Test Mensa 11/12/2011 à Toulouse

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Message par remyy Sam 10 Déc 2011 - 10:26

Vu à l'instant sur la Dépêche :

Demain à 14 h 30, l'association Mensa Midi-Pyrénées organise à Toulouse une session de dépistage des personnes à haut potentiel intellectuel. Ces tests sont ouverts aux plus de 16 ans.

Albert Einstein avait un Qi de 160. Sachant que la moyenne des Français se situe à 100 et qu'on est surdoué à 135, quel est votre potentiel intellectuel ?

Pour résoudre cette équation, l'association Mensa Midi-Pyrénées organise des tests demain à Toulouse*. En Haute-Garonne, plus de 24 000 personnes sont potentiellement surdouées, mais toutes n'en ont pas conscience. « Sans faire de tests, il est difficile de savoir si on a une intelligence plus élevée que la moyenne », indique le responsable des tests. Mais des signes peuvent alerter. Un enfant précoce, par exemple, qui a de très bons résultats une année et qui s'écroule au collège a peut-être un « haut potentiel intellectuel », expression qui remplace peu à peu le mot « surdoué », jugé obsolète. L'ennui en classe est souvent un signe d'intelligence supérieure et une fois détectés, les enfants peuvent intégrer un établissement spécialisé, ou s'investir dans le sport et la musique, pour

essayer d'atténuer ce sentiment d'exclusion.
Difficultés d'intégration

Chez les adultes, les signes d'un QI élevé passent souvent par des difficultés relationnelles. « Un jeune homme passionné par les échecs, qui ne s'intéresse pas au foot ou au rugby aura quelques soucis pour s'intégrer », illustre le responsable des tests. Cette difficulté de s'intéresser aux mêmes choses est parfois ressentie comme un handicap par les surdoués et leur trajectoire sociale n'est pas forcément jalonnée de succès.

Ainsi un résultat au-dessus de 135 au test de Mensa offre le droit d'intégrer l'association. Les surdoués peuvent y « créer un lien précieux, échanger, avoir une certaine qualité d'humour », assure le représentant de Mensa.

Pour intégrer cette « oasis où on peut être soi-même », il en coûtera 40 euros et quelques neurones.

*À 14 h 30 à l'Hôtel Clocher de Rodez, 14 place Jeanne d'Arc.

Les conditions

Si vous voulez connaître votre potentiel intellectuel, il est préférable de s'inscrire (par mail : contact@mensa-mip.com), le nombre de places est limité. Il faut avoir plus de 16 ans. Le coût de la séance de test est de 40 euros (tarif réduit à 20 euros pour les moins de 25 ans, étudiants chômeurs). La séance dure 1 h 30 à 2 heures. Le succès au test ouvre la possibilité de s'inscrire à l'association Mensa (www.mensa-mip.com).

Le lien vers Mensa-mip : http://mensa-mip.org/index.php?post/2011/10/13/Prochains-tests-le-samedi-10-d%C3%A9cembre-2011-%C3%A0-14h00
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Message par meï Dim 11 Déc 2011 - 13:24

et ça choque personne les conneries de cet article?
le seuil c'est 132 pas 135. Suspect (pour l'admissibilité)
et 130 pour le surdon (voire 125 pr certains ..)
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Message par Benjamin Mer 21 Déc 2011 - 13:05

mais ces tests sont une fumisterie. je les ai faits pour m'amuser. Le résultat : largement plus que demandé pour "l'intelligence mathématique", et limite handicapé pour la compréhension de la langue française. Ce qui m'a fait franchement rire quand je pense que j'ai publié trois oeuvres littéraires, qui pour certaines sont étudiées en cours de français ^^.

Le test de compréhension : une phrase, et cinq propositions. À l'impétrant de retenir celles qui se rapprochent le plus du sens de la phrase originale... Mais la subtilité est telle que plusieurs questions collent quand on déplace la charge sémantique majeure sur tel ou tel mot... Donc, on a beau réfléchir, comme on ne sait pas si on doit appréhender la proposition pour sa valeur de maxime, l'intégrer dans un contexte particulier... On se retrouve à choisir au hasard.

Donc, je mets en doute la valeur d'une psychiatre qui ne maîtrise pas totalement la langue française et ses subtilités, opérant donc à des arbitrages subjectifs (puisqu'une langue, en tant que compromis, se fonde forcément sur une part de subjectivité).
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Message par synapse Sam 24 Déc 2011 - 5:46

..


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Message par Benjamin Sam 24 Déc 2011 - 10:09

j'ai même eu la psy au téléphone pour avoir des explications, et j'ai entendu la plus énorme bêtise de l'année. La langue française n'est en aucun cas subjective. Pourtant, j'ai toujours cru qu'une langue (surtout une langue vivante) reposait sur un consensus, celui entre le sens généralement (consensuellement) admis et la charge émotive confiée à chaque mot. Comme l'expression quasi idiomatique "réussir sa vie". Que porte cette expression ? Pour certain, réussir sa vie ce sera avoir un(e) époux(se) et des enfants, pour d'autres une belle situation professionnelle, pour d'autres encore la réalisation d'un rêve particulier, faire le tour du monde en vélo ou écrire un livre...

À partir de là, leurs phrases ouvrent sur un "royaume des possibles" tel que toutes les phrases répondent à la proposition initiale. Je l'ai invitée à relire Bolzano et j'ai déchiré mes tests : je ne rejoindrai jamais une association dont les critères d'admission sont basés sur une démarche scientifique biaisée, qui foule au pied l'essence même d'une langue à laquelle je consacre, pour ainsi dire, ma vie.

PS : tu devrais t'intéresser à Bolzano si tu ne le connais pas, il a posé les bases de la sémantique moderne et j'ai retenu de sa théorie une vérité d'une limpidité telle que je n'avais jamais fait le rapprochement. Plus un signe est en déconnexion avec l'expérience d'un individu, avec la capacité qu'on a à le relier à du vécu, plus il apporte à l'objectivité d'un raisonnement. Le chiffre mathématique est cette abstraction purement logique. Mais si je dis "bateau", ce mot se rattache à un souvenir, une émotion, il est le porteur d'une subjectivité. Qu'évoque ce mot pour toi? Ce ferry qui t'a emmené en Corse quand tu avais huit ans ? Ce pointu avec lequel ton grand-père t'emmenait pêcher ? Ce yaght de luxe aperçu à Saint-Tropez ?
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Message par Zögern Jeu 29 Déc 2011 - 5:17

Je suis surprise de ta véhémence à l'encontre de ce test de culture générale. En fait, je suis assez d'accord avec le fait que la langue française n'est pas subjective : elle est très rigoureusement codifiée et chaque mot à son sens propre et unique qui ne peut être remplacé par aucun autre sans atteindre le sens de la phrase.
J'ai du mal à saisir le compromis dont tu parles. Je pense que si compromis il y a, c'est dans l'acception du terme. Qu'entends-t-on par "table" ? Une planche soutenue par 4 pieds fixés en dessous (ce n'est pas une définition exacte, c'est pour l'exemple). Le consensus est là. Il n'est pas fixe, bien sûr, mais il peut être déterminé clairement. Les images que chacun attribuent à la "table" ne changeront pas la définition de la table.

D'ailleurs, j'ai souvent considéré le français comme une science : par exemple, le commentaire de texte n'est rien d'autre que l'analyse détaillée des interactions des mots les uns avec les autres, l'enchainement des arguments, les mailles du texte pour en comprendre la déduction logique. La construction d'une phrase, d'un mot, d'un paragraphe qui fait sens... tout est logique, et transposable en écriture mathématique (qui est un autre langage).

Evidemment, là où tout se joue, c'est dans l'usage. Le français parfait peut être considéré comme une science. Mais étant utilisé à tort et à travers par des milliers d'"amateurs" chaque jour, il est déformé, dénaturé et perd parfois complètement son sens d'origine... d'où la difficulté à en retrouver la logique.

Je pense qu'il est possible de détacher le mot (qui n'est qu'un contenant vide, une suite de signes) des souvenirs qu'il peut évoquer. De même qu'en chimie, pour étudier une substance à l'odeur particulière, tu parviendras à faire abstraction de ce qu'elle t'évoque pour ne t'intéresser qu'à ses propriétés...

Du coup je ne trouve pas ce test si aberrant, de ce point de vue là. Ce qui m'a plus dérangée, c'est qu'il implique d'avoir une bonne connaissance de la langue française, donc une culture G, pour saisir les subtilités des synonymes. De ce fait, le test ferme clairement la porte au nez de ceux qui n'auraient pas eu de (bon) professeur en la matière.

Au plaisir d'en reparler avec toi !

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Message par Benjamin Jeu 29 Déc 2011 - 9:35

C'est là que je ne peux te rejoindre. Peut-être ai-je mis, au fil des ans, de mes travaux et de mes recherches, trop de sémantique et de charge émotionnelle. Mais j'en ai longuement débattu avec la psy qui les fait passer, et qui n'a fait que me conforter dans mon analyse. Pour la seule question où elle a prétendu que je m'étais trompé, je pouvais facilement arguer mon choix et justifier sa vraisemblance. Tout dépendait du contexte. Je pensais que ces gens-là étaient à l'écoute... Mais lorsqu'on te coupe la parole sans te laisser t'exprimer, on finit forcément par avoir le dernier mot, d'autorité.

Ce que tu appelles science du langage, je le conçois comme la mort d'une langue. Une langue, par nature, par essence, est un mouvement, un souffle. Un élan. Alors, quand je lis une phrase, elle me raconte une histoire d'une richesse insoupçonnée. Un vieux mot hérité du norrois, et c'est toute l'épopée viking qui témoigne dans la langue.... L'entomologiste cloue ses papillons sur une planche de liège... Se rappelle-t-il encore de l'aisance avec laquelle, vivants, ils se déplaçaient de fleur en fleur ? Vouloir se focaliser uniquement sur la logique d'un texte, c'est disséquer la grenouille et lui coller des électrodes pour faire des expériences sur les influx nerveux de ses muscles. Une parodie de vie, loin de la grâce de ses sauts d'antan.

J'aurais tout à fait compris un échec aux deux autres tests... Je ne me suis jamais considéré comme un matheux, et pourtant j'ai frôlé le sans faute aux matrices. Mais là, je joue "à domicile", puisque j'ai consacré ma vie à la langue, à l'écriture, et que j'ai eu la chance d'une reconnaissance de la part d'auteurs, de lecteurs, de professeurs qui emploient mes textes en cours... Si j'accepte la critique, constructive, je ne peux voir balayer d'un revers de main (ou plutôt d'un "bref") ma légitimité, et celle de mon entourage, à commencer par l'éditeur qui a choisi d'assumer les risques d'édition car mon premier livre l'a touché. Tu peux expliquer à un professeur de musique au Conservatoire qu'il a consacré sa vie à une chimère, qu'il est incapable de lire une partition de musique car il ne peut les réduire à une suite de chiffres... Même s'il a composé des mélodies qui séduisent autant les autres compositeurs que les mélomanes.

Tu peux penser qu'il s'agisse d'une crise d'ego, mais ce n'est pas du tout le cas. Je ne peux simplement pas cautionner une vision de la langue purement analytique et réduite à des séquences mathématiques. Crois-tu qu'il y aurait autant de quiproquos, si dans l'absolu la langue était simplement transposable en écriture mathématique ? La langue est certainement la prolongation la plus immédiate de tout individu, elle le constitue. Sans mot à mettre sur des émotions, qu'en serait-il de la pensée ? Pourquoi l'intelligence artificielle ne parvient pas forcément à atteindre un niveau de qualité suffisant ? Car la simple intégration de paramètres objectifs chiffrés ne permet pas d'atteindre la complexité et, quelque part, l'imprévisibilité qui demeure pour moi le signe de toute intelligence.
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Message par Zögern Jeu 29 Déc 2011 - 11:58

Je comprends ton point de vue, mais ce sont deux choses différentes !

Parce que la beauté du papillon est si pure et si forte, cela ne signifie pas qu'il ne faille pas l'étudier et être capable de connaitre tout de lui. Il y a ceux qui contemplent les papillons dans la nature, ceux qui les collectionnent, ceux qui étudient ses interactions sociales... Ce sont des "usages" (je n'aime pas trop le terme, car on parle malgré tout d'un être vivant... jusqu'à ce qu'il soit épinglé du moins !) différents du papillon. Celui qui l'étudie dans son laboratoire est certainement encore capable de s'émerveiller sur le spectacle envoutant de deux spécimens virevoltant dans un pré. Mais la dissection est essentielle, car elle permet d'apprécier avec encore plus de force la beauté et le mystère de la nature. Tu prends l'exemple de la musique : je suis d'accord. Mais n'importe quel musicien a étudié la théorie musicale justement... Ce qui n’ôte rien à la qualité émotionnelle de leur musique, au contraire !

Je ne remets pas en cause le "langage émotionnel" (c'est un raccourci que je fais là) dont tu parles. Pour avoir travaillé à de nombreuses reprises justement en maison d'édition, je suis tout aussi bien placée pour reconnaitre l'importance de la langue et la force des images qu'elle véhicule. Mais c'est une approche sensorielle particulière, qui exige une connaissance et un usage spécifique du langage. Et qui, je crois, ne sont pas accessible à tous. D'ailleurs, les best-sellers ne sont pas de ce niveau : ils touchent bien plus par le message qu'ils véhiculent que par les mots qu'ils emploient...

Mais je ne pense pas que le test aborde la langue de cette façon : je pense qu'il a justement pour but d'en faire momentanément une science et de voir si nous arrivons à en maitriser la logique, exactement comme pour les deux autres épreuves. D'ailleurs, le fait que tu aies réussi dans les trois tests montre que ce n'est pas si absurde... (C'est drôle, moi aussi je n'ai fait qu'une erreur sur ce test.)

Je pense que le quiproquo est lié au "mauvais" usage de la langue. (En fait, ce sont plutôt les raccourcis qui mènent au quiproquo... on ne dit pas tout en pensant faire passer le message tout de même). Ou au fait que les interlocuteurs se placent justement sur différents niveaux. Peut-être pas, il faudrait voir : il y a surement de nombreuses études qui ont été écrites sur le sujet !

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Message par Benjamin Jeu 29 Déc 2011 - 13:00

Pour recentrer le débat, je continue à affirmer que les tests "d'intelligence verbale" de la MENSA sont approximatifs et erronés. On nous demande de choisir entre cinq phrases les deux qui se rapprochent le plus. Mais, ce qui se voulait subtilité à l'origine peut vite glisser vers la confusion pour qui analyse trop la langue. J'ai l'impression que ce test ne peut-être réussi que par une certaine partie de la population...

Pour me faire comprendre je vais utiliser une métaphore économique : Laffer, un économiste, a établi une courbe permettant de corréler les rentrées fiscales et le taux d'imposition. Et il détermine qu'il y a un optimum : après, l'augmentation des impôts ne ferait que réduire les rentrées, par la mise en oeuvre de solutions d'évitement (travail au noir, etc...). Pour les tests d'intelligence verbale de la MENSA, il en va de même. Certains ne comprendront pas le sens profond des phrases : ils répondront au hasard. D'autres auront un jugement suffisamment fin pour trouver deux phrases qui semblent un (tout petit) peu plus se rapprocher du sens de la principale : ils "réussiront"

Et puis d'autres trouveront des passerelles entre les différentes phrases et l'affirmation de départ. Trois, voire quatre phrases auront un rapport direct avec la principale, un rapport qui est justifiable, qui peut s'argumenter. Eux ne pourront que "rater" le test car ils butent sur ses limites et ses approximations (ses, et non leurs). Et c'est dommage, quand un débat constructif permettrait d'intégrer ces gens-là dans les résultats, plutôt que de le rejeter de l'autre côté, avec ceux qui n'ont pas assez compris. Un abîme les sépare alors de ceux qui "n'ont que trop bien" compris, et le résultat, ce ratio de réponses justes sur les réponses erronées, ne signifie plus rien.

Par exemple, on trouve l'affirmation suivante dont je viens de me rappeler en fouillant ma mémoire :

« Quand on sent qu'on n'a pas de quoi se faire estimer de quelqu'un, on est bien près de le haïr. »

Cette affirmation ne serait pas du tout proche de la phrase : "Il est facile de haïr ceux qu'on ne comprend pas", dixit la "psy" de MENSA.

Et pourtant... Sentir dénote une émotion subtile, plus proche de l'intuition que du raisonnement. Or, pourquoi le hait-on, cet individu de la première phrase ? Parce qu'il nous donne l'impression de ne pas nous estimer, ou parce qu'on ne comprend pas pourquoi il pourrait ne pas nous estimer ? Et si on ne le comprend pas... On peut facilement être amené à le haïr. Raisonnement logique, qui ne correspond pas à celui des concepteurs du test...

donc, « Quand on sent qu'on n'a pas de quoi se faire estimer de quelqu'un, on est bien près de le haïr. » peut être proche de "Il est facile de haïr ceux qu'on ne comprend pas", l'absence de compréhension reposant sur cette notion de mésestime.

On peut alors le haïr facilement. Et pourtant, mon choix est dans ce cas soi-disant "aberrant".

Quelqu'un, ceux... L'accessoirisation de l'individu par ce quelqu'un peut renvoyer au sens général de "ceux".
Benjamin
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