suis restée 1h (pour le premier rdv) et j'en suis sortie comme vidée (fatiguée et ayant faimmm) et bien ronchon et au bord des larmes (mais j'ai passé la séance à avoir envie de pleurer mais je me suis retenue - on ne sait trop comment).
J'ai évoqué pas mal de choses et c'est bien compliqué puisque ma mémoire me faisant cruellement défaut (ou de multiples blocages), y'a plein de choses auxquelles je ne répondais pas.
On a parlé de mon enfance et je vois d'ici-là, dans cette horreur qu'a été mon enfance ( dans laquelle je ne veux absolument pas replonger), même sans événement traumatique particulier, que je vais en baver!
J'ai "du" énoncer à haute voix que j'avais arrêté toutes mes études, qu'en gros, j'ai pas d'ami(e)s, pas de copain et que de manière générale, (c'est ce qu'elle a mis en exergue) j'arrête tout ( amitiés, relations de couple, études...)... Ah oui, elle a dit ça car, en parlant de mes parents et aussi de mes problèmes d'insomnie, je lui ai dit que mes parents (mais pas que) ne cessaient de me dire "d'arrêter de penser, d'arrêter de poser des questions".
J'ai pas trouvé ça bête sur le coup et maintenant, je trouve ça moins intéressant... Dans le sens où si j'arrête tout ça, c'est parce que ça ne me convient pas... Je pense qu'elle pense plus à un auto-sabotage inconscient, peut-être, je sais pas mais bof bof quoi...
Elle a aussi dit que les enfants étaient les symptômes de leurs parents... ou un truc dans le genre. Ce que je sais déjà...
Bref 3615 my life, on ne sait jamais, quelque fois que ça aide quelqu'un...
Moi, j'ai assez peur de retourner voir dans mon enfance et en plus, j'ai beaucoup de mal à parler de moi, ça me retourne dans tous les sens, je ne serai pas surprise de retourner dans des insomnies assez fortes...
Ah tiens, ça me fait penser qu'elle m'a parlé du fait que j'avais du mal à "lâcher prise" (difficultés d'endormissement pour les insomnies).
Bref...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
allez, dans 15 jours, c'est le 18!...
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
Je sais plus si je vais aller voir la psy (spé en "surdouance", quel mot horrible...).
Je me rends compte que je ne m'y reconnais pas dans les témoignages ici et là... à part le côté émotionnel et à côté de la plaque...
Et pi, je comprends jamais rien à rien... (et c'est objectif: je me le suis entendue dire un nombre incalculable de fois).
Et puis, je crois que j'ai assez mal vécu ce premier rdv avec la psy... Je sens que je vais pas en sortir indemne.
Je ne me sens absolument pas rapide ou quoi dans mon raisonnement (quasi inexistant, par ailleurs).
Bref, j'en suis à une honte indescriptible de pouvoir penser être intelligente...
La seule chose qui me me ferait balancer de ce côté est que je "souffre" d'inhibition intellectuelle ( aucun rapport cependant avec "l'intelligence" ou la rapidité) car, je me suis souvenue, dernièrement, que j'avais une très grande mémoire étant jeune et que je me demandais comment les gens faisaient pour oublier ou alors, je me disais qu'ils ne faisaient pas d'efforts... Et je voyais aussi qu'ils mémorisaient peut-être moins mais qu'ils étaient plus relax et que donc, je voulais être comme eux... ce que j'ai fini par devenir, en pire.
C'est tout!
Je ne me souviens pas avoir vécu un ennui viscéral en cours, ni de rapidité, etc...
Sinon, mon cerveau qui tournait en boucle étant plus jeune, je n'ai plus cette impression qu'il tourne en boucle, à part la nuit (et encore! Je dors beaucoup mieux). D'ailleurs, ça me rend malheureuse, penser beaucoup, c'est fatiguant mais quasi rien penser, c'est désolant...
J'en ai... marrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrre!
Je me sens juste con! Et je ne sais plus du tout qui je suis.
Vraiment, à la psy, je ne sais même plus quoi lui dire, c'est juste horrible!
Elle me pose une question et j'ai un dialogue intérieur et je finis par dire un truc du genre: "bonne question, j'en sais rien". A mon avis, elle va finir par péter un câble à force d'entendre ça!
Je me rends compte que je ne m'y reconnais pas dans les témoignages ici et là... à part le côté émotionnel et à côté de la plaque...
Et pi, je comprends jamais rien à rien... (et c'est objectif: je me le suis entendue dire un nombre incalculable de fois).
Et puis, je crois que j'ai assez mal vécu ce premier rdv avec la psy... Je sens que je vais pas en sortir indemne.
Je ne me sens absolument pas rapide ou quoi dans mon raisonnement (quasi inexistant, par ailleurs).
Bref, j'en suis à une honte indescriptible de pouvoir penser être intelligente...
La seule chose qui me me ferait balancer de ce côté est que je "souffre" d'inhibition intellectuelle ( aucun rapport cependant avec "l'intelligence" ou la rapidité) car, je me suis souvenue, dernièrement, que j'avais une très grande mémoire étant jeune et que je me demandais comment les gens faisaient pour oublier ou alors, je me disais qu'ils ne faisaient pas d'efforts... Et je voyais aussi qu'ils mémorisaient peut-être moins mais qu'ils étaient plus relax et que donc, je voulais être comme eux... ce que j'ai fini par devenir, en pire.
C'est tout!
Je ne me souviens pas avoir vécu un ennui viscéral en cours, ni de rapidité, etc...
Sinon, mon cerveau qui tournait en boucle étant plus jeune, je n'ai plus cette impression qu'il tourne en boucle, à part la nuit (et encore! Je dors beaucoup mieux). D'ailleurs, ça me rend malheureuse, penser beaucoup, c'est fatiguant mais quasi rien penser, c'est désolant...
J'en ai... marrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrre!
Je me sens juste con! Et je ne sais plus du tout qui je suis.
Vraiment, à la psy, je ne sais même plus quoi lui dire, c'est juste horrible!
Elle me pose une question et j'ai un dialogue intérieur et je finis par dire un truc du genre: "bonne question, j'en sais rien". A mon avis, elle va finir par péter un câble à force d'entendre ça!
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
PS: je sais, je suis chiante...
Me demande s'il ne faut pas que je prenne du recul vis-à-vis de tout ça...
Me demande s'il ne faut pas que je prenne du recul vis-à-vis de tout ça...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
si tu le sens!...mais pas au-delà du 18 !
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
Age : 48
Localisation : Montélimar
Re: Quo vadis?
Lol...
ça n'est même pas drôle, je me sens réellement mal...
ça n'est même pas drôle, je me sens réellement mal...
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
Ben C T pas pr être drôle...
Dauphin- Messages : 1303
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Re: Quo vadis?
Te conseille VIVEMENT de tél à la psy "spé"...
Dauphin- Messages : 1303
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Re: Quo vadis?
Au risque de passer pour une chieuse (bis) et en admettant que je franchisse le pas, je sors quoi à mes parents quant à ce rendez-vous? (ouais, je mets pas le pieds dehors sans dire où je vais) Et je vois une seconde fois la psy (que j'ai déjà vu) le 11 mars (ça me paraît peu pour pouvoir balancer que c'est une mauvaise psy ou un truc dans le genre).
C'est le parcours du combattant cette histoire de psy ou de "surdouance"...
J'ai un neveu tout jeune (un peu plus d'un mois) qui fait super éveillé et très très curieux, très vif... bref... La seule chose que j'ai trouvé le moyen de me dire en le voyant comme ça, c'est: "pitié, faites qu'il soit pas surdoué". C'est terrible de dire ça...
C'est le parcours du combattant cette histoire de psy ou de "surdouance"...
J'ai un neveu tout jeune (un peu plus d'un mois) qui fait super éveillé et très très curieux, très vif... bref... La seule chose que j'ai trouvé le moyen de me dire en le voyant comme ça, c'est: "pitié, faites qu'il soit pas surdoué". C'est terrible de dire ça...
CarpeDiem- Messages : 1182
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Re: Quo vadis?
Vas-y, le 11CarpeDiem a écrit:Au risque de passer pour une chieuse (bis) et en admettant que je franchisse le pas, je sors quoi à mes parents quant à ce rendez-vous? (ouais, je mets pas le pieds dehors sans dire où je vais) Et je vois une seconde fois la psy (que j'ai déjà vu) le 11 mars (ça me paraît peu pour pouvoir balancer que c'est une mauvaise psy ou un truc dans le genre).
Prends RV le 18...restera le temps jusqu'au RV pr une explication, qui te convienne...
Ben ouais!CarpeDiem a écrit:C'est le parcours du combattant cette histoire de psy ou de "surdouance"...
Ben ouais aussi, sauf que une femme avertie en vaut 2 (oui, je sais, ben si je devais avoir 2 cerveaux qui tournent en permanence, etc...!!! )CarpeDiem a écrit:J'ai un neveu tout jeune (un peu plus d'un mois) qui fait super éveillé et très très curieux, très vif... bref... La seule chose que j'ai trouvé le moyen de me dire en le voyant comme ça, c'est: "pitié, faites qu'il soit pas surdoué". C'est terrible de dire ça...
Dauphin- Messages : 1303
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Re: Quo vadis?
Ah bah ça, s'il se révèle surdoué, que je le sois ou non, je m'appliquerai à tout faire pour qu'il se sente un minimum entendu (" compris" me paraît beaucoup dire).
Tu m'as fait rire avec ton histoire de deux cerveaux (je n'ose pas imaginer)!
Pour la psy, oui... mais je ne vais cesser de me questionner sur ce foutu rdv. Fait ierch! Et je sais même pas ce que je vais lui raconter à elle aussi...
J'ai vraiment rien d'une surdouée au fond...
Je me suis rendue compte, quand la psy m'a demandé ce que je lisais étant plus jeune, que, je lisais des trucs de gosse (la lecture et l'écriture étant mes seuls "talents")...
Au final, j'ai l'air plutôt banal finalement... J'ai l'impression d'affabuler.
Je ne vois vraiment pas comment je vais me ramener devant la psy (spé) et lui dire (quoi?????) mes doutes (qui sont à présent minimes).
Reste que j'ai du mal socialement vu que je ne sais que raconter aux gens, vu que les banalités m'ennuient.
Et j'ai réellement l'impression de plus trop penser, d'être comme bloquée... C'est la dépression ou un truc dans le genre qui fait ça? Parce que ça m'inquiète sacrément! Je n'en ai pas parlé à la psy que je vois (j'ose pas dire la moitié de ce que je pense de toute manière)
Je vois la "surdouance" comme une souffrance quotidienne, y'a réellement des gens qui vivent "bien"? Je me pose vraiment la question... et je me demande, si je ne suis pas surdouée, comment je peux me sentir si sensible à ça... à la souffrance des surdoués...( d'une partie au moins). Peut-être en me mentant à moi-même...
Tu m'as fait rire avec ton histoire de deux cerveaux (je n'ose pas imaginer)!
Pour la psy, oui... mais je ne vais cesser de me questionner sur ce foutu rdv. Fait ierch! Et je sais même pas ce que je vais lui raconter à elle aussi...
J'ai vraiment rien d'une surdouée au fond...
Je me suis rendue compte, quand la psy m'a demandé ce que je lisais étant plus jeune, que, je lisais des trucs de gosse (la lecture et l'écriture étant mes seuls "talents")...
Au final, j'ai l'air plutôt banal finalement... J'ai l'impression d'affabuler.
Je ne vois vraiment pas comment je vais me ramener devant la psy (spé) et lui dire (quoi?????) mes doutes (qui sont à présent minimes).
Reste que j'ai du mal socialement vu que je ne sais que raconter aux gens, vu que les banalités m'ennuient.
Et j'ai réellement l'impression de plus trop penser, d'être comme bloquée... C'est la dépression ou un truc dans le genre qui fait ça? Parce que ça m'inquiète sacrément! Je n'en ai pas parlé à la psy que je vois (j'ose pas dire la moitié de ce que je pense de toute manière)
Je vois la "surdouance" comme une souffrance quotidienne, y'a réellement des gens qui vivent "bien"? Je me pose vraiment la question... et je me demande, si je ne suis pas surdouée, comment je peux me sentir si sensible à ça... à la souffrance des surdoués...( d'une partie au moins). Peut-être en me mentant à moi-même...
CarpeDiem- Messages : 1182
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Re: Quo vadis?
CarpeDiem a écrit:Je ne vois vraiment pas comment je vais me ramener devant la psy (spé) et lui dire (quoi?????) mes doutes (qui sont à présent minimes).
CarpeDiem a écrit:Reste que j'ai du mal socialement vu que je ne sais que raconter aux gens, vu que les banalités m'ennuient.
CarpeDiem a écrit:Et j'ai réellement l'impression de plus trop penser, d'être comme bloquée... C'est la dépression ou un truc dans le genre qui fait ça? Parce que ça m'inquiète sacrément! Je n'en ai pas parlé à la psy que je vois (j'ose pas dire la moitié de ce que je pense de toute manière)
CarpeDiem a écrit:Je vois la "surdouance" comme une souffrance quotidienne, y'a réellement des gens qui vivent "bien"? Je me pose vraiment la question...
CarpeDiem a écrit:et je me demande, si je ne suis pas surdouée, comment je peux me sentir si sensible à ça... à la souffrance des surdoués...( d'une partie au moins). Peut-être en me mentant à moi-même...
Par exemple!
Dauphin- Messages : 1303
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Re: Quo vadis?
Ton discours me semble bien riche, pr une psy "spé", y compris ton compte-rendu de ton 1er RV, et pas mal d'autres posts...
Elle devrait être à même de "trier"...pour éclairer au mieux ta situation...
Elle devrait être à même de "trier"...pour éclairer au mieux ta situation...
Dauphin- Messages : 1303
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Re: Quo vadis?
Je crois que je vais imprimer mes posts sur le forum et elle va se démerder avec ça!
Nan, je suis pas provoc'!
Je me pose parfois la question de " savoir or not savoir" même si j'ai toujours dit que l'on ne peut affronter quelque chose sans savoir clairement de quoi il s'agit... Enfin, je sais pas pourquoi je raconte ça, si j'avais quasi aucun doute, je crois que j'aurais déjà foncé chez la psy (quoique, y'a la peur quand même) spé.
Nan, je suis pas provoc'!
Je me pose parfois la question de " savoir or not savoir" même si j'ai toujours dit que l'on ne peut affronter quelque chose sans savoir clairement de quoi il s'agit... Enfin, je sais pas pourquoi je raconte ça, si j'avais quasi aucun doute, je crois que j'aurais déjà foncé chez la psy (quoique, y'a la peur quand même) spé.
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
Moi ce qui me fait peur, c'est que ton actuelle interprète une clinique avec une référence en moins...donc arrive à une conclusion si ce n'est fallacieuse, au moins falsifiée.
Ce qui ne fera que "t'enterrer" un peu + dans ton incompréhension...
Ce qui ne fera que "t'enterrer" un peu + dans ton incompréhension...
Dauphin- Messages : 1303
Date d'inscription : 16/11/2012
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Re: Quo vadis?
Une référence en moins, personne n'en est sûr...
Par contre, je vois bien ce que tu veux dire... mais j'y suis allée un peu sous la pression parentale et puis, perdue que j'étais, je me suis dit que c'était peut-être préférable... D'autant que je pensais être orientée vers un psychiatre... c'était vraiment la grande perdition! C'est peut-être pas plus mal au fond, car, les médocs, ça me fait peur... et les psychiatres en prescrivent quand même à tour de bras!
Par contre, je vois bien ce que tu veux dire... mais j'y suis allée un peu sous la pression parentale et puis, perdue que j'étais, je me suis dit que c'était peut-être préférable... D'autant que je pensais être orientée vers un psychiatre... c'était vraiment la grande perdition! C'est peut-être pas plus mal au fond, car, les médocs, ça me fait peur... et les psychiatres en prescrivent quand même à tour de bras!
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
CarpeDiem a écrit:Une référence en moins, personne n'en est sûr...
Ben justement!
Dauphin- Messages : 1303
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Re: Quo vadis?
Désolée mais c'était tentant!
Pour te répondre, ce qui est fait est fait... me reste plus qu'à prendre mon courage à 2 mains le 18 mars (rien n'est moins sûr, me connaissant).
J'ai oublié de dire un truc qui me paraît significatif: mes parents n'arrêtent pas de parler des personnes possiblement surdouées ( comme par hasard, en ce moment) autour de nous:
- A propos d'une fille à un couple de leurs amis qui s'ennuie en cours, a des bonnes notes.
- A propos des gens qui résolvent des rubik's cube au "pifomètre" (j'étais en train d'en faire un avec des algorithmes).
- Je pense que ma mère pense que mon neveu est... on va dire "intelligent" (c'est un bébé mais c'est pas grave...).
=> Tout ça pour dire que mes parents ont l'air de connaître au moins un minimum le sujet (enfin, avec les préjugés qui vont avec, sûrement) et ils ne semblent pas du tout m"identifier en tant que telle... Cela invite à se poser des questions non? (foutues questions à la con)
Pour te répondre, ce qui est fait est fait... me reste plus qu'à prendre mon courage à 2 mains le 18 mars (rien n'est moins sûr, me connaissant).
J'ai oublié de dire un truc qui me paraît significatif: mes parents n'arrêtent pas de parler des personnes possiblement surdouées ( comme par hasard, en ce moment) autour de nous:
- A propos d'une fille à un couple de leurs amis qui s'ennuie en cours, a des bonnes notes.
- A propos des gens qui résolvent des rubik's cube au "pifomètre" (j'étais en train d'en faire un avec des algorithmes).
- Je pense que ma mère pense que mon neveu est... on va dire "intelligent" (c'est un bébé mais c'est pas grave...).
=> Tout ça pour dire que mes parents ont l'air de connaître au moins un minimum le sujet (enfin, avec les préjugés qui vont avec, sûrement) et ils ne semblent pas du tout m"identifier en tant que telle... Cela invite à se poser des questions non? (foutues questions à la con)
CarpeDiem- Messages : 1182
Date d'inscription : 26/12/2012
Re: Quo vadis?
CarpeDiem a écrit:=> Tout ça pour dire que mes parents ont l'air de connaître au moins un minimum le sujet (enfin, avec les préjugés qui vont avec, sûrement) et ils ne semblent pas du tout m"identifier en tant que telle... Cela invite à se poser des questions non? (foutues questions à la con)
C'est quoi un minimum?
C'est quoi les préjugés?
Dauphin- Messages : 1303
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Re: Quo vadis?
Le "minimum", c'est plus dans le sens où, déjà, ils croient à l'existence des surdoués.
Les préjugés, bah, les surdoués ne sont pas forcément ceux qui résolvent des rubik's cube, ou ceux qui réussissent leurs devoirs/études... et plein d'autres choses...
Les préjugés, bah, les surdoués ne sont pas forcément ceux qui résolvent des rubik's cube, ou ceux qui réussissent leurs devoirs/études... et plein d'autres choses...
CarpeDiem- Messages : 1182
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