Le fil de Garp

Viens là toi

Les montagnes russes donnent inévitablement la nausée ...
Beaucoup de choses bougent en ce moment, un peu trop peut être, un peu trop vite aussi ... calmer le jeu, donner du temps au temps, ça va aller Garp.

Et puis la météo n'arrange rien non plus.

Encore un pour la route

Moi j'veux t'voir le 22.

Merci les filles . J'ai dormi quelques heures, ça va mieux. Je vais manger, puis je verrai si je vais bosser cet après-midi ou pas. Si j'y vais pas, comme je vois la remplaçante de mon médecin demain en plein milieu d'après-midi… ben c'est pas très nécessaire d'aller bosser demain matin, hein ? Je suis en train de m'arrêter, semble-t-il, et on va bien voir si j'arrive à poser le pied par terre avant que le vélo se casse la gueule. Pas grave, de toute façon on s'en sortira.

Coucou Garp, je pense à toi
Et contrairement aux apparences, je pense que t'es sur le bon chemin ! Courage, la lumière n'est pas loin !

Merci Bliss ! Moi aussi, je pense que j'avance, mais que de cahots sur cette route… Enfin, ça vaut mieux que de s'enfoncer tranquillement dans une impasse comme je le faisais depuis tant d'années. Bises.

Nous sommes lundi matin, une nouvelle semaine commence. Je me suis couché un peut tôt hier soir, et heureusement, parce qu'ensuite je me suis réveillé à 2 heures... et pas rendormi sauf trois quarts d'heure avant que le réveil sonne. Trois heures et demie à penser à... TOUT. Les images et les pensées défilaient dans ma tête nettement plus vite que d'habitude. Quelques minutes de répit vers 4 heures : après avoir trouvé la solution d'un problème technique (comment sortir d'un puits un caillou de 150 kilos, après l'échec de deux méthodes infructueuses hier), j'ai ressenti un petit moment de calme intérieur, qui a bien duré cinq minutes. Et puis les pensées ont recommencé à virevolter, et j'ai l'impression que ma tête n'a jamais autant tourné. La semaine va être compliquée à vivre...

Ca creuse, encore et toujours Garp !!!
Je sais à quel point il est difficile de freiner la machine quand elle est lancée, cette sensation bizarre d'écraser en même temps l'accélérateur et le frein ... attention au moteur !

Prends soin de toi

Et tu l'as sorti comment le caillou?

Salut ma belle, ça faisait longtemps ...

Esterelle a écrit:Et tu l'as sorti comment le caillou?

Dans la vie d'éveil, nous avons essayé à deux avec une grosse corde, un arbre et deux poulies, nous avons réussi à le hisser au bord du trou mais pas à lui faire passer le rebord . Puis en le tractant avec une voiture, mais il n'a pas non plus passé le rebord et la corde a cassé .

Cette nuit, j'ai réalisé qu'au lieu (accrochez-vous à la corde, hein, j'enlève l'échelle ) de faire partir la corde de l'arbre, de la faire passer dans une poulie accrochée au caillou puis dans une poulie accrochée à l'arbre, il fallait faire partir la corde du caillou, et la faire passer dans la poulie accrochée à l'arbre puis dans la poulie accrochée au caillou. Ainsi, quand le caillou arrive au rebord du trou, nous pouvons le hisser un peu au-dessus du rebord. À tester la semaine prochaine...

OK je vais suivre ça de près...ça à l'air d'être assez ardu quand même

Très "creusé" comme raisonnement Garp ;o)

N'est-ce pas ? J'ai retrouvé depuis quelques temps les rêves éveillés que je faisais étant gamin, et cette solution m'est apparue tout d'un coup, alors que je laissais mes pensées se promener librement.

Bon, là, j'en ai marre de creuser, j'ai surtout envie de dormir. Mes muscles sont endoloris, mes mains marquées par les débuts d'ampoule, et ma tête est une casserole où tout résonne péniblement. Je vais tenter de ne pas me mettre à mon blog avant d'avoir bien dormi et récupéré un peu, tant mentalement que physiquement.

Depuis mon bureau, je ne vois qu'un message vide... Je découvrirai ce soir ce que tu as posté.

Une berceuse ;o)
https://www.youtube.com/v/9fnGzDdP7AE

J'ai besoin de me changer les idées, je crois que je vais aller à Jacta Est .

Une mauvaise nuit ne m'a pas permis de récupérer de la très mauvaise nuit qui précédait. Je tousse, me mouche et rumine en continu . Un point positif, quand même : je suis si tendu, si stressé, si épuisé, que je me décide à me mettre en arrêt pour longue maladie.

Mon ex et colocataire vient de grandement m'y aider, en me disant qu'il pensait comme moi que mes problèmes pulmonaires sont psychosomatiques et que mon inconscient les redéclenchera aussi longtemps qu'il faut pour que j'accepte de m'arrêter. De la part de quelqu'un qui m'a si souvent dit que je m'écoutais trop, ça m'aide grandement dans cette décision plus difficile à prendre que je ne pensais.

Aujourd'hui, donc, je dis STOP. J'ai envie de dire, même si c'est un peu grandiloquent, que ma première vie prend fin ce matin. Et une fois les machines arrêtées et les ateliers vidés, on va pouvoir attaquer la partie sérieuse des travaux de reconstruction.

Doucement mais surement, un pas après l'autre ... on lutte et on finit par se rendre à l'évidence ;o)

Désolé que le corps te rappelle une fois encore à la dure réalité, mais c'est surement sa façon de te faire comprendre la différence entre l'essentiel et l'important ...

N'hésite pas si tu as envie de bouger et de faire quelque chose ;o) Priorité au repos et tente de calmer la tête pendant les travaux !

Prends grand soin de Toi

Tu avais besoin, de ton propre aveu, d'une "excuse valable" pour ta hiérarchie, pour t'arrêter. Le corps humain, cerveau inclus, est bien fait : tu l'as eue. ^^ C'est bien que tu en profites maintenant, et que tu ne tardes pas trop : il ne faudrait pas que la souffrance physique prenne le pas sur celle psychologique, et t'empêche de te reconstruire, là.

Souffle, repose-toi, si besoin, dors douze heures d'affilée et prends de longue baignade de soleil. Voilà.

Impression, aujourd'hui, d'être vide : la toux et la sinusite reculent un peu, juste assez pour que mon découragement soit moins lourd à porter mais pas assez pour que je me sente bien. Je flotte hors du temps, hors de mon corps, hors de ma vie. J'ai envie de pleurer et de me cacher dans mon lit, mais quand je me mets au lit j'ai envie de bouger et je me lève vite. Je n'ai pas d'énergie mais je ne tiens pas en place.

Il y a trois bonnes semaines que je ne bosse plus, ou quelque chose comme ça, mais je crois que mon corps ne s'en est pas encore rendu compte. Quand je me mets dans un bain chaud pour me détendre, je vois des tremblements parcourir mon ventre au rythme de mon cœur, comme si tous mes circuits étaient déréglés et que les influx nerveux et sanguins passaient hors de leurs réseaux normaux. Je n'ai plus de structure, je suis un amas de matière organique qui vit par habitude.

Marre.

Merci Renarde. J'ai farfouillé sur Internet, et j'essaie depuis cet après-midi le chlorure de magnésium (le manque de magnésium pourrait expliquer que mon système immunitaire soit faible, que mes sinus soient fragiles et que j'aie facilement des crampes). Je crois que l'amélioration ressentie dimanche soir se poursuit, mais c'est avec des hauts et des bas : quand je tousse trop, les contractures musculaires continuent et j'ai eu bien mal hier et avant-hier. Ce soir, ça va pas trop mal, d'autant plus que je vais voir ma psychologue. Bises.

Courage Garp ! Je pense à toi !

Blerci, Miss ! Je continue à aller mieux chaque jour, mais très très lentement. Scanner vendredi pour tenter de comprendre ce qui se passe.

Rigolo, merci !

Pour un homo de ma génération, cette copie à faux tatouages ne peut cependant pas remplacer l'original :

Mais cette machine dans ma tête
Machine sourde et tempête
Mais cette machine dans ma tête
Leitmotiv, nuit secrète…

Cette machine, écoute-la "autrement"... Ne focalise pas sur les douleurs, ou la baisse de régime, ça ce n'est que du physique après tout, même si sur le moment on s'y attache de très près.

Si ton esprit va mieux, écoute avec lui ce corps qui veut te dire ce qui lui manque. Peut-être pour commencer, un peu d'amour de ta part, envers ce corps qui te malmène, qui veut dire, mais qui n'est pas entendu, alors il crie plus fort, encore plus fort, ...


Lorsqu'il crie si fort, ou hurle, ne t'attache pas au bruit qu'il fait, à la douleur qu'il produit. Attache-toi à écouter ce qu'il dit, à comprendre pourquoi, dans la vie, dans les actes, dans les pensées, il n'est pas content. Pourquoi, il veut te dire tout cela, si fort, à sa façon.

La douleur s'évanouira ensuite. Elle est accrochée au message: décrypte-le, et la douleur messagère s'évanouira dans l'instant.

Merci, Kara-Stéphanie. C'est ce que j'essaie de faire, avec l'appui de ma psychologue. Mais il y a plusieurs messages superposés dans ce que mon corps a à me dire, et c'est long à démêler.

La raison est plus longue que l'instinct.

Résultat du scanner : ni blanc ni noir. Je n'ai rien de très grave, tumeur ou autre, mais quand même un souci pulmonaire évolutif. Ce qui me mine, c'est qu'on ne m'a pas dit que tout serait très vite rétabli, mais au contraire que ce serait un souci durable. Rien de très grave, mais c'est une vraie soirée de spleen.

Boh... pas grand'chose à dire à part
(enfin si quand même : quand les médecins "classiques" m'annoncent que j'ai un truc "à vie", en général je m'empresse d'aller chercher une solution ailleurs... Tu le sais déjà, psyche et soma sont deux jumeaux inséparables et pleins de ressources...)
Courage Garp

Merci Mogwai . Il y a des jours où ce genre de petite réponse compte beaucoup. Oui, je pense que je résoudrais bien des choses dans mon corps en faisant avancer ma tête.

Ce soir, bien sûr, quand j'ai appelé mes parents pour leur donner les résultats du scanner, j'ai eu de mauvaises nouvelles de mon père (qui a passé un scanner avant-hier). J'ai l'impression d'être relié à lui par un pantographe, en ce moment : je vis en plus "modeste", en moins grave, ce qui lui arrive. Je préfèrerais rompre ce lien malsain rapidement. Ne serait-ce que parce que j'ai l'impression de passer pour un idiot, à interpréter de façon si littérale et étymologique le mot de compassion que je souffre des mêmes symptômes que lui qui a un cancer généralisé.

é__è Effectivement, là, le lien somatique est assez clair... Tu n'as pas à assumer la douleur de ton père à sa place. Mais c'est normal que tu souffres de le voir malade. Il faut juste éviter de souffrir pour lui.

Enfin, ce que je peux en dire... Je te souhaite plein de courage et un bon rétablissement, parce que tu vas y arriver, à te rétablir. Droit dans tes pompes !

Tu nous a manqué hier soir Garp !

Merci Sapho de dire les choses aussi clairement : je n'ai pas à souffrir pour lui. Rajoutons que, quand je vais mal et que ma mère ne me parle quasiment que de ma santé plutôt que de me parler de celle de mon père, cela ne le fait pas aller mieux. Monopoliser l'attention familiale n'est pas une façon de l'aider.

Merci, Renarde. J'ai failli venir, mais j'étais un peu préoccupé par le scanner du lendemain, et je me suis rendu compte que soit j'allais ne parler que de mes soucis, soit j'allais me renfrogner dans mon coin.

Bises à vous deux.

Ce que tu reçois de ton père, prend un "chemin" que tu peux utiliser pour au contraire être toi, émetteur, et lui récepteur.

Le canal n'est pas à sens unique. Ni réservé exclusivement aux souffrances.
La douleur, permet de ressentir ce canal, ce chemin. Elle permet aussi de mieux l'attraper: c'est là où tu en es, tu as attrapé, saisi; ensuite, en deuxième phase, trouver quoi faire avec.


Quand on tient une rose dans la main, elle pique si on ne sait pas où sont les épines, comme ici c'est le cas. Examiner attentivement, chercher. Au bout des épines, se trouvent la fleur et son doux parfum.

C'est fait : je suis en arrêt pour au moins trois mois. Je vais pouvoir souffler un peu. Ha ha ! En écrivant ça, je vois le lien avec mes soucis de sinusite-bronchite. Je suis à nouveau bien essoufflé depuis ce matin, alors souffler un peu me ferait en effet du bien. J'ai RV chez l'ORL demain pour la sinusite, et chez le pneumologue bientôt pour la bronchite. Sans parler de la psychologue ce soir pour ma pauvre tête. Qui veut le pied ? Qui veut le bras ? Je vais bientôt être entièrement disséqué, chaque spécialiste s'occupant d'une partie de moi. Heureusement que j'ai une vision assez globalisante de moi-même !

Trois mois sans travail devant moi, je ne m'y suis pas encore fait. Il faut dire que j'ai plein de travail devant moi, en fait : du travail personnel pour me reconstruire et aller mieux. J'ai commencé par le tir à l'arc et l'atelier d'arts plastiques, il me reste à retourner à la piscine, à entamer des cours d'espagnol, à faire faire des travaux chez moi et à finir la salle de bains chez mon copain pour que les deux côtés de ma vie soient plus confortables, et à aller m'aérer la tête en Andalousie en novembre. Je sens que je vais être aussi débordé qu'un retraité . Et si tout va bien, quand j'aurai pris le rythme, je pourrai réintroduire peu à peu l'idée que je suis assez fort pour aller bosser pour d'autres, par exemple pour mon employeur.

Yes, que de bonnes nouvelles !


Je suis très contente pour toi Garp. La lumière au bout du tunnel n'est plus très loin !


(l'Andalousie ? Wouah le veinard ! ça fait des années que je rêve d'y aller...)


Bisous

Ouais, Bliss, moi aussi je rêve d'Andalousie depuis des années, et j'ai la chance que mon mec (que je connais depuis un an) connaisse et aime y retourner régulièrement.

Euh… sinon, j'ai un espoir de bientôt régler un vieux problème. Après des mois et des mois de toux, de crachats, de vomissements, de nez bouché, je sais enfin que je souffre de rhinite allergique. L'ORL m'a prévenu qu'il est très difficile de savoir à quoi je suis allergique. Il se trouve que j'ai une allergie connue, au latex, mais il me semblait que je ne croisais de latex que dans le milieu médical et dans le milieu sexuel. Or j'ai réalisé qu'il y a souvent du latex dans les matelas ! Revenant de quelques jours ailleurs, j'ai bien vérifié hier soir que je me sentais bien et que j'avais le nez dégagé. Ce matin, nez congestionné ! Je change de matelas aujourd'hui, en espérant voir une différence.

Bon courage dans ton enquête Garp, je connais ça ! Il faut parfois se résoudre à simplement changer de lieu de vie quand toutes les hypothèses classiques ont été écartées... (je suis systématiquement malade dans la maison que tu as vue, je ne sais toujours pas pourquoi... des moisissures dans les boiseries ? Impossible à vérifier...)

Changer de lieu de vie ? Aïe ! Faut que je change de lieu de vie à Lyon, en Ardèche ou à Bruxelles ? Parce que j'ai déjà l'impression de changer de lieu de vie une ou deux fois par semaine ! Mais bon, dans le fond, je sais qu'il faudra vraiment que j'enquête sur cette allergie. Le changement de matelas ne semble pas avoir de conséquence. Faut peut-être que je remplace ma jolie couette de plumes par une couette en synthétique . J'en ai mal d'avance pour la pauvre maman synthétique qui va voir les chasseurs abattre ses petits sous ses yeux pour me fabriquer ma couette.

Euh… sinon, je me sens presque bipolaire, aujourd'hui. J'ai un retour de bonne humeur d'une force assez louche. Je me demande si je ne vais pas aller me faire faire un piercing pour me calmer un peu. Reste à savoir où, mais j'ai quelques idées.

Haha, oui la pov' moman
Plumes, acariens, poussière, moisissures, pollens (mais c'est pas trop la saison), animaux... des pistes il y en a tant ! As-tu fais des tests pour déterminer à quoi tu es allergique en dehors du latex ? (moi j'en ai toute une collection, ça fait des jolies cloques sur les bras )

Non, on n'a pas encore cherché si j'avais d'autres allergies qu'au latex. Pour l'instant, on calme un peu la machine à coups d'antihistaminiques, c'est l'urgent.

Bon, ma trop bonne humeur s'est calmée pendant ma promenade en ville. Je suis revenu à un état à peu près normal, vaguement morose sans plus. J'ai décidé quel piercing faire, mais j'ai aussi décidé de le faire à Bruxelles donc ce sera dans un bon moment.

Reste à voir comment passer agréablement un vendredi soir seul, à 700 km de la personne avec qui j'ai envie de le passer. On va commencer par un bain, ça me fait toujours du bien au moral. Et choisir une musique à écouter pendant le bain.

Merci Mégalopin, c'est plus amusant vu comme ça !

Je me suis réveillé à deux heures, et je sentais bien mon nez mal à l'aise (cornets gonflés, pour ceux qui connaissent l'anatomie nasale). J'ai viré la couette en plumes et suis parti à la chasse au synthétique. J'en ai trouvé une belle peau, je l'ai étendue sur mon lit. Mon nez s'est à moitié calmé (la moitié droite, précisément). Je vais me remettre au lit. Si je me réveille avec les deux narines dégagées, je saurai que je suis condamné à dormir dans de la peau de synthétique pour le restant de mes jours.

Courage Garp !

Et si je peux me permettre un conseil : cesse de rationaliser et de chercher à l'extérieur ce qui est à l'intérieur de toi. Je ne parle pas de bactérie, de germes ou de pollen. Je parle d'émotions.

Quelle(s) émotion(s) tentes-tu de faire taire et d'étouffer comme on plaquerait un oreiller sur la tête d'un enfant qui veut hurler sa douleur?


Bisous

Oui Bliss, mais il faut chercher les deux en même temps, les émotions et les allergènes !

J'ai plutôt mal dormi. Je me réveille avec le nez bien pris, à nouveau.

J'ai envie de pleurer. D'autant plus que, si je me demande quelles émotions me saisissent ainsi chez moi, je crois que je vois la réponse, et elle signifie qu'il faut vendre l'appartement que je partage avec mon ex et aller habiter ailleurs. Même si j'étais convaincu que c'est nécessaire, je n'ai pas le courage de me lancer dans un tel chantier en ce moment. Et j'ai peur de la façon dont je pourrais dériver si j'habitais seul, et je ne peux pas m'installer avec mon copain puisqu'il habite loin et que mon job est ici, et de toute façon je ne veux pas habiter avec mon copain.

Garp a écrit:Oui Bliss, mais il faut chercher les deux en même temps, les émotions et les allergènes !

C'est ton avis, pas le mien, si tu te souviens de ce que je t'avais envoyé par Mp


D'ailleurs ce que tu dis de ton conflit psychique dans ton post ci-dessus, correspond exactement à ce que je t'avais envoyé dans ce Mp...

Tu es sur la bonne voie, tu as toutes les clefs en main. Reste maintenant à faire un choix : ne pas changer la situation et rester malade. Changer la situation, passer par des angoisses et des doutes, certes, mais guérir une bonne fois pour toutes.

Courage

Merde Bliss, je revenais ici te dire que, suite à ton message, j'avais annoncé à mon ex que j'avais envie de déménager. Tu m'avais donc fait avancer, et voilà que t'en a remis une couche… Putain, ça fait mal… C'est sans doute nécessaire, mais ça fait mal quand même.

Faut que je relise ton MP, j'avais négligé d'aller creuser plus loin le sujet dont tu me parlais.

T'as vraiment réussi, aujourd'hui, à taper à la fois au bon endroit et au bon moment. Je crois que je vais en baver ce weekend.

Merci de m'avoir un peu débloqué. Je t'embrasse.

Oups ! Je suis désolée que ça te fasse mal... mais c'est pour que tu sois bien après, alors ça en vaut la chandelle...


Je reste dispo par MP tout le WE si tu as besoin. Je t'embrasse