Le livre qui vous a le plus aidé

oups

Il y en a tellement...

- Traité du désespoir, de Kierkegaard. A chaque crise, il m'a rappelé que c'était une chance...
- Les livres de Martin Page (et notamment La libellule de ses huit ans, et La disparition de Paris et sa renaissance en Afrique, qui m'ont beaucoup touchés). Quand on lit du Martin Page, on se sent chez soi.
- Ella l'ensorcelée, enfin, qui est l'un des rares bouquins (jeunesse) que je ne me lasserai jamais de relire. Il me permet de m'évader comme rien d'autre ! Ah si, tous les Roald Dahl (Mon oncle Oswald notamment). La part de rêve qui me permet de vivre.

Mais tous les livres m'aident, car j'ai tout appris grâce à eux, j'y ai trouvé mes meilleurs amis, mes plus belles émotions, de grandes colères et de l'ennui... La lecture, c'est ma (/la ?) vie !

"Le livre du voyage" Bernard Werber.

Peut-être en partie parce que j'y ai trouvé ce que j'y cherchais et que j'en attendais beaucoup à l'époque où je l'ai lu.
Je le conseille quand même.

Le bottin
j ai calé moult meubles avec , une fois j ai fait taire une blonde qui chantait faux

, j en ai balancé plusieurs sur des navalés ... bref un super ouvrage

Zögern a écrit:Quand on lit du Martin Page, on se sent chez soi.

J'aime beaucoup ta phrase! C'est le sentiment que devrait transmettre la littérature.

La Bible et Les frères corse

"L’irrévérence de l'éveil" de Stephen jourdain (éd du relié)

l'expérience spirituelle qui m'a fait dire qu'il y a une porte de sortie

les miens ^^ nan écrire des histoires avec les gens, ça a été les plus constructives et intéressantes je trouve

sinon ado ceux là :
- les contes de la folie ordinaire de bukowski
- enquête sur les savoirs indigènes par sylvie crossman et jp barou
- mes démons d'edgar morin
- l'intégrale de Tolkien aussi, particulièrement un petit livre dont je n'ai plus le nom sur sa vision du conte

et les 4 parce qu'ils me donnaient vraiment l'impression de me découvrir, de trouver des clés personnelles et sociales

"lettres à un jeune poète" de Rilke

il m'avais laissé un peu froid celui là, y vole pas bien haut et non loin de la complaisance j'ai trouvé

"Le livre tibétain de la vie et de la mort" de Sogyal Rinpoché

yep j'avais bien aimé aussi, je découvrais leur approche des choses à l'époque

"Le Manuel Du Guerrier De La Lumière" de Paolo Coelho

ah tiens j'ai pas lu celui là, j'avais beaucoup aimé l'alchimiste, en revanche l'auteur me fait vomir de par son arrogance :/

"le sable et l'écume" de Khalil Gibran

je note :d


Sinon en ce moment celui qui me trouble et m'amuse le plus est l'histoire de ma vie de giacomo casanova, j'ai l'impression de me lire c'est complètement fou, pensée méthode philosophie de vie valeurs écrits tout correspond c'est la même, à quelques menus détails près, mais sinon c'est exactement la même

Alain Damasio:
- La zone du dehors
- La horde du contrevent.

Son verbe, son rythme, son engagement ...

La conjuration des imbéciles.

Un livre fait pour les zèbres (par un zèbre?)

What the bleep do we know

J'ai adoré leur manière de mélanger Spiritualité et Quantique

Veronika décide de mourir de Paulo Coelo pour réapprendre à vivre et apprécier chaque jour comme un cadeau

L' Alchimiste pour ne jamais abandonner ses rêves!!!

La trilogie des fourmis et Les Thanatonautes de Werber pour des réflexions sur l' agnosticisme, la place de l' homme sur terre, la mort, les rapports humains...

Le gai savoir, Nietzsche.

A un moment j'ai posé le bouquin et je me suis dit : "Ah! Je ne suis pas seul au monde!"

"L'inconsolable", d'Anne GODARD. Pourquoi ? parce que c'est un livre écris à la deuxième personne du singulier très très touchant et très très triste (l'histoire d'une mère qui à perdu son fils et qui vit dans le seul souvenir de ce dernier) et qu'il a su satisfaire mon hypersensibilité (je l'ai lu à 11 ans), il était intense et j'ai pu y déverser mon surplus d'émotion et me sentir soulagée par la suite.

Croire à l'Amour du Père Michel d'Elbée
La pesanteur et la grâce, de Simone Weil

et JSF bien sur.

"Se libérer du connu" Krishnamurti.
Une première fois à 17 ans, lecture très difficile pour moi, pas le niveau, une deuxième fois à 25 ans (première dépression), une troisième fois à 37 ans, (deuxième dépression), une quatrième fois à 42 ans (cinquième hernie discale). Là, il me semble avoir compris, mais plus important que tout, avoir enfin réussi à mettre autant que possible en application.

"Le deuxieme sexe" de Simone de Beauvoir, que je lisais en cachette de mes parents vers 14/15 ans et qui, même si certaines choses ont pris un coup de vieux, m'a permis de mettre des mots sur certains de mes ressentis de femme, de mes envies et de mon refus du determinisme imposé par certains.
Mais ça, c'est si je ne devais en citer qu'un, parce qu'ils sont nombreux, ces bouquins qui m'ont aidés à avancer, dans la vie (tiens je citerais aussi les recueils de poésie d'Eluard, parce que ses mots me sont toujours allés droit à l'âme).

Se libérer du connu. J'adire Krishnamurti. Mais je n'ai toujours pas compris. Je ne désespère pas de comprendre un jour.

quarante deux a écrit:Se libérer du connu. J'adire Krishnamurti. Mais je n'ai toujours pas compris. Je ne désespère pas de comprendre un jour.

Je relis "Lettres aux écoles" depuis quelques jours. Si seulement les technocrates de l'Education nationale pouvaient y jeter un oeil un jour...

Connais pas. Si seulement les technocrates de l'école pouvaient s'intéresser aux enfants déjà, ce serait pas mal.

quarante deux a écrit:Connais pas. Si seulement les technocrates de l'école pouvaient s'intéresser aux enfants déjà, ce serait pas mal.

Ils ne s'intéressent qu'aux élèves et uniquement dans le cadre restreint de leurs intentions. C'est à dire celles de l'économie. Ils sont incapables de faire la distinction entre Nature (enfant) et fonction (élève).

Je sais, je suis dans l'éducation nationale. (faut que j'en sorte, viiiiiiiiite !)

"Le karma yoga ou l’ action dans la vie selon la sagesse hindoue"
par C. Kerneiz

quarante deux a écrit:Je sais, je suis dans l'éducation nationale. (faut que j'en sorte, viiiiiiiiite !)

Je cherche une école privée, type Montessori, Steiner ou Freinet...Bon courage...

Pour les futurs profs en formation, c'est gentil de nous donner courage

Elmoon a écrit:Pour les futurs profs en formation, c'est gentil de nous donner courage

Oups... Si on enlève l'Education nationale, tout va très bien Je ne regrette rien de mon choix initial en tout cas; Et puis c'est passionnant aussi de vivre comme le ver dans le fruit...Avec parfois l'impression que je suis le fruit et l'Education nationale le ver...

Désolée Elmoon. Faut juste être capable de s'adapter à la médiocrité des hauts penseurs (moi j'y arrive pas) et j'aimerais bien aussi faire du Freinet ou du montessori. J'ai essayé cette année avec ma classe, je me suis fait jetée par les parents (et mes charmants collègues qui m'en ont fichu plein la tronche) qui comprenaient pas que les gamins fassent pas tous la même chose en même temps. En plus je supporte pas le bruit et j'ai aucune autorité, ça n'aide pas dans ce boulot, il faut le dire.

Je crois qu'il faudrait créer un topic spécial prof!
Même s'il est vrai que les profs se plaignent quoi, 23h/24 (si c'est vrai!) et qu'en salle des profs, ils me sortent par les yeux et les trous de nez, j'aimerais bien entendre la version des profs zèbres pr voir si ça diffère des profs "typiques" et de leur complainte habituelle. Car j'ai déjà remarqué lors de mes stages que j'allais être bien incapable de faire beaucoup de choses là où les collègues n'ont pas de problème... Et vice-versa. Je me sens déjà à l'envers avant d'avoir commencer... Alors quoi? Faut juste trouver la bonne école et les bons collègues?

(dsl si ça fait du HS au topic initial, c'est pour ça que je voulais en faire un autre car je sais qu'il y a beaucoup de profs par ici!)

Je viens de remonter un ancien topic à ce sujet

''Leçons de vie'' d'Elisabeth Kubler-Ross

les Alices Mller et "Parents Toxiques " de Susan Forward.
(prévoir un reconfort après lecture)

C'est un livre qui m'a fait "participer" au forum : inscrite depuis quelque temps, j'arrivais pas à entrer dans le trip (j'ai toujours eu du mal à parler à tout le monde en même temps).

Le livre de l'intranquillité de Pessoa

Il m'a d'abord déprimée, mais, c'était bizarre, c'était comme si je ne pouvais plus m'en dépêtrer. Alors j'en ai lu d'autres et j'ai découvert que ce type était totalement protéiforme, inconstant, hypersensible, très observateur, perfectionniste, lourdingue, sombre et surtout, surtout, qu'il avait "choisi" de ne vivre qu'à travers ses "sensations", ce qu'il appelle aussi ses rêves. Et moi, j'étais en train de tuer les miens...

Chaque texte (oui, c'est assez "digeste"et il se voulait "poète") commence par une considération relativement anecdotique (couleur du ciel, par exemple) et part en vrille pour aboutir à une philosophie brumeuse ultra JUSTE (je trouve). Et accessoirement très poétique (sans gnagnantise). Enfin, ptet que vous connaissez.

En attendant, je me suis trouvée des points communs sérieux (de type introversion brumeuse, hypersensorialité, pensée "transversale") avec ce type mort en 1935 et, en les examinant d'un peu plus près, ben, j'ai décidé de venir discuter ici. Ca m'a donnée une sorte de nouvelle "force".

Sinon, La Crucifixion en Rose d'Henry Miller et les deux tropiques
Ma bible à moi depuis fort longtemps, pour l'énergie vitale, la profusion, la densité, le courage (grossiereté comprise), la poésie à l'envers aussi, l'humour et l'exemple littéraire.

mon premier livre de cuisine,
j'étais si jeune et à part les nouilles au beurre .....
grâce à ce bouquin j'ai mis les petits plats dans les grands pour mon amoureux

Vivre, c'est faire du crochet avec les intentions des autres.

C'est la première phrase qui me vient à l'esprit quand je lis :

Ultracocotte a écrit: Le livre de l'intranquillité de Pessoa

Il m'a d'abord déprimée, mais, c'était bizarre, c'était comme si je ne pouvais plus m'en dépêtrer. Alors j'en ai lu d'autres et j'ai découvert que ce type était totalement protéiforme, inconstant, hypersensible, très observateur, perfectionniste, lourdingue, sombre et surtout, surtout, qu'il avait "choisi" de ne vivre qu'à travers ses "sensations", ce qu'il appelle aussi ses rêves. Et moi, j'étais en train de tuer les miens...

Puis la machine se met en marche :

Je comprends parfaitement les femmes qui font de la broderie par chagrin, et celles qui font du crochet parce que la vie existe. Ma vieille tante faisait des patiences pendant l'infini des soirées. Ces confessions de mes sensations, ce sont mes patiences à moi. Je ne les interprète pas, comme quelqu'un qui tirerait les cartes pour connaître l'avenir. Je ne les ausculte pas, parce que, dans les jeux de patience, les cartes, à proprement parler, n'ont aucune valeur. Je me déroule comme un écheveau multicolore, ou bien je me fais à moi-même de ces jeux de ficelle que les enfants tissent, en figures compliquées, sur leurs doigts écartés, et qu'ils se passent de main en main. Je prends soin seulement que le pouce ne lâche pas le brin qui lui revient. Puis je retourne mes mains, et c'est une nouvelle figure qui apparaît. Et je recommence.

Vivre, c'est faire du crochet avec les intentions des autres. Toutefois, tandis que le crochet avance, notre pensée reste libre, et tous les princes charmants peuvent se promener dans leurs parcs enchantés, entre deux passages de l'aiguille d'ivoire au bout crochu.

Merci pour les citations, jmd !

J'avoue que la métaphore du crochet, c'est pas ce qui m'a le plus touchée (peut-être à cause de l'estampille "mémère"), mais quand même, c'est une bonne illustration de la justesse d'analyse du bonhomme. Et de ses facultés poétiques.

Et puis surtout, ce qui m'a causé, c'est cette epèce de "mise en avant" sans concession de sa partie brumeuse en tant que partie la plus humaine.

L'accent sur l'hypersensorialité, l'hypersensibilité et le plaisir créatif que ça peut procurer, finalement, si on choisit de les reconnaître. Et d'en faire sa propre grille de lecture du monde, sans se laisser dénaturer par le pragmatisme court alentour.

J'ai toujours essayé de cacher mon émotivité, j'ai maudit cette hyperconnexion au monde/à mon intérieur. Ben, maintenant, je commence à comprendre qu'en fait, c'est une chance et une richesse ! Question de références, de regard (comme dirait North NAT) et de courage

Ultracocotte a écrit:J'ai toujours essayé de cacher mon émotivité, j'ai maudit cette hyperconnexion au monde/à mon intérieur. Ben, maintenant, je commence à comprendre qu'en fait, c'est une chance et une richesse !

Je suis tout à fait d'accord avec toi : toute vie, toute créativité, toute connexion au monde vient de là !

"Le drame de l'enfant doué" d'Alice Miller

"la nouvelle grille" de Henri Laborit (et les autres)
biochimie appliquée aux émotions, stress et conditionnement
"Le serpent cosmique" de jérémy Narby
anthropologie des chamanismes -de la balle- même si il est controversé ...

"L'antechrist" et "Ainsi parlait Zaratoustra", de Nietszch.
"Manuel du guerrier de la Lumière", de Paolo Coelho
1984 (d'Orwell)
Fahrenheit 451 (de Ray Bradbury, paix à son âme)
La Bible
Le Liber Al (de Crowley)
Psychonaut (de Timothy Leary)
Le livre des ombres, de Gérald Gardner
Neuro-Linguistic Programming : The Study of the Structure of Subjective Experience (ouvrage collectif, 4 auteurs, dont les principaux sont John Grinder et Richard Bandler)
Illuminatus ! (de Robert Anton Wilson)
Les androïdes rèvent-ils de moutons électriques ? (de Philip K. Dick)
De manière générale, beaucoup de livres liés à des courants spirituels, intellectuels, artistiques... Qui ne sont pas mis au premier plan... Ils me permettent de me rappeler qu'il y a toujours plusieurs réalités dans la Réalité, plusieurs univers dans l'Univers... Et aucune Vérité qui ne se caractérise par sa subjectivité.

"Ma Vie" de C.G. Jung.

Pour moi c'est l'élégance du hérisson qui m'a beaucoup touché...
Mais il y a tant de beaux livres

Si "L'adulte doué. Comment faire simple quand on est compliqué" de Monique de Kermadec mis un nom sur ce que je ressentais et m'a permis de franchir de nombreuses étapes en quelques jours, j'ai trouvé en Pierre Bottero (un auteur "jeunesse" dont les mots m'ont transpercés) le guide de mes premiers pas sur ma Voie.

Particulièrement la trilogie du Pacte des Marchombres et Les Ames Croisées.
Depuis, certains passages me reviennent en tête spontanément. L'un d'eux m'a fait comprendre à quel point on m'a imposé une vision du monde rigide, et combien les possibles étaient nombreux :
"Il y a deux réponses à cette question, comme à toutes les questions. Celle du savant et celle du poète. Laquelle veux-tu entendre en premier ?"

J'essaie de l'appliquer à toutes les questions que je me pose. J'ai parfois du mal avec celle du poète. Mais c'est souvent la plus belle, alors je persiste.

Siddharta, Hermann Hesse. (et puis d'autres)

Celui qui m'a le plus aidée, il s'agit du livre intitulé "mars et vénus refont leur vie", de Gray, ce n'est pas à cause du contenu mais de la manière d'aborder la psychologie et de certains exercices qui sot dans ce livre, notamment l'exercice du mieux être, qui permet de travailler sur ses émotions.

Al quran el karim

"Kilometre de chance" de Rolf Magener, (lu il y a plus de 30 ans (!), je ne sais plus si je l’apprécierai aujourd'hui) parce qu'il m'a démontré que quand tout paraît foutu...et bien ce n'est pas le cas car "là ou il y a une volonté, il y a un chemin"....et gamin ça m'a boosté !
"L'echelle de Jacob" de Gustave Thibon avec ma citation fétiche:
"Donnez peu à un être. Il trouvera que c'est trop. Mettez-vous à lui donner beaucoup : il trouvera que ce n'est pas assez. Ainsi s'expliquent la naissance et la mort de toutes les affections. L'amour commence par l'éblouissement d'une âme qui n'attendait rien et se clôt sur la déception d'un moi qui exige tout. "

.

Variations Sauvages d'Hélène grimaud , un parcours musical bouleversant et écorché qui nous laisse découvrir une personne qui aurait bien sa place ici ...
Bien plus qu'une autobiographie , une porte entrouverte sur la transcendance . Une pépite à conserver à la fraicheur d'une banque suisse ^^

Vvre imparfait de Placide Gaboury

(malheureusement épuisé je crois)

"On aura confondu l'absence de défaut et de faiblesse avec le fait d'être pleinement soi-même, pleinement habité dans son ombre comme dans sa lumière, pleinement présent à ce que l'on est depuis sa boue jusqu'à sa fleur. (...)
On exige d'être supérieur alors qu'il s'agirait d'être simplement accordé, on se voudrait arrivé alors qu'il s'agit simplement de cheminer. Être accordé à ses capacités, à son rôle, à son talent, à sa forme de créativité, et habiter celle-ci jusqu'à ses tréfonds, sans rien mépriser, sans rien laisser tomber, en ce faisant un ami de tout ce qui menace au fond de nous. "

Pour l'instant, le livre qui m'a le plus aidé est L'Art du Bonheur écrit par le Dalaï Lama et Howard Cutler (psychiatre américain).

Il ne propose pas de solution miracle pour être heureux mais explique que c'est un long apprentissage dont le cœur est la compassion, la patience et la tolérance.
Il faut s'entraîner à voir les choses sous des angles nouveaux pour, par exemple, trouver du positif dans des situations qui nous paraissent négatives.
Selon le Dalaï Lama, l'honnêteté envers soi et les autres, sur ce qu'on est ou non capable de faire, sur ses motivations, permet aussi d'avoir plus confiance en soi.

En tout cas, ce livre propose de nombreuses pistes et il vaut la peine d'être lu ! Je vais le garder avec moi...

"Je pense trop- comment canaliser ce mental envahissant" de Christel Petitcollin
de vraies pistes et une approche parlante et très proche de ce que je ressens(enfin), tout le contraire des livres recommandés généralement que je trouve assez froids au final.^^