Délires introspectifs et fonctionnement du cerveau en général

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Message par siddhartha Dim 21 Juil 2013, 06:31

Salut à tous !

Je viens de rédiger un texte assez long sous influence de la Marijuana. Je voudrais savoir, tout en me réservant le droit de l'effacer demain si jamais cela n'a vraiment aucun intérêt (mais je préfère le faire, un peu malgré moi justement). Je sollicite votre avis sur ce que je raconte. J'ai mis en spoiler ce qui n'est pas directement le coeur du propos, afin de ne pas trop diluer le point de départ.

Spoiler:

Quand j'étais petit, c'était tout un souvenir quand seulement je découvrais cette sensation de démangeaison causée par les moustiques quand on est en vacances un peu plus au Sud. Je pouvais être complètement émerveillé par le fait qu'une distance qui pour moi était ordinaire, pouvait être impossible à parcourir en un seul jour ou au contraire bien plus aisé pour d'autres peuples. Michel Strogoff m'a comblé d'emportement jubilatoire dans des rêves qui font se mêler la réalité et la lecture dans le paquet souvenir qui a du même marquer jusqu'au plus profond de l'âme. Tiens, une idée typique de la dévalorisation me vient à l'esprit, alors même que je suis en train de constater que je fais des phrases très longues. La première idée qui m'est venue fût celle de me la péter, assumant d'avoir une pensée qui nécessitait d'avoir de la mémoire tampon pour être en mesure de comprendre. La seconde fût de me rappeler qu'enfant (je peine à écrire car mes idées sont déjà parti très loin en avant dans le raisonnement) on nous apprenait en cours de grammaire de ne pas faire de phrases trop longues quand nous faisions nos rédactions. Et c'est là que mon esprit angoissé prend le contrôle, objectant une nouvelle idée défendant ma première impression, comme un protecteur de l'intellect. Puis une suivante, prenant le contre-point, et encore, et encore, et encore… J'aurais envie de montrer cela à des psys pour savoir si je correspondais à quelque chose de particulier en terme neuro-typique ou si j'incarnerais ici quelque pathologie spécifique ou seule verbalisation de constat déjà établis par ailleurs. Je serais curieux d'avoir l'impression des Z là-dessus. Peut-être pourrais-je leur envoyer cela sur le forum ? Et les idées qui continuent de passer leur chemin dans mon esprit toujours branché. « Eh si c'était tout simplement le rythme de la langue qui influait sur le jugement. Ainsi enjoignait-elle d'elle-même, cette langue française, l'éducation nationale à réduire tout cela en phrases types pour offrir du prêt à penser formateur ? » On en ferait des dissensus académiques entre les colonial studies et les passe-partout assumés ! On en ferait des controverses entre membres de l'académie française, et dans un monde imaginable on en ferait même des articles de journaux ! Décidément je pars dans tous les sens.

C'est pourtant un trait caractéristique qu'on réprimande en société lors de l'éducation des enfants, après l'étape du « cacan pas bon, pas bon ramasser, bah…!!!) avec une grimasse dégueulasse pour faire peur à l'enfant et qu'il comprenne que ses parents sont moches s'il veut manger la nourriture tombée à terre, avant même qu'il ne comprenne tout à fait que ses parents se foutent décidément de sa gueule puisqu'eux ne font que souffler dessus lorsqu'un de leurs propres gâteaux est seulement tombé au sol. Je pense à ces milliers de pensées dévalorisantes qui m'assaillent en permanence. Ce n'est pas bon d'avoir que des pensées valorisantes non plus me dis-je, pensant au péché d'arrogance que l'on mobilise à tout vent comme pour inhiber l'originalité. Ne serait-ce pas un bon exemple ? Ah… dans un cas pareil je me retrouve à avoir besoin d'un linguiste, d'un membre de l'académie française, d'un journaliste dans un autre monde possible et maintenant même d'un linguiste. Ah tiens cette fois-ci ma pensée a fait un nœud ! Mon Dieu, ça ressemble tout à fait à la défonce cet effet ! Et mon esprit de continuer sur sa lancée, dans le grand déballage des idées, sans forcément se soucier que ce soit de la dévalorisation ou de la simple analyse de situation pouvant être rangée dans bien d'autres catégories. Et tiens, là, j'ai cette même sensation qui parfois me saisit d'allégresse ou plus exactement de motivation et de bonne énergie, que j'ai déjà oubliée le temps d'écrire ces mots… rewind… toujours est-il que cela parlait de zébritude et de remarque à moi-même concernant un état où je n'étais pas du tout défoncer.

Comme d'habitude en pareil cas, j'imagine maintenant que toutes mes idées puissent être sur un même plan, juste pour le plaisir de savoir qu'il y a cette beauté dans un petit coin de ma tête que je n'ai même pas encore déroulé, à la façon peut-être de ce que Deleuze nomme les déplis et les plis dans l'ordre des pensées. Quoi qu'il en soit je ne remets pas le neurone sur le sentiment que m'avais procuré ce souvenir et que plus exactement j'avais mobilisé pour me rappeler. Si les personnes neuro-typiques ne vivent pas tout cet enchevêtrement, j'en viens un peu à me demander comment ils font. Puis je me rappelle tout de suite que je me suis déjà fais ces réflexions de multiples fois, et, peut-être que maintenant de l'écrire me le fera sortir tout à fait de ma tête en « work in progress », le temps d'écrire que je l'écris me fait partir sur des pensées tout à fait autres… L'euphorie semble m'avoir mené au-delà de ma seule réflexion. Et alors me revient une nouvelle idée, mobilisant un sentiment très proche de celui précédent, et je me demande si ce ne serait pas l'effet de la drogue sur mon cerveau qui me fait penser de cette manière. J'ai l'impression de décrire des traits de personnalité Z aussi. Je me demande alors si ce n'est pas parce que je peux plaire à différentes catégories de personnes que je me sens utile et donc vivant au sein de la société. Puis d'autres pensées surgissent mais sont déjà parties…ah oui, et je me demande si… ce ne sont pas des pensées normales, là aussi pensée automatique… Peut-être qu'en identifiant ces pensées automatiques, je pourrais me « soigner » tout seul ? J'ai remis le synapse sur l'idée, mais le sentiment allant avec s'est tout à fait dilué. Il n'a plus le même goût. Et là je me demande si la prose d'Orlando qui a plûe aux psys et aux parents d'asperger n'était pas de ce genre et pourrait intéresser du monde, ou justement s'il faut la brider pour que je puisse intégrer normalement la société sans avoir peur de subir la pression de comment je dois être. Et pendant que j'écris cela, je me sens devenir un peu bizarre, comme une sorte de cliché d'autiste, comme pour me saisir cette figure de peur pour moi, telle que j'ai pus l'identifier par ailleurs dans mon système de relation inconscience-mémoire-comportements sociaux. Ici encore, l'hypothèse des pensées automatiques dévalorisantes colle parfaitement.

Bon, peut-être faut-il que je ralentisse la machine et que j'aille me coucher. Il semble que cet exercice, bien que fascinant, doit certainement être épuisant psychiquement. Mais si cela se trouve je ne fais que soulever un voile sur mon esprit qui fonctionne, en ce moment, tout le temps comme cela, ou même toujours. Sûrement, il doit y avoir de l'effet de la drogue, et pourtant je l'associe tout de suite sentimentalement aux autres des idées mobilisées avant, et me fait la remarque que je pourrais tout aussi bien me saisir de n'importe lequel des attributs. C'est comme un jeu, où la fin des fins approcherait, comme dans un profond souvenir d'enfance, d'après le sentiment du souvenir… tiens, je le daterais bien à l'époque où je regardais Beethoven. J'ai en effet la connexion avec des sentiments d'un registre proche. Et je libère alors toutes les connexions dans mon esprit, que pourtant je ne suis pas sûr… et tout devient confus, ma façon d'être normale reprend un peu le dessus. Et l'on s'étonne que l'on ait envie de retrouver ce genre de kiffe fascinant par lequel on appred beaucoup sur soi quand on écrit comme ça… ! Je sais que d'ordinaire je relis et c'est plus clair, amis cela aura-t-il vriament une fin. Ah oui, un autre souvenir entrouvert et trop vite échappé que je n'arrive pas, défoncé aisni, à mettre en stand-by comme d'ordinaire. S'agit-il d'un ensemble d'idées émettant dans sentiments à la manière des parfums que l'on essaye de libérer jusqu'à épuisement ? Et je sens, par un autre sentiment que l'idée d'après ne correspond pas tout à fait, donc je laisse tomber. Et pourtant cette idée même ressemble à la fatigue. Et là viens en tâche de fond des idées de test de ces hypothèses pour vérifier la démarche d'ensemble. Une autre pensée apaisante vient se promener alors, offrant un mélange de fatigue et surtout une bonne dose de détente, rendant incapable de différencier l'apport du souvenir de la fatigue justement. Comment créer ce genre de sentiment d'ordinaire pour pouvoir se calmer en quelque sorte ? Fascinant le fonctionnement de tout cela. Curieux de lire demain !

J'oubliais enfin. Est-ce que cela correspond à la drogue ou est-ce que c'est un mécanisme de disjonction avec la réalité, ou simplement de folie ? Encore des questions pour spécialistes ! Et à noter que je viens d'y avoir accès de nouveau en me levant pour aller pisser, connexion avec le corps, et que j'ai l'impression de ressentir un lointain mais profond sentiment de bien-être et d'accueil et de vie pétillante… Et alors l'espoir de me sortir du marasme comme cela, j'attend d'être impressionné par les nouvelles que je ferai sur ma personnalité, ainsi progressivement révélée à moi-même au fil de la vie depuis que j'ai entamé de faire de belles choses de ma vie, dis-je avec ce soupçon de naïveté qui caractérise la plus faible maturité. Bon, le dodo se rappelle à moi, et je me confis, Charles Aznavour remontant lentement le volume de ma stéréo intérieure… une idée encore passée trop vite, ah non que, c'est important, c'est la vie dans son ensemble qui est aussi belle, et sur cela qu'il nous faut compter, qu'importe toutes philosophies que l'on pourra élaborer, car, pour expérimenter ainsi les mouvements de type dépression et me les découvrir maintenant, c'est cela le mieux. Et tiens, une pensée menaçante de type identité psychique danger fait son apparition, me demandant tout simplement, comme par le passé, si on ne peut pas, justement, arriver dans le fin des fins que l'on semble chercher dans toute logique, éternellement à un point de non retour qui e peut pas pour autant être la vérité.

Puis je pars sur cette recherche de vérité que j'ai la stupidité de faire dans le cadre de ma thèse, repense à l'organisation de toute chose, et repense à des idées déjà traitées, et la fatigue me revient à l'assaut…

Bonne nuit à vous, je pars me coucher après cette bonne heure et demi de pur délire !
Peut-être en apprendrai-je plus demain, ou peut-être pas. en tout cas de mon point de vue de l'instant, c'est un joli délire !
Des bises


Dernière édition par siddhartha le Dim 21 Juil 2013, 14:18, édité 2 fois
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Message par oufy-dame Dim 21 Juil 2013, 10:38

De l'avis de certains psys, si tu as besoin d'une drogue, c que tu souffres...

J'ai tjr refusé d'écouter ou lire les propos de personnes sous l'emprise de substances dissociantes.
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Message par Harpo Dim 21 Juil 2013, 12:07

Siddharta, tu t'es intéressé aux écrits de Artaud, Castaneda ou Michaux sur le sujet ?
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Message par siddhartha Dim 21 Juil 2013, 14:07

Ahahaha ! Ce matin j'ai la patate, le sourire bien dans le coeur, et la joie de vivre bien comme il faut.
Je ne partage pas ton point de vue oufyfille, je crois qu'une drogue peut être utile si utilisée à bon escient. Et là, avec le recul d'une nuit de sommeil, je pense que c'est le cas.


En fait, si je parle des effets du cannabis, ce n'est que pour m'interroger et faire la différence entre ce qui relève de l'effet de la substance et ce qui est lié à d'autres types de fonctionnement, intimes et personnels, ou plus généralement typiques d'autre chose. Et c'st pour cela que je sollicite vos avis. Décrire le seul trip ne m'intéresse pas trop en vérité, là il s'agit pour moi de bénéficier de l'introspection utile à la réparation psychique de soi-même. Et je tiens à préciser que cela ne concerne que mon propre parcours, à un instant particulier de ma vie personnelle et qui ne saurais pouvoir être généralisé pour tout le monde. Aucune substance ou même expérience n'est magique et permet de régler tous les problèmes sur Terre. Chacun a son chemin à parcourir et trouve des portes ouvertes ici ou là au bonheur des rencontres et de ce qu'il est prêt à faire dans l'instant.

J'aurais bien jeté un oeil à ces écrits en effet Harpo, pour me faire une petite idée moi-même, qui peut-être m'indiquerait des pistes de réponses, mais à vrai dire je suis au Brésil jusque fin Août et n'ai donc accès qu'à un seul petit livre que j'ai trimballé avec moi, La promenade au phare de Virgiana Woolf. je vais essayer de reprendre peut-être tout cela un peu, pour faire ressortir plus clairement les différentes thématiques et peut-être les expliciter. Quelqu'un pourra peut-être alors me donner son propre point de vue sur les différents points que j'aborde…

Um abraço. Até pronto !
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Message par Invité Lun 23 Juin 2014, 16:52

oufyfille a écrit:De l'avis de certains psys, si tu as besoin d'une drogue, c que tu souffres...

J'ai tjr refusé d'écouter ou lire les propos de personnes sous l'emprise de substances dissociantes.


pareil, du coup je n'ai pas lu mais le sujet était intéressant

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Message par Invité Lun 23 Juin 2014, 20:05

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Dernière édition par alternative le Ven 26 Sep 2014, 15:45, édité 1 fois

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Message par Invité Lun 23 Juin 2014, 20:21

j'ai vu ça mais je savais pas que c'était ou Baudelaire, Rimbaud, Musset, Balzac, ou Sartre ? Smile

c'est réducteur. tu peux te taper des délires introspectifs sans .... un avis comme tel m'aurait intéressé... peu de gens n'en ont pas en ayant bu ou fumé (sauf moi qui "futes" malade en fumant rien que trois tafs mais bon personne te dit que les vagues en fait c'est le but et c'est normal, on nous cache tout on nous dit rien Smile

la drogue c'est pas mal, en abuser c'est con, en devenir dépendant c'est perdre sa liberté



alternative a écrit:
J'ai tjr refusé d'écouter ou lire les propos de personnes sous l'emprise de substances dissociantes.
Vous n'avez jamais lu Baudelaire, Rimbaud, Musset, Balzac, Sartre?


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Message par Invité Lun 23 Juin 2014, 22:58

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Message par A-Type Lun 23 Juin 2014, 23:36

D'autant que pour un zèbre (selon moi) les substances illicites aident quand même vachement à canaliser les idées...

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Message par Invité Lun 23 Juin 2014, 23:38

mais tu peux aussi choisir de ne pas en abuser et en devenir dépendant Smile

après moi je comprends, quand je vais voir une peinture, j'ai pas forcément le guide qui est défoncé à coté et obligé de le subir au moment où je n'ai pas choisi Smile

bon après si tu pars du principe que forcément pour devenir artiste... je n'ai pas non plus la même logique que toi Smile

et j'ai pas trouvé ton deuxièmement, autant pour moi Smile

ce post m'a fait penser au pote bourré qui débarquerait pour te raconter sa life à 3h du mat... lol (je le recalerai en fait, genre va te coucher, dors, désaoules et reviens demain mdr, ce qui me fait moins rire peut être c'est du coup de penser à des potes qui sont... enfin chacun sa voie... et son chemin... vers où il veut

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Message par Invité Lun 23 Juin 2014, 23:41

vécu : tu as raison j'ai mon premier ex (avec qui je n'étais plus) qui s'est retrouvé un soir en voiture dans le canal, mais on sait pas si il en avait eu l'idée Smile

marrant sur un forum ou beaucoup essaient de plus être bancal ou à coté de dire chouette c'est cool décalons mais à fond Smile bizarre ce fil, mais un bizarre que j'aime pas Smile


A-Type a écrit:D'autant que pour un zèbre (selon moi) les substances illicites aident quand même vachement à canaliser les idées...

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Message par Invité Mar 24 Juin 2014, 01:11

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Message par Invité Mar 24 Juin 2014, 01:20

je dois vouloir partir toujours plutôt optimiste et croire au libre arbitre ? (je dis pas non plus que dans ce cas là c'est facile, je dois avoir les codes génétiques de deux personnes.... et..... Smile

euh ici : " Les drogues ont eues un impact majeur sur l'art (au sens large)."

donc si il y avait le ensuite ouf j'ai bien tout lu Smile merci de la réponse

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Message par siddhartha Mar 24 Juin 2014, 01:37

gahan girl a écrit:
oufyfille a écrit:De l'avis de certains psys, si tu as besoin d'une drogue, c que tu souffres...

J'ai tjr refusé d'écouter ou lire les propos de personnes sous l'emprise de substances dissociantes.

pareil, du coup je n'ai pas lu mais le sujet était intéressant

Ça te dérangerait de contenir tes élans moralisateurs et d'aller brouter quelque part où tu aurais au moins le respect d'écouter autrui avant d'ouvrir ta sainte bouche l'ami(e) ? Merci d'avance, cela pourra faciliter la communication.

Pour revenir au sujet, que j'ai eu le malheur d'aborder d'un point de vue moralement condamnable pour beaucoup, je tiens à m'excuser pour l'aspect brouillon de tout mon récit. La deuxième facette de la médaille.

J'étudiais les mécanismes de pensées, en lien avec les émotions spontanées et la stabilité émotionnelle plus générale. Voilà ce que je résumais sous "fonctionnement du cerveau". Je vivais une sorte de dévoilement, c'est à dire d'introspection, qui s'exprimait clairement dans une forme de délire du fait de la drogue. Faudrait-il donc toujours se justifier de la sorte dans votre église ? Bref.

C'est un peu long, il est vrai. Mais je serai toujours curieux d'avoir des points de vue sur ce que je demande très explicitement : les liens entre mécanismes de pensées, émotions spontanées et stabilité émotionnelle en général.

Je connais certains inconvénients de cette drogue, dont celui de m'enfoncer dans la morosité sur le moyen terme, après ces phases d'extase. Je n'en prend plus en ce moment. Pour autant, je crois, à la relecture, que ce que j'ai libéré à cette occasion est digne d'intérêt. Pour ceux qui n'en voient pas, merci de faire vos trolls ailleurs.

Belle journée à vous. sunny
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