Umberto Eco dessinateur

En lisant toujours ce même livre pris à la gare Montparnasse, il y a de cela quelques mois, dans les premières 50 pages, cet auteur mentionne que tout jeune il, lors de ses vacations dans les abbayes ou autres monuments historiques, il relevait certains détails architecturaux de celles-ci mêmes se présentant, il dessine assez souvent d'ailleurs. Attention ces dessins ne sont pas que histoire de dessiner, mais servent aussi à la construction de ses romans, tels que Baudolino,le cimetière de Prague, l'île du jour d'avant, ou le plus connu le nom de la rose, il en a écrit 6 en tout..
Sa carrière de romancier non pas de sémioticien, commença à ses 48 années et il se considère à ce jour comme tout jeune romancier ayant l'intention d'en écrire bien d'autres.
Pour en revenir au dessin, à ses écrits, il a un moment de sa vie, une discussion avec des personnes qui en viennent, ayant lu son ouvrage, à dire que la description de ce lieu en ce roman et bien ils le connaissent bien et que sa description est parfaitement exacte.
Là il s'étonne plus tôt, car cet endroit en cette ville n'a pas été particulièrement étudié par ses soins, néanmoins je suppose que les styles architecturaux plutôt que de se côtoyer seulement, sont le fait probable des changements de 'styles", donc ce lieu est ressemblant aux autres puisqu'ils dépendent de la même époque, du coup ces bâtisses restent en duplicata. voici comment le lecteur empirique introduit sa propre perception du monde, cet endroit en fait, ils ne le connaissent pas vraiment, mais l'image mentale fécondée, respire la cohésion d'une représentation qui n'est que factice mais similaire, dès lors aucunement vraie.