Ce que vous écoutez tout de suite

https://youtu.be/bzscyVeJy6M?t=1m16s

Clip parodique featuring David Hasselhoff, la BO du non moins film parodique suédois "Kung Fury" (film incluant des combats de ninjas policiers contre des nazis montés sur dinosaures)

D'ailleurs, pour ceux qui apprécient ce thème de niche récurrent que sont les SS et les dinosaures, il y avait aussi cette conclusion tirée d'un des épisodes de la série Drawn Together (warning: humour trash, déjanté et pas du tout politiquement correct):

La morale. Orelsan.. ce gars m à ensorcelée. Je suis sous le charme. Ça faisait très longtemps que c était pas arrivé.

Ma mer mes oiseaux sur trois mâts mes Mouettes et mon cormoran ect et je trouve que vous faites trop de bruit de phrases intello structurees. Hum je vais quand memê pas vous dénoncer pour tapage voire marquetapage..ou pollution intello..

Lucie. Obispo. Même si vous ne pensez pas en normes en dit non pensant vous pouvez l écouter aussi. Normande normale pensante ça doit être plus dur que doué à Douai dis donc douxdoux déjà à prononcer..

Def leppard. Photograph.

Si quelqu'un a cette version en meilleure qualité, je serai votre éternel débiteur.

J écoute les cramps.b.b brunes.
Seul ou accompagné. Bb. Brunes.
Infinitives voiles. Titi Thiéfaine
Je joue de la musique. Calogero.

La petite marchande de porte clés. Orelsan.

Comme elle vient. Noir désir.speciale dédicace à qui j ai croisé dans ma vie tous milieux tous trucs de la vie y compris le milieu musicien...on sait pas qu on est si spéciale. Personne nous dit rien,. :

Combien pour ce petit chien dans la vitrine...palalalalalalala...

Tiens, là, présentement, c'est "Don't let me be misunderstood" (enfin, surtout parce que c'est sur la BO de Kill Bill).

J'écoute les premiers morceaux de Air, ceux d'il y a vingt ans et plus...

Quand ils étaient plus jeunes, ils étaient bons... ils étaient simples, créatifs et sans prétention, bien avant qu'ils ne deviennent ce truc ultra-sérieux, sec et froid à force de prendre le melon et d'être adulés par leurs fans.

Un petit morceau sympathique qui me fait penser à la douceur des matinées des années 70.

Plus récent, dans le même genre, mais toujours très inspiré par les sixties/seventies françaises et italiennes

(Ici une interprétation de la mémoire et une référence à Jules et Jim en version nudiste)

Et bien sûr le magique "Stranger" qui figure également sur cet album, et qui laisse une part belle à l'océan et ses vagues dans son introduction (là où le duo d'Air les avaient utilisés pour conclure Alone in Kyoto)...



Ce qui m'a frappé chez Alison Goldfrapp après l'avoir un jour écouté en live il y a une dizaine d'années de cela, c'est que bien que dépendante autrefois d'un son électronique, sa voix sur scène est exactement la même, d'une pureté et d'une limpidité identique que dans un enregistrement de studio (ce sont alors les instruments acoustiques qui soufrent en comparaison); elle n'a apparemment pas besoin d'artifices ou de modifications importantes comme tant d'autres artistes de la même catégorie qui masquent fréquemment les impuretés de leur timbre ou corrigent discrètement leurs propres fausses notes.