Mon cher journal - Phase II

Je ne sais pas encore ce que je vais écrire ici.
Peut-être pas grand chose...
J'avais simplement besoin de me faire savoir qu'une page se tourne.
Dont acte.

  En tout cas, je suis le fil! pas écouté ce que tu as mis (je suis au boulot!), je le ferai chez moi tranquillou!

itiz a écrit:  En tout cas, je suis le fil! pas écouté ce que tu as mis (je suis au boulot!), je le ferai chez moi tranquillou!

Merci Itiz,

ta présence me fait plaisir.
Les échanges avec toi me rassurent.
Moi qui doute tellement.

J'ai compris ce week-end qu'il me fallait faire des choix encore plus poussés, dans mes relations.
Ne pas retomber dans les anciens travers.
Aller encore plus loin dans l'affirmation.
Eradiquer ma toute dernière part de naïveté.
Eloigner de moi ceux qui, sous des dehors bonhommes, réactivent mes doutes, quand j'ai besoin d'encouragements et de soutien.
Renoncer à ces rencontres censées être joyeuses et qui au final, laissent une espèce d'arrière-goût amer.
Je n'ai rien fait qui justifie que je m'impose cela.
Rien.

Le formuler est en soi déjà douloureux.
Mais c'est le prix à payer pour me respecter et retrouver une joie de vivre simple et saine, au quotidien.

Continue à écrire ton livre tranquillement, à ton rythme, tourne les pages pour les rendre de plus en plus belles pour être toi-même tout simplement.  

Gasta a écrit:Continue à écrire ton livre tranquillement, à ton rythme, tourne les pages pour les rendre de plus en plus belles pour être toi-même tout simplement.   

Merci cher visiteur.
Deuxième visiteur de qualité.

Vous êtes les premiers que j'ai rencontrés, avec Boitachat et Licorneau.
C'est une chance inouïe.
J'en ai aujourd'hui encore plus conscience.

Et moi alors ?????!!!!!!!!!!!!!!
   

Ne crois plus ma chère Fabuliotte que ce qui / ceux qui te fait mal va te faire avancer....
Il y a des "méchants", ceux qui ont besoin de te marcher sur la tête pour respirer....ils se déguisent parfois sous un costume de miel....
Ils ne sont pas très méchants au fond, ils ont mal, mais ils n'ont pas le droit de profiter de ton reflet , de ton empathie pour te blesser toi aussi.

Je ne crois pas que mes vrais amis ne m'aient jamais blessée. Même sans faire exprès.
bon, d'accord, j'en ai pas beaucoup du tout...

Je sais aussi que tu sais bien tout ça....
Tu as assez de choses formidables à dire pour qu'on t'apprécie, nul besoin de te donner encore pour te rendre aimable.
Et si on s'autorisait à ne pas faire l'unanimité? Même au sein d'un quelconque troupeau?

Plein de 

Alors là, si la grosse artillerie s'y met aussi, je suis vraiment gâtée.

mrs doubtfull a écrit:Je ne crois pas que mes vrais amis ne m'aient jamais blessée. Même sans faire exprès.

Il faut croire que je n'ai pas cette chance...
Je ne suis pas sûre "d'attirer" les mauvaises personnes.
Mais je n'ai pas d'autre choix que de constater que certaines personnes, en effet, ne sont pas 100% bonnes pour moi.

mrs doubtfull a écrit:Je sais aussi que tu sais bien tout ça....

Ce qui m'agace, chez moi, c'est qu'au lieu de rétorquer, sur le champ et sans ménagement, je n'échappe pas à la part de naïveté qu'il me reste. Je n'imagine tellement pas que l'on puisse me sortir des horreurs, ou ne pas me soutenir en public, voire m'enfoncer, que je laisse faire, avant de réaliser. Et lorsque je réalise, il est trop tard, l'autre s'est remis sur ses pattes, sans vergogne aucune. Cela suffit à me rendre dingue. Je déteste être comme ça.

Mais je sais encore mieux, maintenant. Et je ne laisserai plus rien passer. C'est certain.

mrs doubtfull a écrit:Tu as assez de choses formidables à dire pour qu'on t'apprécie, nul besoin de te donner encore pour te rendre aimable.

Voilà qui me touche beaucoup. Je ne me donnerai plus. C'est promis.
Si j'ai bien compris qu'il me fallait définitivement me débarrasser de toute once de naïveté, je n'en suis pas encore au stade où je m'affirme et où je refuse les exigences de l'autre, en toute quiétude...
Question d'éducation.

mrs doubtfull a écrit:Et si on s'autorisait à ne pas faire l'unanimité? Même au sein d'un quelconque troupeau?

Plein de 

Ce programme me plaît, même s'il n'est pas le plus confortable qui soit.

Gros bécots à toi.

Je ne sais pas vous, mais moi, cette vidéo me parle...
Je sors à peine de cette spirale-là.





Cette troisième vidéo me permet enfin de comprendre pourquoi je me mets en danger professionnellement.
Je ne me mets pas en danger... je créer des situations dans lesquelles je peux exercer ma résilience.
"Plus ça va mal, plus je peux rebondir haut". C'est exactement ce que je vis. C'est exactement ce que je m'impose.
La dame dit "paradoxal, effrayant, défis plus que des défis pour se réaliser".

A retravailler.

Sacrebleu ! Un nouveau fil à suivre
Bon tissage

Boitachat a écrit:Sacrebleu ! Un nouveau fil à suivre
Bon tissage    

Youpi, voilà les copains qui débarquent...

Ça va tisser grave.
Qualité laine de 3.

merci pour ça, je viens de trouver un vieux fil sur lequel elles étaient. Je l'ai "upé" (pour que d'autres qui ne passent pas par ici puissent en profiter).

Edit: oh, tu as raison, les 2 premières minutes de la 3eme video, c'est mortel ! en plein dans le mille !

.

Puzzle a écrit:merci pour ça, je viens de trouver un vieux fil sur lequel elles étaient. Je l'ai "upé".

Pas vu, désolée pour le doublon. M'enfin...

Puzzle a écrit:Edit: oh, tu as raison, les 2 premières minutes de la 3eme video, c'est mortel ! en plein dans le mille !

N'est-ce pas ?!
Mon psy me demandait si "la tension était l'enjeu".
Mille fois oui !

L'enjeu, aujourd'hui, c'est de sortir de ce schéma, pour en faire du positif !
En clair : aller chercher mon adrénaline autrement...

So what a… a écrit:Quel plaisir de revoir la première vidéo, ce fut ma porte d’entrée. Ou de sortie, c’est selon.
Ah… l’addiction au rêve…

Merci Fabuliotte !

Pas mal, hein, l'addiction au rêve...
Je ne fais plus, ça.
J'ai grandi.

.

Fabuliotte a écrit:

Puzzle a écrit:merci pour ça, je viens de trouver un vieux fil sur lequel elles étaient. Je l'ai "upé".

Pas vu, désolée pour le doublon. M'enfin...

Non, non, tant mieux pour le doublon  
Sans cela, j'aurais pu passer à côté de ces vidéos très instructives pendant encore longtemps...
Donc, merci plutôt que scrogneugneu

Ah du coup mon message n'est pas passé !
Je la refais, en décalé.

Ce sont de sacrées pépites que tu nous déterres là, Fabuliotte ! Merci.

@so what, @Boitamache, @Seb,

Je suis ravie que ces vidéos vous apportent quelque chose.

Merci à vous d'être passés et merci pour votre enthousiasme.

Merci aussi, par anticipation, à celles et ceux qui vous suivront...
Je décroche pour 5 journées entières, dont deux en mode business et les trois autres en mode tourisme/détente.

J'en ai un besoin URGENT !

Une page de pub :

Jeudi 28 novembre, sur France 5 :

La grande librairie.
Je ne suis pas fan de l'émission ou plutôt pas fan de son animateur.

Mais il a le bon goût de recevoir Michel Onfray :

Pour : Le Magnétisme des solstices

>>Ce journal, tenu au fil de ces dernières années, est une plongée dans l'univers de Michel Onfray. On y croise des philosophes qu'il admire, de Diogène à Proudhon en passant par Montaigne. Mais on y parle aussi de politique, de laïcité et d'anarchisme, de littérature, d'art ou de musique. Lectures personnelles, réflexions sur l'actualité, rencontres amicales ou souvenirs d'enfance, tout y est matière à s'étonner et à penser.

Et à se demander sans relâche : « Comment mener une vie philosophique ? »<<

J'ai la possibilité de ne pas rater ça et ne vais donc pas me priver.

Je ne peux pas m'empêcher de repenser à mes échanges récents...
Et je prends conscience de ma situation, totalement paradoxale :

d'un côté je suis naïve au point de ne pas imaginer que l'on puisse me dire des horreurs...

d'un autre côté, je me trouve tellement "pas" (pas à la hauteur, pas assez ceci, pas assez cela etc.) que je n'imagine même pas que l'on puisse m'aimer, alors que mes intuitions me guident vers cette option-là, qui pourtant me semble totalement insensée.

Je pensais y voir un paradoxe, mais ce n'en est pas un.

C'est dans ces situations-là que ma timidité est à son paroxysme.
Mais que mon désarroi l'est tout autant.

J'ai besoin que l'on m'aide.

   
Pas bien le temps d'en dire plus ce matin!
À très bientôt, bonne journée...

Y aurait il du fil à moudre ? Te voilà déjà bien entourée.

mrs doubtfull a écrit:   
Pas bien le temps d'en dire plus ce matin!
À très bientôt, bonne journée...

Merci copine.
J'avance...

Jolie citation de Bernard Lavilliers :

"La lucidité est la blessure la plus proche du soleil".

Simple partage :





Film à voir absolument.
Pour le jeu de Gallienne dont je suis raide dingo.
Et pour les répliques de la mère... scud sur scud...
La bonne femme serait "pudique"...

Eh bien moi, la pudeur, ça me déglingue.
Je déteste la prétendue pudeur des sentiments.
Si j'aime des personnes, je le leur dit.
Si je les apprécie, je le leur dit aussi.

Parce qu'il n'est plus temps, pour moi, de perdre du temps.

Petite expérience visuelle :



J'aimerais savoir comment vous la vivez...
Convoquez-vous vos seules émotions ?
Parvenez-vous à mettre votre intellect en sommeil ?

Architecte fou

Rudy Ricciotti

Je n'ai pas encore attaqué son Architecture est un sport de combat

Mais j'ai approché son oeuvre.

Drôles de sensations, "the" passerelle dont tout le monde parle...
Une fois passée de l'autre côté, j'ai soudain eu la sensation de me retrouver dans un film de Tati, avec des personnages transportés sur tapis roulant, mais non... ils marchent, tous...




Cette dentelle de béton, si douce au toucher, m'a émue.

Spoiler:

Premier contact avec Marseille, grandiose.

Fabuliotte a écrit:Petite expérience visuelle :



J'aimerais savoir comment vous la vivez...
Convoquez-vous vos seules émotions ?
Parvenez-vous à mettre votre intellect en sommeil ?

J'ai vu! Je te livre mon ressenti!
Les images défilent trop vite, du coup je n'ai pas le temps de poser mon regard et de me laisser aller dans un des tableaux, alors ça me frustre.
C'est pour cette raison  ( et mon grand respect pour les œuvres d'art que je n'aime pas voir mêlées, manipulées juste pour un clip et dans quel objectif, d'abord?) que dans un second temps, c'est l'intellect qui a pris le dessus et s'est occupé à nommer les peintres, les périodes, le lien entre 2 tableaux consécutifs ,la musique...
 Au final je reste plutôt sur " que de visages de femme!" Que sur " que de belles œuvres!"

Mais ça donne envie de retourner vite au musee...

J'ai joué aussi. Je connaissais cette vidéo, mais j'ai fait comme la première fois .

La première impression immédiate est la séduction. Normal, des visages de femmes, Bach. Ce morphing est super bien foutu. Ah, tiens, il suit une chronologie, le cubisme devrait pas tarder, ah bah tiens Picabia, Matisse manque plus que Picasso... Et voilà. Remarque, j'aurais sûrement fait pareil... Mais c'est peut-être dommage, il y avait peut être un truc plus main a faire, croiser les tendances... Dommage qu'il n'ait pas réussi à glisser le Marylin de Warhol...

A l'arrivée, comme mrs doubtfull. C'est bien foutu, mais un peu scolaire, ce qui fait que les réflexions fusent, et que la vidéo n'arrive pas vraiment à me captiver émotionnellement jusqu'au bout.

Par contre, on a envie de la revoir, de retrouver les peintres - bon, ça c'est un jeu un peu intello hein - et de chercher celles qu'on ne connait pas. Et là, on peut faire de belles rencontres, des liens vers de peintres, se balader, découvrir Tyranov, Helleu, Commere...

Et donc, super boulot en fait .

Ben oui, l'intellect domine, malgré tout...
J'ai eu l'occasion de la voir récemment sur grand écran, et je n'ai pas réussi à me laisser embarquer tout à fait.

Bises à vous Mrs Doubtfull et Harpo.

En fait ce qui me perturbe le plus, c'est le côté trop mécanique et répétitif de ce morphing qui ne rend hommage ni à ces visages ni à la musique d'accompagnement.

Ce qui m'a le plus interloquée, c'est qu'elles ont presque toutes l'air triste ou mélancolique. La femme représentée les yeux fuyants, impassible et mystérieuse pendant des siècles. Il faut attendre le dernier tiers de la vidéo pour pouvoir croiser des regards, voir des mines coquines, des poses séductrices, des sourires plus larges. Aucune ne rit. C'est peut être un parti pris dans le choix des peintures. Il faut néanmoins avouer que si les peintures représentaient des hommes, ça serait...un peu pareil (mine sérieuse, mais regard franc et droit).

Il y a quelques visages que je ne connaissais pas et qui sont juste magnifiques, et la, mon intellect se réveille et va partir a la recherche des tableaux....

Rhooo, ben je n'avais même pas vu que vous étiez passés par là, Puzzle et Seb.
Salutations chaleureuses. 

Eh bien moi, comme d'hab. je suis restée très superficielle.
Je me suis laissée prendre au jeu sans analyse approfondie.
Ni totalement séduite, donc pas "embarquée".
Ni totalement déçue, mais interloquée, simplement, et animée d'une envie d'en savoir plus.

Malgré la projection sur grand écran et la présence d'une quinzaine d'autres personnes, mes émotions sont restées un peu trop planquées à mon goût.
Disons que l'ensemble reste agréable...

Laisser passer, ne pas laisser passer...

Cette idée-là me trotte dans la tête depuis un petit moment.
Je ne savais pas très bien comment formuler la chose.

Le sujet n'est pas haut perché non plus, mais il vaut tout de même ses quelques lignes de mini-réflexion.

La question est : comment se comporter lorsque l'on surprend quelqu'un que l'on aime bien en flagrant délit d'imperfection (dans ses exposés par exemple) voire de cabotinage, parce que l'on n'est pas toujours à la hauteur, parce que la réflexion est en cours, parce que l'on est gentiment tenté d'arranger un tout petit poil les choses à son avantage, pas méchamment, mais juste pour que l'histoire colle ?

La réponse, ou plus précisément MA réponse est claire : on laisse passer.
On sourit, on n'est pas dupe, on comprend bien... Mais Donc on laisse passer.

Car si l'on aime bien les personnes, on fait en sorte d'être vraiment bienveillant, de ne pas les mettre en difficulté, surtout pas en public, de leur épargner autant que possible de terribles moments de solitude, probablement sans grande conséquence, mais dont leur sensibilité vont faire qu'ils rumineront, des jours et des jours, en se rappelant à quel point ils n'ont pas été à la hauteur, ou ridicule, ou cabot etc.

Dans le cas contraire, on aura beau faire, on aura beau dire, le coeur n'y sera plus et l'amitié sera écornée, irrémédiablement.

J'avais besoin d'écrire cela.

Et tu as bien fait d'écrire cela.
Tu as dit l'essentiel : "on comprend bien...".
Il ne faut donc pas dire "mais on laisse passer", mais plutôt "donc, on laisse passer."

Boitachat a écrit:Et tu as bien fait d'écrire cela.
Tu as dit l'essentiel : "on comprend bien...".
Il ne faut donc pas dire "mais on laisse passer", mais plutôt "donc, on laisse passer."

Bien vu, Boitapachut* !
Je rectifie de cette touche...

Et une fois rectifié, cela change vraiment tout !

Merci d'avoir apporté une vraie grandeur à ces quelques lignes sans prétention !



*La rime me donnait du Boitachut, mais tu n'as pas chu, bien au contraire... voilà !

De rien  
J'avais pensé à une thèse qui pourrait ensuite donner lieu à un ouvrage à fort tirage : "Douance et conjonctions de coordination".  

Je suis riche  

  

Ni les échanges, ni les prises de conscience ne changent quoi que ce soit à mon sentiment de solitude extrême.

J'aimais beaucoup la formulation de Fata : "la solitude est en fait la conscience aiguë que l'on a de soi-même".

Noël m'importe peu mais la saison me touche...
J'ai une folle envie de petits pains à la cannelle, d'étoiles au sucre glace, de stollen à la pâte d'amandes, de marzipan à la pistache, de petits croissants à la vanille.

Et d'un bon thé chaud, gentiment âpre pour souligner la douceur et la saveur de tout cela.

D'une jolie bougie en cire d'abeille pour une ambiance encore plus chaleureuse.

Et d'une amie ou d'un ami avec qui papoter de tout, de rien, simplement pour la poésie et pour le bonheur d'être ensemble, peut-être disserter sur les conjonctions de coordination.

Mais il est où, Ornicar ?!

D'ailleurs j'y pense : SEULS CELLES ET CEUX DONT j'ai les coordonnées postales recevront une carte de voeux.
Parce que j'adore les cartes de voeux et cette année j'en ai trouvé des tordues mais aussi de très belles.

Si vous avez envie de recevoir mes voeux, une adresse postale en MP et l'affaire est entendue.

Irrésistible Michel Fau

Les grandes questions

Spoiler:

Stiegler explose...

Spoiler:

Ameisen, me séduit, acoustiquement parlant. Je l'écouterais des heures.

Agence Reuters 2005.

Il a incarné ma révolte d'adolescente.
C'était l'époque où je lisais André Brink.
J'avais une chambre de bonne non loin de l'ambassade d'Afrique du Sud.

Ce soir, pour lui, ma révolte refait surface.
Mes idéaux.
Mon envie de me battre et de remonter sur des barricades

L'architecture est un sport de combat

Musique et neurosciences

Site intéressant, découvert récemment grâce à une consoeur

https://www.focusatwill.com/

Urgence !



Voici les valeurs et les idéaux que réveille en moi la mort de Mandela.

Remettre l'humain, au centre.
Stiegler appelle-cela la recapacitation.

Je rappelle également Madjid Rahnema et son essai Quand la misère chasse la pauvreté.

Alors agir, oui ! Mais comment ? Et surtout avec qui ?

Le décalage, comme si vous y étiez...

Une amie (pas super proche mais amie tout de même) très créative organise une gentille vente de sa production chez elle.

Je passe, ce matin, et me retrouve avec d'autres nanas...
Ca piaille de tous les côtés. Les banalités fusent...

Et je suis déjà passablement agacée.
Puis mal à l'aise.
Comme posée là. Engoncée dans mon corps qui déborde.
Douloureuse. Physiquement. Psychiquement aussi.

A la fois envieuse d'autant de liens qui se créent sur du presque rien (ou ce que je suppose comme tel), là où j'ai besoin de profondeur, de sérieux, de densité, d'épaisseur.
Et désireuse de me tirer vite fait parce que les banalités n'ont plus aucune place dans mon quotidien. Je ne veux pas parler de banalités. Je ne le peux pas. Je ne le supporte pas.

Perdue. Une fois de plus. Incapable de trouver une place confortable.

Rions un brin avec les morts :

Neil sonne toujours deux fois:

Boitachat a écrit:Rions un brin avec les morts :

Ohhhhhhhhhhh.

Merci M'sieur !

Un gros