non, rien

Cyrano, je vais sortir le point Ortho si t'es pas sage (gracieusement prêté par Pola)

(quelle polissonne cette Pola)

et bien non, justement, moi je trouve qu'il faut arrêter de lisser les erreurs, faire croire au monde de Disney

même les meilleurs peuvent se tromper, et pas qu'au golf

et c'est bien parce qu'on sait qu'on le sait, qu'il est important de savoir qu'on le sait

quant à la bienveillance, je dirais : "d'accord, mais franchement je ne pouvais pas savoir qu'on pouvait être traumatisé par les tiroirs, si j'avais su je n'aurais pas parlé de tiroirs"

c'était donc un peu n'importe quoi avant de se coucher, bonne nuit

'Nuit

Tu as raison, on ne range pas les serviettes et les torchons dans le même tiroir, sinon où va-t-on, c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres !

P'tain tu me fous une de ces pressions, je vais finir par faire des fautes, tu es cruel !

faut pas confondre les erreurs et les fautes.

une erreur c'est quand on est un peu con et qu'on (donc) fait pas exprès, une faute c'est quand on sait

enfin, plus ça va, plus je sens que je deviens maladroit,

c'est surement que je dois arriver à m'en battre de plus en plus facilement les couilles

au figuré, au propre, c'est privé

j'ai de ces envies de fauter...

gentiment

Avec bienveillance tu veux dire ?

Demande à David un abricot ?

je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je vous battrai pour que vous ne le disiez pas.

avec bienveillance

Si tu donnes un poisson à un homme, il mangera un jour. Si tu lui apprends à pêcher, il mangera toujours. Làhaut T'sais

ça c'est de la bienveillance, mais non, ça veut du poisson, ça veut pas apprendre à pêcher !

Tu fournis l’appât ?

L'asticot tu veux dire ?

Tout est dit

Parfois je me dis qu'on sous estime l'effet de meute.

Comme je comprends pas grand chose aux théories, je préfère les images, j'imagine la hyène blessée, qui, soit crève dans son coin, soit se fait dévorer par ses congénères, à de rares exceptions près.

Quand on se pose en victime, on induit malgré soi cet effet de meute.

De toute façon, montrer sa souffrance c'est faire du mal à ceux qu'on aime, et du plaisir à ceux qui ne nous aiment pas.

On peut difficilement parler d'empathie quand on n'a pas connu la chose, sinon c'est de la pitié.

Tous les conseils ne vaudront jamais une mauvaise expérience, malheureusement.

Ah, oui, au fait, moi je veux rester sur ZC, j'aime bien, un peu trop de profs, mais j'aime bien.

C'est dommage que ne s'expriment que ceux qui le font, car je suis certain que pas mal se retiennent, se cherchent encore ou n'osent pas, n'y voient pas d'intérêt.

Pourtant parfois, souvent, écrire ça permet d'autres possibles, savoir qu'on peut être lu, ou pas, figer l'instant, une pensée qui fuit, la soumettre, au vent.

Considérer dans l'arbre une branche plus solide, d'autres, y grimper, en voir d'autres.

Bon après, y'en a qui confondent prendre de la hauteur et regarder de haut, mais c'est un autre problème.

Je savais pas quoi répondre, c'est tellement évident.

reste qu'à partir d'un certain niveau de conscience, et bien que cela soit possible avant sans savoir pourquoi, ni dans quelles limites,

je pense qu'il faut s'en battre les gonades, la désinvolture, comme on dit au pays du "ils m'auront pas", sous entendu "ces salauds"

la bouche

c'est là, ici, j'avais pas fait gaffe

on a dit, les gonades



et j'ai envie de dire: "demain c'est dur, alors ta gueule, ou fais moi rire, ou pleurer"

un c'est pas si thaï, despacito

J'ai rechigné avec les maths, parce que je n'aimais pas les faits établis, et que je suis un sacré fainéant

Je reconnais que les bases, c'est important, comme le latin, même si on s'y perd, c'est important les guides, c'est essentiel

je ne sais pas si on peut y travailler une saine critique, autre que systématique

une critique éclairée devrait certainement s'affranchir de tout calcul

je me dis que la réflexion n'est pas "juste" si elle n'est pas partagée

Cela m'arrange, mais si j'avais fait psycho, ou socio, ce serait un peu comme si j'avais appris les échecs, la guitare, la peinture, j'éviterais les lieux communs, s'il le faut vraiment,



so long

on fera pas mieux

J'en ai marre de rester à Toulouse, j'ai envie d'aller de Bayonne à Menton.

Une péniche ce doit être bien sonore. Et c'est pas fait.

Je recrute dorénavant.

On est des zèbres ou pas?

Le zèbre il a la gonade sauvage, c'est ça la légère différence.

Point de médiocrité, sauf nécessité.

Vulgarité, entrée aux confins de tes intestins.

Ô vers

Départ à la fonte des neiges.

et ta qu'on yé

on verra si demain le marchant passe

au printemps on voit si on monte un camp de zèbres, selon

Du foin, il faut du fouin.

ceci est un test de signature

du fuoin

le fion dans le foin

et pas l'inverse

Survivre,

c'est idiot,

on devrait dire : "souvivre"

preuve que déjà il y a une arnaque, impossible de le dire, j'aimerais vivre un peu au dessus, pas seulement vivre, rester en vie, non, faire autre chose, Sur Vivre.

je ne veux pas souvivre.

déjà je vis, ok, c'est bien, c'est magnifique, surtout que je préfère alcooliste à autiste, je suis tellement jeune pour un vieux

surtout qu'a ce rythme là, je ne me donne pas quinze ans, pas que je fasse du sport, mais mon coeur est sollicité, assez, suffisamment

on pourrait chier de l'amour qu'on ferait pas autrement, être malheureux c'est être à contre-temps, sauf la mine, cette putain de mine, pas d'amour, que de la haine, je ne veux même pas la connaitre,

je sais qu'on se fait des potes dans la merde, de vrais, mais je rechigne, c'est mon coté chochotte

je ne vois plus l'intérêt de charbonner pour être tranquille, je me demande s'il ne faut pas plutôt être tranquille pour charbonner

Camus m'a niquer dans sa chute, il n'y a plus de liberté.

poil à Mory Kanté et au synthé

attends, attends juste un peu, si ça ne va pas, on ne peut pas dire que ça n'ira pas mieux.

attends, vas y, on fait un jeu, on s'attrape pas, on s'attrape mieux,

vas t'en, c'est fou, c'est faux ce feu, fi, au moins ce fut,

mais n'a pas gagné la ceinture en chamalaux, et on ne sait pas pourquoi

bon, ok, la balle au centre, on va pas se tourner autour toute la nuit non plus,

et déjà, je sent bien que j'ai perdu, c'est mon côté altruiste, vagabonde,

ce n'est pas que je sois homo, juste que la femme de ma vie court trop vite, ou alors elle est très furtive, évaporéscente,

d'ailleurs pour éviter tout quiproquoi, oui, quoi, je ne dis plus "va te faire enfiler ton collier de perles", mais "va crever ton herpès dans la boue putride de tes germes", et encore, on ignore le plaisir des apnéistes spéléologues des culs de bagnoles, en fleur.

c'était la dictée du mois, ou du moi, il, on, je sais pas.

remarque, je vais te dire un peu tard, avant que la neige fonde, il faut qu'elle tombe, ça vient, petit, un hiver de tafiole, si j'écris ça, normalement dans une semaine il fait -30 à Perpignan, c'est mon côté : "j"aurais dû la fermer".

on s'imagine pas tout le mal que peut faire un modérateur, en un clic, sur un coup de fatigue, un manque de jugement, un chili mal digéré, une branlette mal terminée, un télétubies raté, il peut te cramer l'équivalent de la joconde, un peu moins en bois.

je ne veux pas l'écrire, mes doigts m'y poussent, et il n'est là que pour la barre espace, mais au final: "qu'est ce qu'on s'en bat les gonades?" franchement, tant que, tant qu'il n'y a pas, on devrait s'en battre royalement, mais non, scrogneugneu et pouet pouet, je ne trouve pas le tréma sur ce clavier, certes pratique, et pas cher,

et comme c'est les soldes, je te fais du Baudelaire à pas cher, les coutures, c'est normal, c'est du cousu main

donc:

saperlipopette, j'ai calé

la honte n'est qu'orgueil

je suis né en février, dans une clinique au nom de marché, qui n'existe plus, sauf en moi

il va neiger, sur les sommets

Aux vers

mais pas de terre

c'est cher, pour une bière