Histoire de créer
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Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot...
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
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Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
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Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
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Chat Bleu- Messages : 844
Date d'inscription : 28/03/2014
Age : 30
Localisation : au gré des vents
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Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
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Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
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A Deluxe Artisan- Messages : 24
Date d'inscription : 13/05/2013
Age : 29
Localisation : Paris
Re: Histoire de créer
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Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
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Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
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Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 103
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
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Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos coeurs ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
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Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
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Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
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Chat Bleu- Messages : 844
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Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu...
Invité- Invité
Sol œil- Messages : 619
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Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et ...
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Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que...
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Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe
A Deluxe Artisan- Messages : 24
Date d'inscription : 13/05/2013
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Localisation : Paris
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Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 103
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne...
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives ...
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé
Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 103
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente
A Deluxe Artisan- Messages : 24
Date d'inscription : 13/05/2013
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Localisation : Paris
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente à attendre que ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente à attendre que ...
Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise...
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler...
LhaleeTreize- Messages : 987
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Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous
Chacal a louf- Messages : 39
Date d'inscription : 02/04/2015
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyions les sombres
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyions les sombres
Chat Bleu- Messages : 844
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Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 103
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne
Diatribe- Messages : 1055
Date d'inscription : 30/08/2012
Localisation : Entre mon espace-tempes.
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe ...
Sol œil- Messages : 619
Date d'inscription : 10/01/2014
Age : 36
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 103
Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont
Carla de Miltraize VI- Messages : 5789
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Localisation : Toulouse *** Se guérir de nos malaises de l’âme implique souvent une bonne dose d’humilité, d’accueil de la nature humaine et de sympathie envers autrui et surtout envers nous-mêmes. Daniel Desbiens
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant
Chacal a louf- Messages : 39
Date d'inscription : 02/04/2015
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons ...
A Deluxe Artisan- Messages : 24
Date d'inscription : 13/05/2013
Age : 29
Localisation : Paris
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro ...
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe ...
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus...
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce...
Yul- Messages : 4076
Date d'inscription : 14/06/2014
Age : 39
Localisation : Dieppe
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je
A Deluxe Artisan- Messages : 24
Date d'inscription : 13/05/2013
Age : 29
Localisation : Paris
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse la...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse la...
Yul- Messages : 4076
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Localisation : Dieppe
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol,
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol,
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol, tout ça n'est
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol, tout ça n'est
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il
A Deluxe Artisan- Messages : 24
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Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à halloween...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à halloween...
Yul- Messages : 4076
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Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à halloween quand il verra...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à halloween quand il verra...
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Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe...
Yul- Messages : 4076
Date d'inscription : 14/06/2014
Age : 39
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Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera ...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera ...
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur...
Yul- Messages : 4076
Date d'inscription : 14/06/2014
Age : 39
Localisation : Dieppe
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur. Je l'imagine déjà...
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lascivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à Halloween quand il verra que la tulipe, de rouge virera or et azur. Je l'imagine déjà...
Invité- Invité
Re: Histoire de créer
Assis sur ce bord de route argentine, le soleil au zénith, je me demande quelle sera ma prochaine chance de revoir ce petit chien tout noir, mais parfois la tortue cogne quand la musique s'élève.
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à halloween quand il verra tous ses rêves
Je ne suis pas sûr d'avoir encore l'envie d'aller vers l'Eden enfiévré. La seule pensée que les nuits seraient sans étoiles donne l'ivresse propre aux affamés, qui par certaines situations nous prouvent qu'on est seul face aux petits chiens noirs. Le lac charbonneux bordé de bruyères est bleu comme si l'on avait saupoudré du ciel de midi. Je crois que tu as oublié de m'oublier. J'oublie que j'ai oublié ma crème hydratante et mes bigoudis, ceux que la mort nous reprend.
Faut-il chercher, donner un sens à l'argent teint qui nous échappe malgré toutes les peurs que l'on rassemble, à perte. Pourquoi encore ignorer ce portefeuille émotionnel ? Quand les uns s'en vont guillerets, alors que d'autres restent sombres et mélancoliques, antipathiques, et tout le tintouin, je suis toujours sur le qui-vive à cause de la neige grinçant sous mes souliers. Je ne veux plus revoir leur chapeaux humides luisants d'acide, ni leurs regards rectangles de chèvres avinées et hurlantes.
Non, décidément je perds le fil de mon tricot; et toi qui me parles de la grotte sanctuaire et du trésor que nos cœurs ont déjà oublié, enterré. Sais tu, amour infini et puis indécis que j'abhorre le paradoxe mais adore les pépites de ton imagination qui m’entraîne vers les rives du Styx enflammé? Une petite flamme, sur ton oeil de cornaline. Patiente, à attendre que je te dise qu'il faut brûler toutes traces du noir en chabraque sur son dos, afin que nous fuyons les sombres cabinets de curiosités. Gravir l'automne sur la pointe velouté du Mont Fuji où les camélias givrés sont rabougris de honte face à l'or de son pelage doré, reflétant dix dodus dindons, rangés par numéro impairs et passe, rien n'va plus.
Assis sur ce routard argentin, je me caresse lassivement Kool menthol, tout ça n'est que batifolage. Il comprendra ce vendredi saint à halloween quand il verra tous ses rêves
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