Votre vision du monde (votre vision concréte et réelle)

Tu as raison Mégalopin et je partage bien ton avis sur un certain nombr de points. seulement voilà:l'avenir de l'homme tel qu'il est aujourd'hui doit être redéfini. Et c'est MAINTENANT QU'IL FAUT AGIR!

Je crois qu'il y a des projets pour lesquels les différentes nations se sont mises ensembles. Et donc s'il devrait avoir un projet de peuplement d'autres planètes, ce sera facile de trouver ceux qui vont piloter et de définir les contributions.

Pour le reste, j'aime avoir des idées même les plus idiotes plutôt que non! Et l'homme peuplant l'univers fait partie des idées permettant la survie de l'espèces (au vue de là où ns en sommes).

C'est fuir un problème qui se reproduira autre part... On a même pas encore réussi à envoyer un homme sur Mars, et tu voudrais déjà qu'on aille sur une planète à 300000 années lumières!

On a pas la technologie pour voyager assez rapidement, l'équipage du vaisseau serait mort de vieillesse avant d'arriver, il n'aurait plus de vivre et aurait même surement perdu la tête...

De plus, comme l'a souligner Mégalopin, nos ressources, déjà pillé, et à l’œuvre de nombreux conflits qui ne cessent d'augmenter, seront pillé pour le simple fait de faire des essaies! Encore pire pour envoyer des gens dans l'univers inconnu...
Et les gens qui resterons, ça risque d'être une "jalousie" général de la part des terriens qui verront certains partir pour "un monde meilleurs"...

Je vois dans l'idée de conquérir l'univers, et par la même occasion le polluer, la meilleurs façon de diminuer la population avec l'espoir. Allé allé, on monte dans le vaisseau, et on va à la mort certaine....

Même si, par chance, on arrivait à allé sur une autre planète habitable, il y aurait de nouvelles maladies, de nouvelles vies, autant de choses que nous ne maitrisons pas!

Au lieu de chercher dans le vide, un moyen futur à un problème présent, cherchons une solution maintenant, a nos problèmes! C'est une fuite en avant si non, qui cache notre impossibilité à maitriser "notre" planète natale (je dirais la société qui y est...)! Alors qu'au lieu de fuir, il faudrait se retourner et se battre pour que nous puissions avancer sans le risque de nous prendre quelque chose dans le dos!

J'ai sourit en lisant ton post, tatoon. parce que tt ce ke tu dis est fait de réalisme et de concret. Franchement, les choses ne sont pas aussi dramatiques sur terre pour exiger à pousser la réflexion vers une migration extra-terrestre. Ill y a encore beaucoup d'espace pour tout le monde et de la nourriture suffisante. Et si ns traversons quelques difficultés du moment, c'est juste du fait de la cupidité de certains. Donc avec un petit effort, il est possible d'améliorer les conditions de vie aux populations de nos divers pays. reste à savoir si nos dirigeants sont prêts à faire l'effort qu'il faut...

Mon idée de migration ne fait que partie des milliers d'idées farfelues qui me passent par la tête chq jr. Et qd j'en ai une, j'aime en discuter et avoir des opinions enrichissantes.

Il y a 2 millions d'années, lorsque l'home erectus avaient commencé sa migration.Pourtant, il n'avait rien pour l'orienter et rien non plus pour affronter les gros animaux. Grâce à leur courage, ns sommes là!

"Il y avait un jardin qui s'appelait la Terre.
Il brillait au soleil comme un fruit défendu.
Non, ce n'était pas le paradis ni l'enfer,
Ni rien de déjà vu ou déjà entendu."

Pour ma part, je comparerais le monde à un Rubik's cube : plein de couleurs, agencées de manière chaotique, du moins en apparence, quelques règles le sous-tendant, et une position idéale... Et encore, pas forcément pour tout le monde . Certains refont le cube simplement, d'autres explorent d'autres voies (je viens de voir la création de l'Homme de Michel Ange, et la Cène de Léonard de Vinci en Rubik's cube, reproduits très fidèlement)
On est pas sur la position idéale, donc, ignorant les règles, on le tourne dans tous les sens pour essayer en vain de la trouver, soit on le casse en espérant reconstruire ensuite. Ou on cherche autre chose, encore.

Par contre, il y a assez peu de monde qui veut bien prendre le cube en main... Vu que, à ma connaissance, quasiment toutes les disciplines se complexifient au fur et à mesure qu'on les apprivoise, s'imbriquent les unes dans les autres, évoluent jours après jour à une vitesse folle... En gros, qu'on baigne dans un paradigme basé sur la théorie du chaos. A laquelle beaucoup ne comprennent plus rien.

Donc à la place, on se réfugie derrière un État dont on attend tout (Souvenez vous l'onde de choc quand Jospin avait dit "L'État ne peut pas tout"... C'est une évidence, mais il a été vivement attaqué pour ça), derrière la facilité, toujours... On s'abruti à coup d'écrans, on ne lit plus, on méprise le passé, les grands esprit d'autrefois, comme les actuels. On se réfugie derrière de grandes identités collectives : L'État, la région, le département, la ville... Et on en oublie parfois que le plus important, avant ces groupes, c'est soi... Le centre, c'est l'identité individuelle. Au moins, ça donne un semblant de protection. On fait masse pour conjurer la peur, du lendemain en particulier, dans un monde dont on ne comprend pas les mécanismes. Et on croit n'importe quelle information, pour peu que ce soit une mauvaise nouvelle.

Ce qui articule ma vision du monde, c'est qu'avant de changer notre monde, on doit se changer soi même. Changer nos cultures, les liens qui nous lient, notre environnement... En cela, je trouve très intéressant les fondations qu'a pu lever le mouvement du logiciel libre en informatique. Et ses "dérivés" plus ou moins inspirés pour l'industrie, la culture, le management... Bref, faire passer la principe de coopération, la décentralisation et l'organisation horizontale plutôt que verticale comme bases... L'économie sociale et solidaire est une bonne piste aussi, assez proche. Et le top du top, c'est cela couplé à des démarches écologiques radicales : changements dans l'urbanisation pour moins se concentrer sur des zones réduites et moins dépendre de la bagnole, logements passifs ou au moins neutres (on peut en avoir moins chers que des logements classiques...), autosuffisance énergétique, dans une démarche renouvelable... Sur le plan technologique, c'est encore utopique, n'ayant pas de moyens efficaces pour stocker l'électricité. Bref, avec des capteurs solaires, en plein jour ça va... En pleine nuit, il faudrait une source supplémentaire, ou un raccord au réseau EDF. Le reste n'est que choix personnels.
Pour les entreprises, les statuts coopératifs existent déjà... Et certains entreprises vont beaucoup plus loin en divulgant les caractéristiques complètes de leurs produits... Et ça semble marcher (ces idées, c'est encore assez récent hors informatique... Donc on manque encore un peu de recul sur les résultats)

Absaintéthique, un rubik's cube à la main, cherchant autre chose...